JĂ©susChrist Le Christ pantocrator de la mosaĂŻque de la dĂ©isis Ă  la basilique Sainte-Sophie de Constantinople, Ă  Istanbul.: JĂ©sus de Nazareth et Fils de Dieu; Naissance entre 7 et 5 avant l'Ăšre commune BethlĂ©em () : DĂ©cĂšs entre 30 et ï»ż-> le dĂ©sir de vivre avec JĂ©sus En priant, mĂ©ditant la Bible, vivant les sacrements, se sentir attirĂ©e par une vie de compagnonnage avec Lui. -> un Ă©lan apostolique L’appel reçu de Dieu pousse Ă  la rencontre avec les autres et Ă  s’engager au service de la mission du Christ, comme Marie-Madeleine que JĂ©sus ressuscitĂ© a envoyĂ©e vers les apĂŽtres Va vers mes frĂšres
 » -> un amour des pauvres Celui que Dieu appelle Ă  son service Ă©prouve de la compassion envers celles et ceux qui souffrent, les pauvres, les Ă©trangers, celles et ceux qui ne connaissent pas le Christ. -> une joie profonde Cette allĂ©gresse est celle qu’éprouvaient les disciples d’EmmaĂŒs en remontant vers JĂ©rusalem, pour annoncer Ă  leurs compagnons qu’ils avaient vu le Seigneur ressuscitĂ©. -> la paix intĂ©rieure Cette paix reçue vient confirmer la justesse de la rĂ©ponse Ă  l’appel. La premiĂšre parole de JĂ©sus aprĂšs la rĂ©surrection est La paix soit avec vous ».
\n\n \n les signes de l appel de dieu
donnanttrois signes miraculeux (Exode 4.2-9). Il va donner 3 signes de puissance, le bĂąton qui va devenir un serpent, la guĂ©rison de la lĂšpre et l’eau du fleuve qui deviendra du sang. Ces trois signes vont devenir des symboles, le serpent reprĂ©sente les dieux de l’Egypte, l’eau du Nil reprĂ©sente les Ă©lĂ©ments de l’Egypte et la Source image Clip sur les vocations presbytĂ©rales de AECQ En outre, le fait de vivre une retraite de discernement spirituel peut grandement aider Ă  confirmer l’appel au sacerdoce. Enfin, il est important de savoir s’ouvrir aux personnes spirituelles qui ont l’expĂ©rience de la vocation sacerdotale dans son diocĂšse. SOURCE AECQ Imprimer discernement spirituelvocation Le pĂšre GĂ©rald Lajeunesse est prĂȘtre et membre de la CongrĂ©gation des Oblats de la Vierge Marie omv. Il est curĂ© de la paroisse St Enfant-JĂ©sus de la Pointe-aux-Tremble, Ă  MontrĂ©al. Sur le mĂȘme thĂšme
7 Notre vocation Ă  l’intĂ©rieur du plan de Dieu ← ‒ 🔗. Aussi lorsque l’Église rĂ©flĂ©chit sur sa vocation, elle devrait toujours prendre garde aux signes que Dieu lui donne, et Ă  la promesse accompagnant l’appel qui lui est adressĂ©. Car elle travaille sous les auspices du Dieu transcendant. La vocation de chaque membre de l
7 signes que Dieu vous appelle au ministĂšre. Par Makko Musagara Dieu utilise de nombreuses façons de dire aux individus qu’il les appelle Ă  le servir. Beaucoup voient ces signes et sont confus de ne pas savoir quoi faire. D’autres ont tellement de doutes quant Ă  savoir si c’est vraiment Dieu qui leur parle. Ci-dessous, je vous donne 7 signes que Dieu vous appelle au ministĂšre. Dieu peut utiliser des rĂȘves. 5 Joseph eut un songe, et il le raconta Ă  ses frĂšres, qui le haĂŻrent encore davantage. 6 Il leur dit Ecoutez donc ce songe que j’ai eu! 7 Nous Ă©tions Ă  lier des gerbes au milieu des champs; et voici, ma gerbe se leva et se tint debout, et vos gerbes l’entourĂšrent et se prosternĂšrent devant elle. 8 Ses frĂšres lui dirent Est-ce que tu rĂ©gneras sur nous? Est-ce que tu nous gouverneras? Et ils le haĂŻrent encore davantage, Ă  cause de ses songes et Ă  cause de ses paroles. » GenĂšse 375-8 2. Dieu peut utiliser des visions. 3 Comme il Ă©tait en chemin, et qu’il approchait de Damas, tout Ă  coup une lumiĂšre venant du ciel resplendit autour de lui. 4 Il tomba par terre, et il entendit une voix qui lui disait Saul, Saul, pourquoi me persĂ©cutes-tu? 5 Il rĂ©pondit Qui es-tu, Seigneur? Et le Seigneur dit Je suis JĂ©sus que tu persĂ©cutes. [Il te serait dur de regimber contre les aiguillons. 6 Tremblant et saisi d’effroi, il dit Seigneur, que veux-tu que je fasse? Et le Seigneur lui dit] LĂšve-toi, entre dans la ville, et on te dira ce que tu dois faire.» Actes 93-6 3. Dieu peut utiliser ses prophĂštes Il y a de nombreuses annĂ©es, avant d’avoir pensĂ© Ă  commencer ce ministĂšre, j’étais Ă  l’arriĂšre d’une Ă©glise pleine Ă  craquer d’environ 1000 personnes. Alors que le service se dĂ©roulait, je suis restĂ© sans voix quand un prophĂšte de Dieu qui exerçait son ministĂšre Ă  la chaire qui Ă©tait Ă  environ 20 mĂštres a pointĂ© tout Ă  l’arriĂšre de la congrĂ©gation oĂč j’étais assis et a dit Vous homme assis Ă  l’arriĂšre lĂ -bas, Dieu vous appelle au ministĂšre . Comme la chaire Ă©tait loin, je pensais qu’il pointait peut-ĂȘtre mon voisin. Il m’a de nouveau montrĂ© du doigt mĂȘme en dĂ©crivant mon visage. Il a poursuivi Dieu vous appelle mais vous hĂ©sitez encore. Je vous vois avec un stylo Ă©crire, et Ă©crire, et Ă©crire. Commencez Ă  faire ce que Dieu vous a dit de faire maintenant » 4. Dieu peut utiliser son mot Rhema des Écritures. Au cours de mes premiĂšres annĂ©es de formation, partout oĂč je me sentais rĂ©ticent Ă  prier, Dieu me conduisait mystĂ©rieusement au livre de 2 Chroniques Chapitre 29. Le verset 11 me revenait toujours aux yeux 11 Maintenant, mes fils, cessez d’ĂȘtre nĂ©gligents; car vous avez Ă©tĂ© choisis par l’Eternel pour vous tenir Ă  son service devant lui, pour ĂȘtre ses serviteurs, et pour lui offrir des parfums. » 5. Vous pouvez avoir beaucoup de problĂšmes dans la vie Ă  cause de votre refus de rĂ©pondre Ă  l’appel de Dieu. La parole de l’Eternel fut adressĂ©e Ă  Jonas, fils d’AmitthaĂŻ, en ces mots 2 LĂšve-toi, va Ă  Ninive, la grande ville, et crie contre elle! car sa mĂ©chancetĂ© est montĂ©e jusqu’à moi. 3 Et Jonas se leva pour s’enfuir Ă  Tarsis, loin de la face de l’Eternel. Il descendit Ă  Japho, et il trouva un navire qui allait Ă  Tarsis; il paya le prix du transport, et s’embarqua pour aller avec les passagers Ă  Tarsis, loin de la face de l’Eternel. 4 Mais l’Eternel fit souffler sur la mer un vent impĂ©tueux, et il s’éleva sur la mer une grande tempĂȘte. Le navire menaçait de faire naufrage. 5 Les mariniers eurent peur, ils implorĂšrent chacun leur dieu, et ils jetĂšrent dans la mer les objets qui Ă©taient sur le navire, afin de le rendre plus lĂ©ger. Jonas descendit au fond du navire, se coucha, et s’endormit profondĂ©ment. » Jonas 11-5 6. Dieu peut vous envoyer ses messagers directement. Dieu a appelĂ© ma femme pour dĂ©marrer une Ă©glise dans son village rural oĂč elle est nĂ©e mais elle donnait toujours des excuses. Puis Dieu a commencĂ© Ă  envoyer des messagers dans sa boutique oĂč elle dirigeait ses affaires. Ils lui disaient Dieu vous dit que ce n’est pas ce qu’Il veut que vous fassiez. Allez crĂ©er une Ă©glise dans votre village d’origine » AprĂšs environ trois messagers, les affaires de ma femme se sont complĂštement effondrĂ©es. 7. Dieu peut vous appeler Ă  travers des miracles ou des Ă©vĂ©nements Ă©tranges. J’ai vu de nombreux mineurs de Dieu dont les ministĂšres ont commencĂ© aprĂšs avoir Ă©tĂ© miraculeusement guĂ©ris.
LeSeigneur donne des talents naturels Ă  chacun. Chacun de ces talents peuvent ĂȘtre des « signes de la VolontĂ© de Dieu » pour nous. Par exemple, si j’ai le talent du « leadership », cela
13 signes d’attaques de dĂ©mons. Par Makko Musagara 13 signes d’attaques de dĂ©mons. Cher lecteur, le diable combat en ordonnant Ă  ses dĂ©mons d’attaquer les chrĂ©tiens. Malheureusement, plusieurs fois, certains chrĂ©tiens ne savent pas qu’ils subissent des attaques dĂ©moniaques. Dans cet article, je vous donne 13 signes d’attaques de dĂ©mons. Veuillez noter que tous ces incidents ne sont pas toujours dus Ă  des attaques dĂ©moniaques. Cauchemars Lorsque vous ĂȘtes victime d’attaques dĂ©moniaques, votre vie de rĂȘve va changer. Vous commencerez Ă  faire des cauchemars. Priez dĂšs que vous sortez d’un mauvais rĂȘve. Appelez notre PĂšre cĂ©leste, JĂ©sus-Christ et le Saint-Esprit pour vous aider. RĂȘver de serpents. RĂȘver d’un serpent est un indicateur majeur d’attaque par des dĂ©mons. Priez dĂšs que vous sortez d’un tel rĂȘve. RĂȘver d’une vache ou d’un taureau qui vous attaque. RĂȘver d’une vache ou d’un taureau qui vous attaque est un autre indicateur d’attaques dĂ©moniaques. Priez dĂšs que vous sortez d’un tel rĂȘve. Les accidents Un accident peut ĂȘtre un indicateur d’attaque par des dĂ©mons. Faites une contre-attaque par la priĂšre. Veuillez noter que tous les accidents ne sont pas dus Ă  des attaques dĂ©moniaques. Sentiment de puissances malĂ©fiques entrant dans votre corps. Dans de nombreux cas, un chrĂ©tien peut sentir des puissances malĂ©fiques entrer dans son corps. Priez dĂšs que vous ressentez de tels pouvoirs. Confusion. Une personne attaquĂ©e par des dĂ©mons peut devenir confuse. Si cette situation n’est pas traitĂ©e tĂŽt, cette personne peut devenir folle. Perte de sommeil la nuit. Parfois, la prĂ©sence de dĂ©mons peut vous empĂȘcher de dormir. Au lieu de rester Ă©veillĂ© dans votre lit, allez dans la priĂšre. Des pertes financiĂšres inexplicables. Les dĂ©mons peuvent causer des pertes financiĂšres inexplicables. Lorsque vous subissez de telles pertes, priez pour la restauration de Dieu . Mort inexplicable. Parfois, un dĂ©cĂšs peut ĂȘtre trĂšs difficile Ă  expliquer. Cela peut ĂȘtre dĂ» Ă  des attaques dĂ©moniaques. Priez chaque fois que vous voyez ce type de mort. Faiblesse soudaine. Parfois, les dĂ©mons attaquent en drainant toute votre Ă©nergie. Lorsque cela se produit, priez pour la puissance du Saint-Esprit. Casse d’articles mĂ©nagers. Parfois, casser des objets mĂ©nagers comme des verres et des ustensiles en cĂ©ramique peut ĂȘtre un indicateur d’attaques dĂ©moniaques. Priez dĂšs qu’un ustensile se casse. Douleur soudaine. Parfois, un chrĂ©tien peut ressentir une douleur soudaine. Priez immĂ©diatement pour chasser les dĂ©mons. Maladie inexplicable. Parfois, les mĂ©decins peuvent ne pas diagnostiquer la maladie. Une telle maladie peut ĂȘtre due Ă  des attaques dĂ©moniaques. Demandez Ă  vos partenaires de priĂšre de venir prier pour votre guĂ©rison. Bruit Ă©trange. Un bruit Ă©trange peut indiquer la prĂ©sence d’un dĂ©mon. Par exemple, vous pouvez entendre quelque chose tomber sur le toit de votre maison.
Blog SIGNES ET PROMESSES ; Description : Ce Blog a pour but au travers de son contenu, d'Ă©difier l'Ă©glise de JĂ©sus-Christ, de faire connaĂźtre Ă  nos contemporains l'amour de Dieu manifestĂ© en JĂ©sus son fils bien aimĂ©.Les messages qui seront diffusĂ©s veulent ĂȘtre en bĂ©nĂ©dictions Ă  tous les milieux, en rappelant qu'aujourd'hui, Dieu veut encore faire Ă©clater
"Quand ces signes se seront rĂ©alisĂ©s pour toi, agis selon ce que tu trouveras Ă  faire, car Dieu est avec toi !" 1 Samuel Avez-vous tendance Ă  vouloir devancer le timing du Seigneur ? À prĂ©cipiter un appel, une direction en ne tenant pas compte du temps de Dieu ? Cela m'est arrivĂ© plusieurs fois. Un jour, par peur de rater une opportunitĂ©, je me suis prĂ©cipitĂ© Ă  communiquer un projet Ă  l'Ă©glise. Le rĂ©sultat ne fut pas probant, pourtant la pensĂ©e Ă©tait de Dieu mais, Ă  vouloir aller trop vite, j'ai manquĂ© le coche. Ne vous prĂ©cipitez pas, n'entravez pas le plan de Dieu en forçant les choses. Quand Samuel donna l'onction Ă  SaĂŒl pour devenir roi d'IsraĂ«l, il lui demanda de retourner chez lui et d'attendre que les signes soient rĂ©alisĂ©s. Quelle action devait accomplir SaĂŒl en attendant ? Simplement faire son travail habituel. Ce n'Ă©tait pas Ă  lui, mais Ă  l'Éternel de le mettre sur le devant de la scĂšne. Puis, le moment choisi par Dieu arriva. Le peuple d'IsraĂ«l fut agressĂ©, on envoya des messagers Ă  Guibea, la ville de SaĂŒl, pour expliquer au peuple ce qui se passait. Tous se mirent Ă  se lamenter et Ă  pleurer. À cet instant "SaĂŒl revenait des champs derriĂšre ses bƓufs" 1 Samuel Voyez-vous ? En attendant que les signes arrivent Ă  leur terme pour l'intronisation de SaĂŒl, ce dernier continuait Ă  travailler dans le champ derriĂšre ses bƓufs
 Pourtant, il avait reçu l'onction et avait Ă©tĂ© dĂ©signĂ© devant tout le peuple comme Ă©tant roi d'IsraĂ«l, toutefois, il continuait Ă  agir selon ce qu'il trouvait Ă  faire. SaĂŒl respecta le timing de Dieu. Mes bien-aimĂ©s, aujourd'hui je vous encourage Ă  attendre que les signes se rĂ©alisent. Ne vous prĂ©cipitez pas, n'entravez pas le plan de Dieu en forçant les choses. Tout ce que Dieu fait est parfait en son temps, car ce qu'il commence il l'accomplit parfaitement. Continuez d'agir dans votre champ, derriĂšre vos bƓufs. Soyez attentif aux signes car, si vous ne devez pas vous prĂ©cipiter, vous ne devez pas non plus laisser Ă©chapper l'occasion de saisir votre appel. Alors, attendez et dĂšs que Dieu dit "Action", foncez
 Une priĂšre pour aujourd'hui Seigneur, permets-moi de connaĂźtre et reconnaĂźtre les signes venant de toi pour que je puisse rentrer pleinement dans mon appel, amen.
Carle "Royaume de Dieu" est proche. Vendredi (29e semaine du temps ordinaire) ; Évangile de JĂ©sus-Christ selon saint Luc 12,54-59.. En ce temps-lĂ , JĂ©sus disait Ă  la foule : " Quand vous voyez un nuage monter au couchant,
L’Appel de Dieu — 2 TimothĂ©e 19; Romains 828, 29; HĂ©breux 118. Hamilton Smith. Traduit de Scripture Truth magazine, Volume 15, 1923, pages 248-252. Table des matiĂšres 1 - Le monde d’oĂč il a Ă©tĂ© appelĂ©. 2 - Le monde auquel nous sommes appelĂ©s 3 - L’effet actuel de l’appel sur le peuple de Dieu - Étrangers et pĂšlerins sur la terre - TĂ©moins de Dieu sur la terre - Nouvelles bĂ©nĂ©dictions 4 - Conclusion L’Écriture montre trĂšs clairement que ceux qui croient au Seigneur JĂ©sus-Christ sont Ă  la fois sauvĂ©s » et appelĂ©s ». Nous lisons en 2 TimothĂ©e 19 Dieu qui nous a sauvĂ©s et nous a appelĂ©s d’un saint appel ». Mais si tout vrai croyant connait quelque chose de la bĂ©nĂ©diction du salut de Dieu, il y en a relativement peu qui entrent dans la joie de l’appel. HĂ©las, il est Ă  craindre que pour beaucoup, l’appel » ne soit qu’un terme rencontrĂ© occasionnellement dans l’Écriture, sans grande signification prĂ©cise, et donc sans effet sur nos vies. Pourtant, rien n’a une influence aussi puissante sur les conceptions du chrĂ©tien, sur sa maniĂšre de vivre et sur le caractĂšre de ses associations, que la rĂ©alisation de l’appel de Dieu. Il faut se rappeler l’appel profondĂ©ment solennel adressĂ© au pĂ©cheur dans le rĂ©cit sur le jardin d’Eden Et l’Éternel Dieu appela l’homme, et lui dit OĂč es-tu ? » GenĂšse 39. C’était un appel pour que le pĂ©cheur rende compte de son pĂ©chĂ©. Ensuite il y a l’appel important fait au serviteur, par exemple quand le Saint-Esprit dit Mettez-moi 
 Ă  part Barnabas et Saul, pour l’Ɠuvre Ă  laquelle je les ai appelĂ©s » Actes 132. Ces deux appels ont leur place dans les voies de Dieu, mais nous ne faisons rĂ©fĂ©rence ici ni Ă  l’appel du pĂ©cheur, ni Ă  l’appel du serviteur, mais plutĂŽt Ă  l’appel adressĂ© au saint. Ce grand appel est la part commune de tous les saints, aussi lents soient-ils pour y rĂ©pondre et pour entrer dans les bĂ©nĂ©dictions qui s’y rapportent. L’appel de Dieu est venu Ă  nous dans l’évangile par lequel nous avons Ă©tĂ© sauvĂ©s 2 Tim. 19,10, mĂȘme si nous ne rĂ©alisons que faiblement, voire pas du tout, que Dieu nous a appelĂ©s. Naturellement notre premiĂšre prĂ©occupation a Ă©tĂ© le salut pour Ă©chapper au jugement de Dieu, et c’est Ă  juste titre que nos Ăąmes ont Ă©tĂ© remplies de reconnaissance pour ce grand salut. Mais nous n’avons guĂšre rĂ©alisĂ© que Dieu avait en vue quelque chose de beaucoup plus grand devant Lui que le salut de nos Ăąmes, qu’Il avait un propos glorieux pour nous, et que c’est en vue de l’accomplissement de ce propos qu’Il nous appelait. C’était pourtant bien la rĂ©alitĂ© ; en effet, si le salut de Dieu a en vue notre dĂ©livrance du jugement, l’appel de Dieu a en vue l’accomplissement du propos de Dieu. C’est ainsi qu’il est parlĂ© en Romains 828, de ceux qu’Il a appelĂ©s selon Son propos ». Quelle pensĂ©e sublime ! Dieu a un propos pour les Siens, un propos Ă©tabli avant la fondation du monde, et c’est dans le but de l’accomplir qu’Il nous a appelĂ©s. Il nous a sauvĂ©s parce que nous avions besoin de salut. Il nous a appelĂ©s parce qu’Il nous voulait. C’est ainsi le privilĂšge de tout croyant de dire Bien que Dieu soit si grand, et que je sois si petit, Dieu me veut ; et me voulant, Il m’a appelĂ© ». Pour comprendre la signification spirituelle de l’appel de Dieu, il est utile de considĂ©rer l’histoire d’Abraham. Il a Ă©tĂ© le premier saint de l’Ancien Testament Ă  ĂȘtre appelĂ© de Dieu. Il y avait eu d’autres hommes de foi avant lui. Abel avait souffert pour la foi en Ă©tant dans le monde. Énoch marcha par la foi Ă  travers le monde. NoĂ© a Ă©tĂ© sauvĂ© par la foi hors d’un monde en ruine. Mais il a fallu attendre le temps d’Abraham pour entendre parler d’un saint appelĂ© hors du monde. Or le monde Ă©tait ĂągĂ© de 1800 ans quand Dieu appela un homme pour en sortir. RĂ©flĂ©chissons un peu, et nous verrons la raison de ce dĂ©lai. Jusqu’aux jours d’Abraham, les choses n’étaient pas mĂ»res pour l’appel de Dieu ; car si Dieu appelle un homme hors du monde, c’est que le moment est arrivĂ© oĂč il est manifeste que le monde est condamnĂ©, et que Dieu en a fini avec lui. Dieu peut continuer avec lui pendant un certain temps, comme d’ailleurs Il l’a fait pendant de longs siĂšcles ; et dans les voies de Dieu beaucoup de choses peuvent y ĂȘtre produites ; mais Ă  partir du moment oĂč Dieu appelle un homme hors du monde, nous pouvons ĂȘtre certains que, non seulement le monde en a fini avec Dieu, mais que Dieu en a fini avec le monde en tant que tel. En outre, l’appel de Dieu signifie non seulement que Dieu en a fini avec ce monde mauvais, mais que le moment est venu pour Dieu de commencer Ă  rĂ©vĂ©ler Ă  la foi un grand secret, Ă  savoir qu’Il a un autre monde en vue, un monde oĂč tout est en accord avec Lui-mĂȘme. Ainsi l’appel d’Abraham a Ă©tĂ© un tout nouveau dĂ©part dans les voies de Dieu. Et le nouveau principe sur lequel Dieu a commencĂ© Ă  agir il y a 4000 ans, est le principe sur lequel Dieu agit encore aujourd’hui, quoiqu’avec la venue de Christ, Sa mort, et Sa sĂ©ance Ă  la droite de Dieu, l’appel de Dieu a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© beaucoup plus complĂštement et nettement. Deux aspects de l’appel ressortent trĂšs nettement de l’histoire d’Abraham. Nous lisons en HĂ©breux 118 Ă©tant appelé  pour s’en aller », par rĂ©fĂ©rence au monde qu’il devait laisser derriĂšre lui. Ensuite, nous lisons Ă©tant appelĂ© pour s’en aller au lieu qu’il devait recevoir pour hĂ©ritage ». Ce qui est en vue ici, c’est le nouveau monde dans lequel il a Ă©tĂ© appelĂ©. Étienne se rĂ©fĂšre Ă©galement Ă  ces deux aspects de l’appel d’Abraham, car il relate que Dieu dit Ă  Abraham Sors de ton pays et de ta parentĂ©, et viens au pays que je te montrerai. » Actes 73. 1 - Le monde d’oĂč il a Ă©tĂ© appelĂ©. Les ch. 10 et 11 de la GenĂšse dĂ©crivent le caractĂšre terrible du monde d’oĂč Abraham a Ă©tĂ© appelĂ© Ă  sortir. Trois choses marquaient ce monde. Tout d’abord c’était un monde apostat tombĂ© dans l’idolĂątrie. Nous le savons par les derniĂšres paroles de JosuĂ© Ă  IsraĂ«l rapportĂ©es en JosuĂ© 242. Il leur rappelle que leurs pĂšres, avec TĂ©rakh pĂšre d’Abraham, ont servi d’autres dieux ». L’idolĂątrie exclut le vrai Dieu en Ă©tablissant des dieux selon l’imagination mauvaise de l’homme. Cela signifie que l’homme avait apostasiĂ© de Dieu, et que Dieu Ă©tait exclu du monde de l’homme. DeuxiĂšmement, c’était un monde oĂč l’homme se glorifiait lui-mĂȘme, car ils disaient Allons, bĂątissons-nous une ville, et une tour dont le sommet [atteigne] jusqu’aux cieux ; et faisons-nous un nom » GenĂšse 114. Non seulement ce monde dĂ©shonorait Dieu, mais aussi il glorifiait l’homme. Enfin, le ch. 11 se termine dans l’obscuritĂ© de la mort TĂ©rakh mourut Ă  Charan ». Le monde qui exclut Dieu et glorifie l’homme, est un monde qui est sous l’emprise de la mort. Les hommes peuvent acquĂ©rir une grande renommĂ©e, comme Nimrod qui Ă©tait puissant sur la terre ; ils peuvent construire de grandes villes comme Assur, ou tenter de construire une tour dont le sommet touche au ciel, comme les hommes de Babel ; mais Ă  la fin, le puissant doit s’incliner devant un encore plus puissant, la ville s’écroule dans la poussiĂšre, la tour devient un monceau, et la mort rĂšgne sur tout. VoilĂ  ce qu’était le monde d’oĂč Abraham a Ă©tĂ© appelĂ©. Un monde d’oĂč Dieu Ă©tait exclu, oĂč l’homme Ă©tait exaltĂ©, et sur lequel la mort rĂ©gnait. Or tel qu’était le monde alors, tel il est encore aujourd’hui. Le monde actuel mauvais a eu son commencement dans les jours qui ont suivi le dĂ©luge. L’apĂŽtre Pierre, se rĂ©fĂ©rant au monde avant le dĂ©luge, l’appelle le monde d’alors » 2 Pierre 36. Ce monde a disparu Ă  jamais ; mais immĂ©diatement aprĂšs, il parle des cieux et de la terre de maintenant ». Il fait rĂ©fĂ©rence par-lĂ  au monde qui a commencĂ© aprĂšs le dĂ©luge. Et comme il a commencĂ©, en excluant Dieu, en exaltant l’homme, et en alimentant la mort, ainsi il a continuĂ©, et ainsi il finira dans un dernier Ă©clat furieux d’apostasie de Dieu, d’exaltation de l’homme, et de dĂ©vastation de la mort. Un monde avec un pareil caractĂšre ne convient Ă©videmment pas Ă  Dieu. Le parole reçue par Abraham Ă©tait Va-t’en de ton pays, et de ta parentĂ©, et de la maison de ton pĂšre » GenĂšse 121 ; et la parole de nos jours est Sortez du milieu d’eux et soyez sĂ©parĂ©s » 2 Cor 617 ; quant aux corruptions babyloniennes de la chrĂ©tientĂ©, la parole est Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez pas Ă  ses pĂ©chĂ©s et que vous ne receviez pas de ses plaies » Apoc. 184. Ceci, cependant, n’est qu’un aspect de l’appel de Dieu. Il y a, comme nous l’avons vu, un autre aspect trĂšs bĂ©ni. 2 - Le monde auquel nous sommes appelĂ©s Si l’histoire d’Abraham nous instruit sur le caractĂšre du monde de l’homme, elle nous donne aussi des aperçus brillants du monde de Dieu. On se souvient qu’Étienne commence son discours devant le sanhĂ©drin juif en rappelant l’histoire d’Abraham. Il dit Le Dieu de gloire apparut Ă  notre pĂšre Abraham ». Il ne dit pas le Dieu de la terre’, mais le Dieu de gloire’, c’est-Ă -dire le Dieu d’un autre monde, un monde de gloire. Dans l’Écriture, la grande pensĂ©e de la gloire, c’est Dieu manifestĂ©. Le Dieu de gloire implique le Dieu d’une scĂšne oĂč Dieu est parfaitement rĂ©vĂ©lĂ© selon Sa nature et Ses attributs. EntourĂ©s comme nous le sommes de tous cĂŽtĂ©s par un monde oĂč s’étale le mal du cƓur de l’homme, d’oĂč Dieu est exclu, oĂč l’homme est exaltĂ© et oĂč la mort rĂšgne, nos sensibilitĂ©s sont Ă©moussĂ©es par le contact permanent avec ce monde-lĂ , et nous avons du mal Ă  rĂ©aliser la bĂ©nĂ©diction infinie d’un autre monde, celui oĂč Dieu est pleinement rĂ©vĂ©lĂ© — oĂč tout parle de l’amour, de la saintetĂ©, de la sagesse et de la puissance de Dieu, une scĂšne donc de joie parfaite et de repos, oĂč le pĂ©chĂ©, la douleur, et la mort ne pĂ©nĂštrent jamais. Un tel monde de gloire est aux antipodes de ce monde mauvais. Or non seulement ce nouveau monde de gloire a Ă©tĂ© mis au grand jour, mais le propos de Dieu d’y avoir les Siens a aussi Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©, car si le Dieu de gloire est apparu Ă  un homme, c’est pour que l’homme puisse paraĂźtre dans la gloire de Dieu. Cela aussi ressort de façon trĂšs heureuse dans l’histoire d’Étienne. Car s’il commence son discours par le Dieu de gloire apparaissant Ă  un homme, il le termine par le tĂ©moignage rendu Ă  l’Homme apparaissant dans la gloire de Dieu Mais lui
 ayant les yeux attachĂ©s sur le ciel, vit la gloire de Dieu, et JĂ©sus debout Ă  la droite de Dieu ; et il dit Voici, je vois les cieux ouverts, et le Fils de l’homme debout Ă  la droite de Dieu » Actes 755-56. L’Esprit de Dieu, par Étienne, place ainsi devant nous un nouveau monde de gloire, et un Homme nouveau dans cette gloire, Quelqu’un de parfaitement adaptĂ© Ă  une scĂšne oĂč Dieu est pleinement rĂ©vĂ©lĂ©. En outre, l’apĂŽtre Paul nous dit que ceux qui sont appelĂ©s selon le propos de Dieu sont prĂ©destinĂ©s Ă  ĂȘtre conformes Ă  l’image de Son Fils Rom. 828, 29. Dans la mesure oĂč ces vĂ©ritĂ©s entrent dans nos Ăąmes dans toute leur grandeur, nous commençons Ă  rĂ©aliser la bĂ©nĂ©diction surabondante de cet appel qui nous introduit dans un monde de gloire, pour y ĂȘtre conformes Ă  l’image de l’Homme dans la gloire. Nous pouvons bien chanter Est-ce possible ! Nous serons semblables Ă  Ton Fils. Est-ce lĂ  la grĂące qu’Il nous a gagnĂ©e ? PĂšre de gloire, quelle pensĂ©e qui surclasse toute autre Être amenĂ©s Ă  Sa ressemblance bĂ©nie dans la gloire ! Ayant vu le caractĂšre de l’appel, Ă  la fois par rapport au monde d’oĂč nous sommes appelĂ©s, et par rapport au monde vers lequel nous sommes appelĂ©s, — nous pouvons bien nous demander quel est l’effet prĂ©sent de l’appel sur le peuple de Dieu. 3 - L’effet actuel de l’appel sur le peuple de Dieu Ici encore, l’histoire d’Abraham nous fournit une riche instruction. Il est Ă©vident que l’appel de Dieu a entiĂšrement changĂ© le cours de sa vie. Il est Ă©galement clair que ce changement n’a Ă©tĂ© produit que dans la mesure oĂč il a rĂ©pondu Ă  l’appel. L’appel de Dieu est devenu un test pour la foi d’Abraham, tout comme d’ailleurs il devient un test pour chaque enfant de Dieu aujourd’hui. Voici le test l’appel de Dieu dans toute sa grandeur et sa bĂ©nĂ©diction, a-t-il une emprise telle sur nos affections qu’il l’emporte sur toute autre considĂ©ration ? Dans le cas d’Abraham, Dieu lui a dit Va-t’en de ton pays, et de ta parentĂ©, et de la maison de ton pĂšre, dans le pays que je te montrerai ». C’était, en effet, un test sĂ©vĂšre pour la foi d’Abraham. L’appel de Dieu Ă©tait-il si important et si bĂ©ni Ă  ses yeux qu’il pouvait obĂ©ir Ă  cet appel et laisser entiĂšrement derriĂšre lui son pays, sa parentĂ©, et la maison de son pĂšre ? L’histoire d’Abraham nous dit qu’il a Ă©tĂ© freinĂ©, pour un temps, par la maison de son pĂšre. Abraham a Ă©tĂ© appelĂ© Ă  quitter littĂ©ralement le pays de sa naissance, sa parentĂ© et la maison de son pĂšre. Dans le cas du chrĂ©tien l’appel ne prend pas ce caractĂšre littĂ©ral, mais nĂ©anmoins nous sommes appelĂ©s Ă  ĂȘtre moralement en dehors du pays, de la parentĂ© et de la maison du pĂšre. Et si le chrĂ©tien en est moralement en dehors, cela peut amener Ă  ce qu’il soit chassĂ© du cercle politique, social, et mĂȘme familial, comme dans le cas de l’aveugle-nĂ© de Jean 9. En tout cas, le moment vient dans notre vie oĂč nous avons Ă  dĂ©cider si ce qui est primordial est l’appel puissant de Dieu, ou les revendications insistantes du pays, de la parentĂ©, et de la maison de son pĂšre. Si nous obĂ©issons Ă  l’appel, l’effet sera triple. - Étrangers et pĂšlerins sur la terre Tout d’abord, nous deviendrons Ă©trangers et pĂšlerins sur la terre. C’est ce qui arriva pour Abraham et pour ceux qui lui Ă©taient associĂ©s. Ils ont entendu l’appel de Dieu, ils ont vu de loin » la perspective bĂ©nie dĂ©ployĂ©e devant eux dans les promesses qui parlaient de la patrie cĂ©leste et de la citĂ© de Dieu. Le rĂ©sultat en a Ă©tĂ©, qu’étant persuadĂ©s de ces promesses, ils s’en sont emparĂ©, et ont confessĂ© qu’ils Ă©taient Ă©trangers et pĂšlerins sur la terre. - TĂ©moins de Dieu sur la terre DeuxiĂšmement, aprĂšs avoir acceptĂ© de suivre un chemin oĂč l’on est Ă©tranger, on devient tĂ©moin de Dieu sur la terre. Ainsi quant Ă  ceux qui, comme Abraham, ont confessĂ© ĂȘtre devenus Ă©trangers et pĂšlerins, il est dit d’eux ceux qui disent de telles choses montrent clairement qu’ils recherchent une patrie » HĂ©b. 1113-14. L’homme qui a une confession claire comme tĂ©moin de Dieu, est l’homme qui rĂ©pond Ă  l’appel de Dieu. - Nouvelles bĂ©nĂ©dictions TroisiĂšmement, ayant rĂ©pondu Ă  l’appel, ayant pris le chemin en tant qu’étrangers, et s’étant donc franchement dĂ©clarĂ© pour Dieu, on acquiert de nouvelles bĂ©nĂ©dictions pour son Ăąme, et on fait donc des progrĂšs spirituels dans la lumiĂšre reçue. Il en fut ainsi avec Abraham. Il n’a pas reçu d’autre lumiĂšre de Dieu jusqu’à ce qu’il ait rĂ©pondu Ă  l’appel. Mais une fois qu’il a rĂ©pondu Ă  l’appel, Dieu lui est apparu pour la seconde fois, et lui a donnĂ© davantage de lumiĂšre, lui parlant de la Semence, et disant Je donnerai ce pays Ă  ta semence » GenĂšse 127. Le grand panorama de gloire dĂ©roulĂ© Ă  la foi dans l’appel de Dieu rend les gloires fugitives de ce monde trĂšs faibles et fort minces. Quand on les voit dans leurs vraies dimensions, les laisser derriĂšre n’est guĂšre difficile. Et s’il arrive que pour un moment » l’appel de Dieu soit source d’une lĂ©gĂšre affliction », qu’importe puisque nous savons qu’il y a au-delĂ  en mesure surabondante, un poids Ă©ternel de gloire » 2 Corinthiens 417 ! 4 - Conclusion Puisse l’appel de Dieu devenir pour chacun de nous si rĂ©el, si net et si grand que, comme Paul autrefois, nous puissions dire, oubliant les choses qui sont derriĂšre et tendant avec effort vers celles qui sont devant, je cours droit au but pour le prix de l’appel cĂ©leste de Dieu dans le christ JĂ©sus » Philippiens 314, et que nous soyons vraiment en mesure de chanter AppelĂ©s d’en-haut, Êtres cĂ©lestes par naissance, Jadis citoyens de la terre, Aujourd’hui pĂšlerins ici-bas, Nous cherchons une patrie cĂ©leste, Notre part pour les siĂšcles Ă  venir.
Lappel de Dieu. Écoute, ma fille. Tu as 18 ans ou plus, tu aspires au vrai bonheur et tu songes Ă  ta vocation. Tu entends peut-ĂȘtre l’appel de JĂ©sus, toujours vivant prĂšs de toi. DĂ©sires-tu te consacrer Ă  lui pour l’aimer par-dessus tout?
Le Coran est un guide pour l’humanitĂ©. Il mĂšne au succĂšs dans cette vie et au bonheur Ă©ternel dans l’au-delĂ , un prĂ©sent du CrĂ©ateur Ă  Sa crĂ©ation. C’est un livre rempli de signes que Dieu appelle des indices, des preuves, des leçons. Ces signes prouvent l’existence de Dieu et mettent en garde l’humanitĂ© contre le Jour du Jugement, oĂč chacun d’entre nous se tiendra devant Dieu, Ă©crasĂ© ou, au contraire, Ă©levĂ© par les actions qu’il aura accomplies sur terre. Un des signes les plus manifestes du Coran est l’histoire de MoĂŻse, une histoire qui comprend de nombreuses leçons pour l’humanitĂ©. Un Ă©lĂ©ment de ce rĂ©cit qui a intriguĂ© le monde des siĂšcles durant est le partage des eaux de la Mer Rouge et la noyade des Égyptiens. Les trois grandes religions monothĂ©istes judaĂŻsme, christianisme et islam rapportent sensiblement la mĂȘme histoire de MoĂŻse, Ă  la diffĂ©rence prĂšs que le Coran apporte de nombreux dĂ©tails supplĂ©mentaires et corrige certaines interprĂ©tations erronĂ©es. Tandis que toutes les versions incluent le partage des eaux de la Mer Rouge et la mort par noyade de Pharaon, le Coran nous apprend que le corps de Pharaon sera prĂ©servĂ© jusqu’à la fin des temps afin de servir de signe et de rappel aux gens. Nous allons aujourd’hui Ă©pargner ton corps afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront aprĂšs toi. Mais en vĂ©ritĂ©, beaucoup de gens ne prĂȘtent aucune attention Ă  Nos signes. » Coran 1092 Quand Pharaon dĂ©tenait le pouvoir, qu’il Ă©tait riche, puissant et en bonne santĂ©, il refusait de reconnaĂźtre l’existence de Dieu. Il nia toutes les preuves qui lui furent prĂ©sentĂ©es et fut ainsi l’artisan de sa propre condamnation. Mais Ă  la derniĂšre minute, tandis que les vagues menaçaient de le noyer et que son cƓur se serra de terreur, Pharaon reconnut Dieu. Son arrogance s’évanouit d’un seul coup, mais il Ă©tait, hĂ©las, trop tard; il vit la mort approcher et, devant l’horreur de ce qui l’attendait, pria Dieu de lui venir en aide. Le fameux Ă©rudit musulman Ibn Kathir dĂ©crit ainsi la mort de Pharaon Le rideau tomba sur la tyrannie de Pharaon et les vagues rejetĂšrent son corps sur la rive occidentale de la mer. Les Égyptiens l’aperçurent et comprirent aussitĂŽt que la divinitĂ© qu’ils adoraient et Ă  laquelle ils obĂ©issaient n’avait Ă©tĂ© rien d’autre qu’un homme, un homme incapable d’éloigner la mort de sa propre personne. » Dieu, en parlant du corps de Pharaon, parle d’un signe pour ceux qui viendront aprĂšs ». Beaucoup de pharaons d’Égypte se sont comportĂ©s comme s’ils Ă©taient des dieux. Quand un pharaon atteignait sa trentiĂšme annĂ©e de rĂšgne, on organisait une cĂ©rĂ©monie appelĂ©e Sed, au cours de laquelle le pharaon recevait officiellement le titre de dieu ». Plusieurs pharaons, surtout ceux ayant rĂ©gnĂ© durant ce qui est appelĂ© le deuxiĂšme royaume », ont fait Ă©riger de nombreux monuments et statues en leur honneur. Certains, et plus particuliĂšrement Amenhotep III et RamsĂšs II, souhaitaient laisser leur marque en souvenir de leur puissance, de leur richesse et de leur prĂ©tendu caractĂšre divin. Dieu dit Ă  MoĂŻse Rends-toi auprĂšs de Pharaon, car il s’est certes rebellĂ©. Et dis-lui Souhaites-tu te purifier? » Coran 7917-18 Puis, tournant rapidement le dos, Pharaon alla rassembler [ses gens] et proclama C’est moi votre seigneur, le trĂšs-haut! ». Alors Dieu le saisit et en fit un exemple pour l’au-delĂ  comme pour le monde d’ici-bas. Certes, il y a en cela une leçon pour celui qui craint Dieu. »Coran 7924-25 Alors Pharaon dit Ô notables! Je ne vous connais pas d’autre divinitĂ© que moi-mĂȘme. Ô Haman, allume-moi le four Ă  briques, puis construis-moi une tour afin que je puisse monter jusqu’au dieu de MoĂŻse. Mais je pense, en vĂ©ritĂ©, qu’il est du nombre des menteurs. » Coran 2838 Les pharaons de l’ancienne Égypte Ă©taient connus pour leurs excĂšs, leur croyance en de multiples divinitĂ©s et leur cruautĂ© et oppression envers leurs esclaves et les citoyens de leur pays. Quand un ĂȘtre humain croit fermement qu’il n’est rien de moins qu’un dieu, il devient inĂ©vitablement arrogant et tyrannique. MalgrĂ© cela, et malgrĂ© l’incroyable arrogance du pharaon du temps de MoĂŻse, Dieu Ă©tait prĂȘt Ă  lui pardonner. Il lui envoya une succession de signes et de preuves de Son existence, mais Pharaon continua de vivre comme s’il n’y avait pas de lendemain. Il rejeta du revers de la main les offres de pardon que Dieu lui transmettait par l’intermĂ©diaire de MoĂŻse. Pour des gens comme cela, il y a pourtant toujours un lendemain et un inĂ©luctable jugement, suivi d’un chĂątiment. Partez, toi et ton frĂšre, [tous deux appuyĂ©s de] Mes signes, et ne cessez pas de M’invoquer. Allez tous deux trouver Pharaon; il a certes transgressĂ© toutes les limites. Et parlez-lui gentiment; peut-ĂȘtre prĂȘtera-t-il attention ou Me craindra-t-il. »Coran 2042-44 Les signes que Dieu envoya Ă  Pharaon Ă©taient destinĂ©s Ă  lui servir de rappel, mais Pharaon n’y porta aucune attention et sera donc du nombre des perdants dans l’au-delĂ . Les corps des pharaons, qui ont Ă©tĂ© prĂ©servĂ©s jusqu’à aujourd’hui, sont des rappels des paroles de Dieu. On peut Ă©galement les comparer Ă  beaucoup de gens d’aujourd’hui, qui se comportent comme des rois infaillibles, et nous rappeler comment Dieu chĂątie les arrogants et les tyrans. La fin tragique de Pharaon est un rappel pour toute l’humanitĂ©. Elle nous rappelle que ceux qui choisissent dĂ©libĂ©rĂ©ment de ne pas adorer Dieu comme Il le mĂ©rite risquent de n’ĂȘtre jamais guidĂ©s sur la bonne voie. Combien de signes Dieu nous enverra-t-Il encore? Un? Un million? Vaut-il vraiment la peine de renoncer totalement au bonheur Ă©ternel pour quelques moments de contentement et de fiertĂ© basĂ©s uniquement sur l’ego et l’arrogance? Source Un mot sur les tyrans"Un tyran est une personne dotĂ©e d'une incroyable mĂ©chancetĂ©. Nous pouvons citer comme exemple Ota tyran de Amino, il aurait a lui seul tuĂ© plus de 100 personnes.du grec ancien ÏÏÎ±ÎœÎœÎż / tĂșrannos, dĂ©signe dans l'AntiquitĂ© grecque un individu disposant d’un pouvoir absolu, aprĂšs s'en ĂȘtre emparĂ© de façon illĂ©gitime. Le mot tyran, peut-ĂȘtre d'origine lydienne a Ă©tĂ© appliquĂ© pour la premiĂšre fois au viiie siĂšcle av. au roi lydien GygĂšs par le sophiste Hippias d'Élis. Le terme prit trĂšs vite un sens pĂ©joratif, notamment Ă  AthĂšnes, impliquant que le tyran abuse de son pouvoir la nature du pouvoir tyrannique se reconnaĂźt en effet Ă  ce que le tyran, sans abolir les lois, se place au-dessus d'elles[2]. La perversion de ce rĂ©gime tient aussi au fait que la tyrannie cumule les vices de la dĂ©mocratie et ceux de l'oligarchie », en raison de l'amour du tyran pour les richesses et de son hostilitĂ© Ă  l'Ă©gard du peuple qu'il dĂ©sarme et asservit[3]. En outre, ce rĂ©gime se caractĂ©rise par son arbitraire, le tyran Ă©tant celui qui, dans la citĂ©, exerce son autoritĂ© selon ses propres vues » ; Platon utilise presque les mĂȘmes termes dans Le Politique, et le sous-entend en le dĂ©crivant dans le Gorgias. Sur le plan politique, il y a une diffĂ©rence entre tyrannie » et despotisme » dans la GrĂšce antique, un tyran Ă©tait un homme qui disposait d’un pouvoir assurĂ© par la force ; ce pouvait ĂȘtre un ancien magistrat, parfois mĂȘme un esclave, arrivĂ© au pouvoir aprĂšs un coup d'État, par ruse plus que par violence. Les tyrans ne prirent jamais officiellement le titre de tyran, et il n'y eut pas de titre gĂ©nĂ©ral et officiel pour les dĂ©signer, c'est pourquoi on leur donne le nom dont leurs ennemis les stigmatisaient."Source NemrodLe Coran fustige les gouverneurs qui se posent en seigneurs absolus sur terre, et qui asservissent les serviteurs de Dieu, tels que Nemrod Ă  propos duquel le Coran relate le face Ă  face qui l’a opposĂ© Ă  Abraham en ces termes N’as-tu pas vu celui qui, parce que AllĂąh l’avait fait roi, argumenta contre Abraham au sujet de son Seigneur ? Abraham ayant dit "J’ai pour Seigneur Celui qui donne la vie et la mort", "Moi aussi, dit l’autre, je donne la vie et la mort." Alors dit Abraham "Puisqu’AllĂąh fait venir le soleil du Levant, fais-le donc venir du Couchant." Le mĂ©crĂ©ant resta alors confondu. AllĂąh ne guide point les gens injustes. » Sourate 2, Al-Baqarah, La gĂ©nisse, verset 258. Ce tyran, qui affirmait donner la vie et la mort, tout comme le seigneur d’Abraham — le Seigneur des Mondes — donne la vie et la mort, exigeait que les gens lui vouent un culte comme ils vouaient un culte au seigneur d’Abraham. L’imprudence de cet homme Ă©tait telle qu’il a choisi au hasard deux passants dans la rue et les a condamnĂ© Ă  mort. Il a fait exĂ©cuter l’un d’eux en disant VoilĂ , je lui ai donnĂ© la mort. » Puis, il a amnistiĂ© l’autre en disant VoilĂ , je lui ai donnĂ© la vie » et de demander N’est-il pas vrai que je donne la vie et la mort ? » Dans la mĂȘme veine, il y a Pharaon qui a fait annoncer Ă  son peuple Je suis votre Seigneur le TrĂšs-Haut. » Sourate 79, An-NĂązi`Ăąt, verset 24. En effet, le Coran condamne trois formes de vices caractĂ©risant le despotisme politique 1 Le gouverneur se posant en dieu sur terre, dominant la terre de Dieu et sĂ©vissant contre les serviteurs de Dieu, Ă  l’instar de Pharaon. Pharaon2 L’homme politique arriviste qui met son intelligence et son expĂ©rience au service d’un tyran afin d’asseoir son pouvoir et assujettir les masses, Ă  l’instar de HĂąmĂąn.. 3 Le capitaliste qui profite du pouvoir du tyran ; il soutient ce dernier par sa fortune pour rĂ©colter une fortune encore plus grande qu’il suce dans la sueur et le sang du peuple, Ă  l’instar de QĂąrĂ»n CorĂ©. III. LE CORAN FAIT LIEN ENTRE LA TYRANNIE ET LA CORRUPTION Le Coran Ă©tablit une relation entre la tyrannie et la propagation de la corruption qui entraĂźne le pĂ©ril et la destruction des nations. Le TrĂšs-Haut dit en effet N’as-tu pas vu comment ton Seigneur a agi avec les `Âd § avec Iram, la citĂ© Ă  la colonne remarquable, § dont jamais pareille ne fut construite parmi les villes ? § et avec les ThamĂ»d qui taillaient le rocher dans la vallĂ©e ? § ainsi qu’avec Pharaon, l’homme aux Ă©pieux ? § Tous, Ă©taient des tyrans dans leurs pays, § et y avaient semĂ© beaucoup de corruption. » Sourate 89, Al-Fajr, L’aube, versets 6 Ă  12. Parfois, le Coran dĂ©signe la tyrannie en parlant d’élĂ©vation » `uluww, qui correspond Ă  un sentiment de supĂ©rioritĂ© et le fait de sĂ©vir contre les gens en les humiliant et en les Ă©crasant. Ainsi le TrĂšs-Haut dit de Pharaon Pharaon qui Ă©tait hautain et outrancier » Sourate 44, Ad-DukhĂąn, La fumĂ©e, verset 31. Pharaon Ă©tait hautain sur terre ; il rĂ©partit en clans ses habitants, afin d’abuser de la faiblesse de l’un d’eux Il Ă©gorgeait leurs fils et laissait vivantes leurs femmes. Il Ă©tait vraiment parmi les fauteurs de corruption. » Sourate 28, Al-Qasas, Les rĂ©cits, verset 4. Ainsi voit-on que le sentiment de supĂ©rioritĂ© va toujours de pair avec la corruption. LES SOLDATS DU TYRAN ET SES MOYENS D’OPPRESSION PARTAGENT SON PÉCHÉEn sus des tyrans eux-mĂȘmes, la responsabilitĂ© des mĂ©faits repose sur les instruments du pouvoir », que le Coran dĂ©signe par le terme soldats », et qui correspondent Ă  la force militaire qui constitue la force de frappe du pouvoir politique destinĂ©e Ă  mĂąter les populations si d’aventure elles se rebellaient ou songeaient Ă  se rebeller. Le Coran dit Ă  ce sujet Pharaon, HĂąmĂąn et leurs soldats Ă©taient fautifs. » Sourate 28, Al-Qasas, Les rĂ©cits, verset 8. et Nous le saisĂźmes donc, ainsi que ses soldats, et les jetĂąmes dans le flot. Regarde donc ce qu’il est advenu des injustes ! » Sourate 28, Al-Qasas, Les rĂ©cits, verset 40. LE CORAN CRITIQUE LES PEUPLES QUI SE SOUMETTENT AUX TYRANS Le Coran n’a pas limitĂ© sa condamnation aux individus qui se prennent pour des dieux uniquement, il a Ă©tendu sa critique Ă  leurs peuples qui ont obĂ©i Ă  leur commandement, leur ont emboĂźtĂ© le pas et leur ont confiĂ© leur sort. Le Coran leur a attribuĂ© une part de responsabilitĂ©. Le TrĂšs-Haut dit Ă  propos du peuple de NĂ»h NoĂ© NoĂ© dit "Seigneur, ils m’ont dĂ©sobĂ©i et ils ont suivi celui dont les biens et les enfants n’ont fait qu’accroĂźtre la perte. » Sourate 71, NĂ»h, NoĂ©, verset 21.Il dit — ExaltĂ© soit-Il — Ă  propos des `Âd, le peuple de HĂ»d VoilĂ  les `Âd. Ils avaient niĂ© les signes de leur Seigneur, dĂ©sobĂ©i Ă  Ses messagers et suivi le commandement de tout tyran entĂȘtĂ©. » Sourate 11, HĂ»d, verset 59. Il dit aussi — ExaltĂ© soit-Il — Ă  propos du peuple de Pharaon Ainsi chercha-t-il Ă  Ă©tourdir son peuple et ainsi lui obĂ©irent-ils car ils Ă©taient des gens pervers. » Sourate 43, Az-Zukhruf, L’ornement, verset 54. Mais ils suivirent l’ordre de Pharaon, bien que l’ordre de Pharaon n’était point avisĂ©. § Il prĂ©cĂ©dera son peuple, au Jour de la RĂ©surrection. Il les mĂšnera Ă  l’aiguade du Feu. Et quelle dĂ©testable aiguade ! » Sourate 43, Az-Zukhruf, L’ornement, verset 54. Il a fait porter aux peuples une part de responsabilitĂ© car ce sont les peuples qui fabriquent les pharaons et les tyrans. C’est ce que les gens expriment dans l’adage On a demandĂ© Ă  Pharaon “Qu’est-ce qui a fait de toi un despote ?” Il a rĂ©pondu “Personne ne m’a arrĂȘtĂ© !” » LA SUNNAH FUSTIGE LES PRINCES INJUSTES La tradition prophĂ©tique a Ă©galement fustigĂ© les princes injustes et les tyrans, qui mĂšnent leurs peuples au martinet, et lorsqu’ils se prononcent personne n’ose les reprendre. Ceux-lĂ  sont ceux qui se prĂ©cipitent dans le feu tels des papillons de nuit ». Elle a Ă©galement fustigĂ© leurs auxiliaires, qui les entourent et les encensent. La tradition prophĂ©tique critique aussi les peuples qui se laissent imprĂ©gner par la peur au point que personne ne puisse appeler un tyran un tyran. Selon AbĂ» MĂ»sĂą, le Messager de Dieu dit La GĂ©henne contient une vallĂ©e dans laquelle se trouve un puits du nom de Habhab. Dieu y a destinĂ© tout tyran obstinĂ©. » Selon Mu`Ăąwiyah, le ProphĂšte dit AprĂšs moi viendront des gens qui se prononceront sans que personne n’ose les reprendre, ils feront la grimace dans le Feu comme des singes. » D’aprĂšs JĂąbir, le ProphĂšte dit Ă  Ka`b Ibn `Ajrah “Que Dieu te prĂ©serve du pouvoir des princes indigents, ĂŽ Ka`b.” — “Qui sont les princes indigents ?”, s’enquit ce dernier. — “Ce sont des princes qui viendront aprĂšs moi, qui ne suivent pas ma guidance et n’appliquent pas ma tradition. Ceux qui approuveront leurs mensonges, ou les soutiendront dans leurs injustices, ne sont pas des miens et je ne suis pas des leurs et ils ne boiront pas Ă  mon Bassin. Ceux qui ne les approuveront pas ni ne les soutiendront dans leurs injustices,sont des miens et je suis des leurs et ils boiront Ă  mon Bassin.”. D’aprĂšs un rĂ©cit attribuĂ© au ProphĂšte marfĂ»` selon Mu`Ăąwiyah Toute nation oĂč l’on ne rend pas la justice et oĂč le faible n’arrache pas ses droits au fort sans peine ne sera point sanctifiĂ©e. » D’aprĂšs un rĂ©cit attribuĂ© au ProphĂšte marfĂ»` selon `Abd AllĂąh Ibn `Amr Si tu vois ma nation craindre d’appeler un injuste un injuste, alors plus rien n’est Ă  espĂ©rer d’elle. ». Voir l'article dans sa totalitĂ© ici Et ne pense point qu’Allah soit inattentif Ă  ce que font les injustes. Il leur accordera un dĂ©lai jusqu’au jour oĂč leurs regards se figeront. » IbrĂąhim, verset 42Des quartiers Est d’Alep au territoire de Beni, du gĂ©nocide des Rohingyas Ă  la colonisation galopante en Cisjordanie, sans oublier les intenses prĂ©occupations de la communautĂ© noire aux Etats-Unis, partout, les injustices sont flagrantes, les crimes rĂ©voltants, leurs auteurs honteusement impunis. Si le monde prĂ©fĂšre dĂ©tourner le regard, fermer les yeux sur le sort d’autant de peuples opprimĂ©s, AllĂąh ExaltĂ© soit Son Nom, Lui, n’ignore rien de la situation de Ses crĂ©atures. Il est Compatissant Ra’oĂ»f envers Ses serviteurs, et le rappel retentissant de ce verset nous interdit de nourrir de mauvaises pensĂ©es au sujet de notre Seigneur face aux malheurs qui s’amoncellent dans le monde. Si les injustes, les rĂ©gimes oppresseurs, les systĂšmes basĂ©s sur l’humiliation des peuples, semblent aujourd’hui Ă  l’abri de tout blĂąme, de toute condamnation de leurs actes, AllĂąh ExaltĂ© soit Son Nom nous assure que cette impunitĂ© apparente n’est que temporaire, et que Sa rĂ©ponse sera en attendant cette justice, qui triomphera forcĂ©ment au Jour du Jugement, quand les regards se figeront », quel comportement doit adopter le musulman soumis Ă  la tyrannie d’une personne, au despotisme d’un rĂ©gime, Ă  la barbarie d’un systĂšme ? Quelle attitude spirituelle, au-delĂ  de ses divers engagements sociaux, humanitaires, de ses prises de positions militantes, doit-il observer ? Si la morale islamique nous dĂ©fend de rĂ©agir aux Ă©vĂ©nements, positifs comme nĂ©gatifs, sous le coup de nos seules Ă©motions, elle nous enjoint Ă  chercher le refuge et le rĂ©confort dans la priĂšre et d’implorer le secours d’AllĂąh dans les circonstances malheureuses. C’est ainsi que le ProphĂšte Muhammed paix et bĂ©nĂ©dictions d’AllĂąh sur lui a garanti que toute invocation, supplique ou complainte adressĂ©e par les victimes d’injustices Ă  AllĂąh ne connaĂźtrait ni barriĂšre ni Khuzeima Ibn Thabit qu’Allah l’agrĂ©e, le ProphĂšte que la priĂšre d’Allah et son salut soient sur lui a dit Craignez l’invocation de celui qui subit une injustice car elle est certes portĂ©e au dessus des nuages et Allah dit Par ma Puissance et ma MajestĂ©, je vais certes te secourir d’ici peu ». rapportĂ© par At-TabarĂąniL’opprimĂ© secouru, l’oppresseur chĂątiĂ© et humiliĂ© au Jour de la reddition des comptes. Celui qui pensait n’avoir Ă  jamais rĂ©pondre de ses actes, confrontĂ© par la Justice du Tout-Puissant avant de voir son statut basculer pour passer de bourreau Ă  suppliciĂ©, d’intouchable Ă  vulnĂ©rable. OĂč qu’ils soient, qui qu’ils soient, les auteurs d’actes indicibles, insaisissables aujourd’hui, subiront un jour Ă  leur tour l’humiliation, la souffrance et le chĂątiment. Par cette annonce, et par l’invitation Ă  la patience Ă  travers l’invocation, l’islam appelle le musulman Ă  s’abstenir de tout acte de vengeance personnelle, Ă  tout rĂ©flexe guidĂ© par les passions et la rancƓur, et non par la lumiĂšre de la foi. L’islam appelle Ă  croire avec certitude et conviction Ă  la rĂ©alitĂ© du Jour du Jugement, oĂč la Justice sera rendue sans qu’aucune crĂ©ature d’AllĂąh ne soit lĂ©sĂ©e, ainsi qu’au Destin, au dĂ©roulement des Ă©vĂ©nements dont nous sommes les tĂ©moins, qu’ils soient heureux ou malheureux. Ces deux Ă©lĂ©ments, faisant partie intĂ©grante des six piliers de la foi, placeraient quiconque les refuse et les rejette en dehors du champ commun des croyants. MalgrĂ© la difficultĂ©, le pessimisme liĂ© Ă  l’époque et Ă  son contexte dĂ©favorable, le sentiment d’impuissance et l’immense injustice pouvant ĂȘtre vĂ©cue dans nos vies personnelles, mais aussi dans certaines contrĂ©es lointaines, la clĂ© demeure dans la relation Ă  AllĂąh ExaltĂ© soit Son Nom et la certitude en Sa Ibn Omar qu’Allah les agrĂ©e, le ProphĂšte que la priĂšre d’Allah et son salut soient sur lui a dit Le jour du jugement Allah va plier les cieux puis il va les prendre dans sa main droite puis Il va dire Je suis le Roi, OĂč sont les tyrans ? OĂč sont les orgueilleux ? Puis Il va plier les terres et va les prendre dans sa main gauche puis Il va dire Je suis le Roi, OĂč sont les tyrans? oĂč sont les orgueilleux ? » rapportĂ© par Muslim – Sahih n° 2788Source Quoi ? Les opprimĂ©s jouent un rĂŽle dans la domination qu’ils subissent c’est parce qu’ils l’acceptent qu’elle peut se mettre en place et se perpĂ©tuer. L’Ɠuvre Le discours de la servitude volontaire Ă©tait Ă  l’origine une simple dissertation rĂ©digĂ©e par La BoĂ©tie alors qu’il Ă©tait encore Ă©tudiant. Pourtant, ce texte a traversĂ© les siĂšcles car il dit quelque chose d’universel sur la nature humaine. Attention Ă  ne pas caricaturer les propos de La BoĂ©tie, il n’est pas contre le gouvernement et l’obĂ©issance, mais contre la soumission Ă  la tyrannie ! Qui ? Le peuple ! Face Ă  la tyrannie, il serait facile de considĂ©rer que les responsables sont des masses aveuglĂ©es
 Pourtant, cette masse n’est-elle pas composĂ©e d’individus parfaitement capables de sens critique ? Pourquoi ? Puisqu’on n’a jamais vu quelqu’un ne pas souffrir de sa servitude, La BoĂ©tie considĂšre que la libertĂ© est naturelle. Dans ce cas, pourquoi servons-nous, alors que nous ne sommes pas soumis Ă  une force Ă  l’état brut ? Pour lui, le dĂ©sir de libertĂ© peut parfaitement s’accompagner d’une volontĂ© de servitude. Ce constat suppose que la lĂ©gitimitĂ© du pouvoir ne va pas de soi, aucune domination ne peut se prĂ©valoir d’un fondement naturel. Comment ? 1 L’habitude, la tradition si on est nĂ© dans un Ă©tat de servitude, on ne peut pas regretter quelque chose que l’on a pas connu. 2 La ruse des tyrans pour abĂȘtir leurs sujets il est dans l’intĂ©rĂȘt d’un pouvoir tyrannique de maintenir les individus dans l’ignorance de tout ce qui pourrait les attirer vers la libertĂ©. 3 La chaĂźne de soumission un tyran est soutenu par quelques hommes, eux-mĂȘmes soutenus par une centaine d’autres hommes, et ainsi de suite, jusqu’à ce que la totalitĂ© d’un territoire soit soumise Ă  une mĂȘme autoritĂ©. Ce qui donne
 Si on est privĂ© de libertĂ©, c’est parce qu’on la dĂ©laisse ! Source
DemĂȘme, quand Pharaon ignora l'appel de MoĂŻse Ă  croire en Dieu et refusa de libĂ©rer les IsraĂ©lites, Dieu envoya Ă  Pharaon et Ă  son peuple des signes (au nombre de 9). Parmi ces signes, les sauterelles qui dĂ©truisirent toutes les rĂ©coltes, les poux, les grenouilles par milliers et des gens qui saignaient constamment du nez. Mais
Accueil » Blog » Sens des trois signes de la croix avant l’Évangile Sens des trois signes de la croix avant l’Évangile Vous aimez cet article ? Donnez lui 5 Ă©toiles Cet article a 2 commentaires MBOLISSA NGUEREKOUNDOU Wilfried 2 DĂ©c 2021 RĂ©pondre Cette page est trĂšs intĂ©ressante et instructive pour renforcer la foi chrĂ©tienne et les rites qui accompagnent la cĂ©lĂ©bration des diffĂ©rentes sacrements. Merci mon pĂšre. J’ai aimĂ© la page ainsi que les enseignements. Ce site utilise Akismet pour rĂ©duire les indĂ©sirables. En savoir plus sur comment les donnĂ©es de vos commentaires sont utilisĂ©es. Read more articles Vous devriez Ă©galement aimer
MIRACLES: DES SIGNES DE DIEU POUR NOTRE TEMPS. Au tout dĂ©but de sa “ vie publique ”, JĂ©sus accomplit son premier miracle aux noces de Cana, en changeant de l’eau en vin. Les Evangiles nous rapportent que le Christ va ensuite rĂ©aliser de nombreux miracles : guĂ©risons de malades, dĂ©livrances de personnes possĂ©dĂ©es, rĂ©surrections de Question RĂ©ponse Par dons bibliques servant de signes, on fait rĂ©fĂ©rence aux miracles comme le parler en langues, les visions, les guĂ©risons, les rĂ©surrections et les prophĂ©ties. La question de savoir si ces dons ont existĂ© ne se pose pas pour les croyants la Bible les dĂ©crit clairement. Il y a cependant des dĂ©saccords sur leur sens, ainsi que sur la question de savoir si on devrait encore les expĂ©rimenter aujourdÊŒhui. Certains affirment que ces dons sont un signe de notre salut, dÊŒautres, un signe du baptĂȘme du Saint-Esprit, dÊŒautres encore, quÊŒils ont Ă©tĂ© donnĂ©s pour authentifier le message de lÊŒĂ‰vangile. Comment connaĂźtre la vĂ©ritĂ© ? Nous devons sonder les Écritures pour dĂ©couvrir ce que Dieu lui-mĂȘme en dit. On trouve une des premiĂšres rĂ©fĂ©rences bibliques Ă  ces dons en Exode 4, oĂč Dieu appelle MoĂŻse Ă  dĂ©livrer IsraĂ«l dÊŒĂ‰gypte. MoĂŻse, qui craint que le peuple ne croira pas que Dieu lÊŒa envoyĂ©, reçoit des signes son bĂąton qui se transforme en serpent et sa main qui devient lĂ©preuse. Dieu lui dit de montrer ces signes aux IsraĂ©lites afin quÊŒils croient que lÊŒĂ‰ternel, le Dieu de leurs ancĂȘtres, [lui] est apparu, le Dieu dÊŒAbraham, le Dieu dÊŒIsaac et le Dieu de Jacob » v. 5. SÊŒils ne croient toujours pas, Dieu demande Ă  MoĂŻse de prendre de lÊŒeau du Nil et de la verser Ă  terre, oĂč elle se changerait en sang v. 9. Ainsi, les enfants dÊŒIsraĂ«l croiraient au messager de Dieu. Dieu a aussi donnĂ© Ă  MoĂŻse des signes miraculeux Ă  montrer au Pharaon afin de le pousser Ă  laisser partir son peuple. En Exode Dieu dit Ă  MoĂŻse quÊŒil multiplierait ses signes et ses miracles en Égypte et quÊŒainsi, les Égyptiens reconnaĂźtr[aient] qu’[il Ă©tait] lÊŒĂ‰ternel lorsqu[il] dĂ©ploierai[t] [s]a puissance contre lÊŒĂ‰gypte et ferai[t] sortir les IsraĂ©lites du milieu dÊŒeux ». Dieu voulait que le peuple Ă©gyptien sache quÊŒil Ă©tait Ă  lÊŒĆ“uvre pour dĂ©livrer les IsraĂ©lites. En Exode MoĂŻse avertit le Pharaon que la derniĂšre plaie, la mort des premiers-nĂ©s, manifesterait la diffĂ©rence que Dieu fait entre les Égyptiens et les IsraĂ©lites. Ces signes et miracles confirmeraient le message de Dieu au Pharaon et aux Égyptiens, qui comprendraient que MoĂŻse Ă©tait envoyĂ© par Dieu. Quand Élie a affrontĂ© les faux prophĂštes sur le Mont Carmel 1 Rois 18, il a priĂ© que Dieu fasse descendre miraculeusement le feu du ciel pour que le peuple sache que cÊŒest [lui] qui [Ă©tait] Dieu en IsraĂ«l et que [lui, Élie, Ă©tait son] serviteur et [qu’il avait] fait tout cela sur [son] ordre [
] afin que ce peuple reconnaisse que [c’était lui, l’Éternel], qui [Ă©tait] Dieu » v. 36-37. Les miracles que lui et les autres prophĂštes ont accomplis confirment que Dieu les avait envoyĂ©s et Ă©tait Ă  lÊŒĆ“uvre au milieu dÊŒIsraĂ«l. JoĂ«l a annoncĂ© le jugement de Dieu sur IsraĂ«l, accompagnĂ© dÊŒun message de misĂ©ricorde et dÊŒespĂ©rance. Quand le jugement est venu, ainsi quÊŒil lÊŒavait prophĂ©tisĂ©, et que le peuple sÊŒest repenti, Dieu a annoncĂ© quÊŒil renonçait Ă  son jugement et restaurait ses bĂ©nĂ©dictions Vous saurez que je suis au milieu dÊŒIsraĂ«l, que je suis lÊŒĂ‰ternel, votre Dieu, et quÊŒil nÊŒy en a pas dÊŒautre, et mon peuple ne sera plus jamais dans la honte » JoĂ«l Il a immĂ©diatement ajoutĂ© quÊŒil rĂ©pandrait son Esprit sur le peuple pour quÊŒils prophĂ©tisent, aient des visions et voient des miracles sÊŒaccomplir. Quand, au jour de la PentecĂŽte, les disciples ont commencĂ© Ă  parler en langues Actes Pierre a affirmĂ© maintenant se rĂ©alise ce quÊŒa dit le prophĂšte JoĂ«l ». Pourquoi ? Pour que le peuple comprenne que le message que lui et les autres apĂŽtres annonçaient venait de Dieu. Le ministĂšre de JĂ©sus Ă©tait accompagnĂ© de signes et de miracles. Pourquoi ? En Jean il rĂ©pond en ces termes aux Juifs qui voulaient le lapider pour blasphĂšme Si je ne fais pas les Ɠuvres de mon PĂšre, ne me croyez pas ! Mais si je les fais, mĂȘme si vous ne me croyez pas, croyez Ă  ces Ɠuvres afin de savoir et de reconnaĂźtre que le PĂšre est en moi et que je suis en lui. » Tout comme dans lÊŒAncien Testament, JĂ©sus faisait des miracles pour confirmer que la main de Dieu Ă©tait sur son Messager. Quand les Pharisiens ont demandĂ© un signe Ă  JĂ©sus, il leur a rĂ©pondu Une gĂ©nĂ©ration mauvaise et adultĂšre rĂ©clame un signe miraculeux, il ne lui sera pas donnĂ© dÊŒautre signe que celui du prophĂšte Jonas. En effet, de mĂȘme que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre dÊŒun grand poisson, de mĂȘme le Fils de lÊŒHomme sera trois jours et trois nuits dans la terre. Lors du jugement, les habitants de Ninive se lĂšveront avec cette gĂ©neration et la condamneront, parce quÊŒils ont changĂ© dÊŒattitude Ă  la prĂ©dication de Jonas. Or, il y a ici plus que Jonas. » Matthieu Il disait trĂšs clairement que les signes avaient pour but de faire comprendre au peuple quÊŒun message venait de Dieu, afin quÊŒil rĂ©agisse en consĂ©quence. De mĂȘme, en Jean il a dit Ă  lÊŒofficier Si vous ne voyez pas des signes et des prodiges, vous ne croirez donc pas ? » Les signes sont une aide pour ceux qui ont du mal Ă  croire, mais le plus important Ă©tait le message du salut en Christ. Paul dĂ©crit ainsi ce message du salut en 1 Corinthiens Il a plu Ă  Dieu de sauver les croyants Ă  travers la folie de la prĂ©dication. Les Juifs demandent un signe miraculeux et les Grecs recherchent la sagesse. Or nous, nous prĂȘchons un Messie crucifiĂ©, scandale pour les Juifs et folie pour les non-Juifs. » Les signes ont leur utilitĂ©, mais ils ne sont que des moyens visant Ă  une fin plus grande le salut des Ăąmes par la prĂ©dication de lÊŒĂ‰vangile. En 1 Corinthiens Paul dit clairement que les langues sont un signe non pour les croyants, mais pour les non-croyants. » Dieu sÊŒest servi de signes miraculeux comme le parler en langues pour convaincre les incroyants que le message de Christ Ă©tait vrai, mais le contexte dÊŒensemble montre que le plus important Ă©tait lÊŒannonce claire du message de lÊŒĂ‰vangile. En Ă©tudiant les signes et miracles dans les Écritures, on oublie souvent aussi leur chronologie. Contrairement Ă  une opinion largement rĂ©pandue, les hommes des temps bibliques ne vivaient pas dans le miracle permanent les miracles de la Bible sont gĂ©nĂ©ralement plutĂŽt liĂ©s Ă  des Ă©pisodes particuliers du plan de Dieu pour les hommes. La sortie dÊŒĂ‰gypte du peuple dÊŒIsraĂ«l et son entrĂ©e dans la terre promise ont vu se produire de nombreux miracles, mais ces miracles ont ensuite cessĂ© rapidement. Au cours des derniĂšres annĂ©es du Royaume de Juda, quand Dieu Ă©tait sur le point de faire partir son peuple en exil, il a permis que certains de ses prophĂštes accomplissent des miracles. JĂ©sus venu habiter parmi nous a fait des miracles, de mĂȘme que les apĂŽtres au dĂ©but de leur ministĂšre ; mais, en dehors de ces pĂ©riodes prĂ©cises, les signes et miracles sont assez rares dans la Bible. La grande majoritĂ© des hommes de cette Ă©poque nÊŒont jamais vu de signes ni de miracles de leurs yeux ils devaient vivre par la foi en ce que Dieu leur avait dĂ©jĂ  rĂ©vĂ©lĂ©. Dans lÊŒĂ‰glise primitive, les signes et miracles avaient lieu surtout lors de la premiĂšre annonce de lÊŒĂ‰vangile Ă  de nouveaux peuples. Le jour de la PentecĂŽte, on voit que des Juifs, hommes pieux venus de toutes les nations qui sont sous le ciel », Ă©taient rassemblĂ©s Ă  JĂ©rusalem Actes Ces Juifs, qui avaient Ă©tĂ© Ă©levĂ©s ailleurs et parlaient dÊŒautres langues v. 6-11, ont Ă©tĂ© les premiers bĂ©nĂ©ficiaires du signe du parler en langues. Ils ont reconnu quÊŒils entendaient parler des merveilles de Dieu, chacun dans sa propre langue, et Pierre leur a dit que la seule rĂ©action appropriĂ©e Ă©tait de se repentir de leurs pĂ©chĂ©s v. 38. Quand lÊŒĂ‰vangile a Ă©tĂ© annoncĂ© pour la premiĂšre fois aux Samaritains, Philippe a accompli des signes et des miracles Actes Quand Pierre a Ă©tĂ© envoyĂ© Ă  Corneille, un non-Juif, Dieu a de nouveau fait un signe miraculeux pour confirmer son Ɠuvre. Tous les croyants circoncis qui Ă©taient venus avec Pierre furent stupĂ©faits de ce que le don du Saint-Esprit Ă©tait dĂ©versĂ© mĂȘme sur les non-Juifs. En effet, ils les entendaient parler en langues et cĂ©lĂ©brer la grandeur de Dieu. » Actes Quand Pierre a Ă©tĂ© interrogĂ© par les autres apĂŽtres, il a dĂ©crit ce signe comme une preuve de la direction de Dieu et tous se mirent Ă  cĂ©lĂ©brer la gloire de Dieu en disant Dieu a donc aussi accordĂ© aux non-Juifs la possibilitĂ© de changer dÊŒattitude afin dÊŒavoir la vie. » » Actes Dans tous ces cas, les signes Ă©taient une confirmation du message et du messager de Dieu, afin que le public comprenne et croie. Une fois le message confirmĂ©, les signes cessaient. Nous nÊŒavons pas forcĂ©ment besoin de voir ces signes se reproduire dans nos vies, mais nous avons besoin du mĂȘme message de lÊŒĂ‰vangile. English Retour Ă  la page d'accueil en français Quel Ă©tait le sens des dons bibliques servant de signes ? EnĂ©tudiant la vie de GĂ©dĂ©on, nous verrons qu'Ă  partir de la rencontre qu'il a avec Dieu, plus jamais sa vie ne sera la mĂȘme. En principe, la prĂ©sence de Dieu dans la vie d'une personne doit changer le cours de cette vie. L'ange de L'Eternel apparaĂźt Ă  GĂ©dĂ©on. Ils ont un entretien, et le premier argument de GĂ©dĂ©on au verset 13 est

VolontĂ© de Dieu? VolontĂ© de l’ĂȘtre humain? PlutĂŽt celle d’une rencontre, d’une communion de deux libertĂ©s qui se retrouvent dans une Ɠuvre commune. Ce texte reprend les grandes lignes d’un article de Michel Rondet intilutĂ© Dieu a-t-il sur chacun une volontĂ© particuliĂšre? », revue Christus Hors-SĂ©rie no. 153, FĂ©vrier 1992. Introduction Dieu a-t-il dĂ©terminĂ©, en dehors de nous et pour nous, un programme prĂ©cis qu’il nous faudrait dĂ©couvrir et accomplir? La Bible atteste de nombreux exemples oĂč des ĂȘtres humains Abraham, MoĂŻse, JĂ©rĂ©mie, Pierre, Paul, etc. ont Ă©tĂ© appelĂ©s Ă  une vie nouvelle, pour une mission prĂ©cise qui semble correspondre Ă  une volontĂ© particuliĂšre de Dieu sur eux. Et pourtant
 bien des interrogations nous viennent Ă  l’esprit quand on considĂšre la question d’une volontĂ© particuliĂšre de Dieu sur nous Il y a des jours oĂč nous aimerions bien pouvoir connaĂźtre la volontĂ© prĂ©cise de Dieu sur nous nous avons beau prier, demander et implorer
 Dieu semble bien souvent silencieux ». À d’autres moments, un goĂ»t de libertĂ© et d’autonomie, au nom mĂȘme du sentiment que nous avons de notre dignitĂ©, s’objecte Ă  ce que quelqu’un d’autre, fut-il Dieu, dĂ©cide pour nous de ce que nous devrions faire de notre vie. Si Dieu a une volontĂ© prĂ©cise sur nous, l’expĂ©rience nous montre qu’elle est difficile Ă  connaĂźtre avec certitude. L’angoisse nous prend peur de nous tromper, peur des consĂ©quences d’un mauvais choix, peur de manquer irrĂ©mĂ©diablement notre vie. Un Dieu qui jouerait sciemment Ă  cache-cache avec nous sur des sujets aussi importants que celui de notre bonheur et du sens Ă  notre vie, ne mĂ©riterait pas vraiment le qualificatif de bon ». Un appel Ă  choisir soi-mĂȘme Les personnes avisĂ©es en accompagnement spirituel affirment que les projets de Dieu sur nous, ne se prĂ©sentent pas, tels quels, grĂące Ă  un discernement. PlutĂŽt, la dĂ©marche de discernement spirituel nous dispose Ă  reconnaĂźtre au sein mĂȘme de notre propre volontĂ© oĂč volontĂ© Ă©gal dĂ©sir les dĂ©sirs qui vont dans le sens de l’Esprit de Dieu. Comme le dit Michel Rondet, La volontĂ© de Dieu ce n’est pas d’abord que tu choisisses ceci ou cela; c’est que tu en fasses bon usage, que tu choisisses toi-mĂȘme, au terme d’une rĂ©flexion loyale, libĂ©rĂ©e de l’égoĂŻsme comme de la peur, la maniĂšre la plus fĂ©conde, la plus heureuse de rĂ©aliser ta vie. Compte tenu de ce que tu es, de ton passĂ©, de histoire, des rencontres que tu as faites, de la perception que tu peux avoir des besoins de l’Église, et du monde, quelle rĂ©ponse personnelle peux-tu donner aux appels que tu as perçus dans l’Évangile? Ce que Dieu attend de toi, ce n’est pas que tu choisisses telle ou telle voie qu’il aurait prĂ©vue de toute Ă©ternitĂ© pour toi, c’est que tu inventes aujourd’hui ta rĂ©ponse Ă  sa prĂ©sence et Ă  son appel! » Un appel Ă  une crĂ©ation commune Dieu est amour » dira saint Jean 1 Jn 4,16. L’amour se propose toujours et ne s’impose jamais » dira Zundel. L’amour ne traite jamais l’autre comme un objet ou un exĂ©cutant. L’amour trinitaire, communion intime du PĂšre, du Fils et de l’Esprit, est Ă  l’image de son ĂȘtre mĂȘme, dĂ©sir d’alliance et de communion. LibertĂ© par excellence, Dieu ne peut s’adresser qu’à des personnes qu’il dĂ©sire libres. Le PĂšre devant qui nous sommes n’est donc pas cet ordinateur surpuissant capable de programmer et de tenir en mĂ©moire des milliards de destinĂ©es individuelles et qu’il nous faudrait interroger avec crainte et tremblement sur notre avenir. C’est l’Amour qui a pris le risque de nous appeler Ă  la vie, semblables et diffĂ©rents, pour nous offrir l’alliance et la communion. C’est Ă  ce visage de Dieu qu’il faut nous convertir si nous voulons pouvoir nous situer en vĂ©ritĂ© devant la volontĂ© de Dieu. Nous le reconnaĂźtrons alors non plus comme un diktat ou une fatalitĂ©, mais comme un appel Ă  une crĂ©ation commune. » Michel Rondet L’Évangile ne nous dit pas ce qu’il faut faire, il nous appelle plutĂŽt Ă  la perfection de la charitĂ©. En rĂ©ponse Ă  l’appel de Dieu, nous sommes invitĂ©s Ă  crĂ©er une rĂ©ponse personnelle, en communion avec l’Esprit qui ne s’impose ni de dicte, mais qui est comme un souffle intĂ©rieur suscitĂ©e par l’accueil de la parole discrĂšte de Dieu. L’Amour suscite l’amour, la LibertĂ© Ă©veille la libertĂ© ainsi en est-il de Dieu Ă  notre Ă©gard. Les saints et saintes François d’Assise, Dominique, ThĂ©rĂšse de Lisieux, Charles de Foucauld, etc. sont uniques et inimitables, mais leurs vies sont pour nous autant d’appels Ă  inventer notre propre rĂ©ponse. Beaucoup plus qu’une programmation rigoureuse, ce qui caractĂ©rise la vie des saints, c’est la qualitĂ© d’une rĂ©action spirituelle aux Ă©vĂ©nements quels qu’ils soient, fussent-ils les plus inattendus. » Michel Rondet Une dĂ©cision qui donne vie Comment reconnaĂźtre si ma dĂ©cision rejoint la volontĂ© de Dieu? Si je peux dire qu’elle me rend plus libre. Si elle introduit dans ma vie cohĂ©rence et sens. Si elle unifie mon passĂ© en lui ouvrant un avenir. Si elle m’oriente Ă  rĂ©pondre Ă  un besoin Église, sociĂ©tĂ© qui me rejoint tout particuliĂšrement. Si elle me rend fĂ©cond. Si elle me rend heureux. Ayez le courage de faire ce que vous aimez le mieux » disait Maurice Zundel. Ce que l’on aime le mieux est ce que l’on aime le plus profondĂ©ment, oĂč notre dĂ©sir profond rejoint celui de Dieu. Seigneur, Toi qui connais le fond de mon cƓur, aide-moi Ă  dĂ©couvrir qui je suis et ce que je dĂ©sire rĂ©ellement, afin que je puisse choisir dans la ligne de mon ĂȘtre qui jaillit sans cesse de Ta Parole amoureuse et crĂ©atrice ». VolontĂ© de Dieu? VolontĂ© de l’ĂȘtre humain? PlutĂŽt celle d’une rencontre, d’une communion de deux libertĂ©s qui se retrouvent dans une Ɠuvre commune. Dieu est l’Emmanuel, Dieu-avec-nous. Aussi discerner la volontĂ© de Dieu sur ma vie, est-ce toujours m’interroger sur ma place dans le Corps du Christ. Non pas celle qui me serait assignĂ©e, mais celle que je peux, que je dĂ©sire prendre. Quel membre serai-je pour le bien de tout le Corps? LĂ  encore la rĂ©ponse m’appartient et Dieu l’attend de moi, gĂ©nĂ©reuse et neuve, pour se rĂ©jouir de ma solidaritĂ©, comme Il s’est rĂ©joui de ma libertĂ©. » Michel Rondet Revisiter notre vie sous son Regard C’est souvent en tentant de relire notre vie sous le regard de Dieu, en faisant mĂ©moire de son amour et de sa fidĂ©litĂ© pour nous, que nous deviendrons sensibles aux appels qu’il nous adresse. Plus qu’une volontĂ© prĂ©cise, exprimĂ©e en rĂšgle de vie, ces appels nous diront le dĂ©sir de Dieu, son attente et son espĂ©rance nous voir inventer peu Ă  peu notre rĂ©ponse. Nous pourrons donc accueillir sans angoisse les hĂ©sitations, les Ă©checs et les ambiguĂŻtĂ©s de nos choix. Comme le disait Emmanuel Mounier “Dieu est assez grand pour faire de nos erreurs mĂȘme, une vocation”. Il y a plusieurs demeures dans la maison du PĂšre, Dieu attend que nous y Ă©difions la nĂŽtre et Il est avec nous au travail. » Michel Rondet

Toutce qu’il vous demandera sera conforme Ă  sa Parole. 2. Il parle au travers des circonstances. Dieu fait concourir toutes choses pour le bien de ceux qui l’aiment. Soyez attentif aux situations que vous vivez. Dieu veut peut Mes chers frĂšres et sƓurs, c’est un grand honneur pour moi de me tenir devant vous aujourd’hui. Je me joins Ă  ceux qui ont dĂ©jĂ  pris la parole lors de cette confĂ©rence pour vous tĂ©moigner que JĂ©sus-Christ vit. Il dirige son Église, il parle Ă  son prophĂšte, le prĂ©sident Nelson, et il aime tous les enfants de notre PĂšre cĂ©leste. En ce dimanche de PĂąques, nous commĂ©morons la rĂ©surrection de JĂ©sus-Christ, notre Sauveur et RĂ©dempteur1, le Dieu puissant, le Prince de la paix2. Son expiation, dont sa rĂ©surrection aprĂšs trois jours dans un tombeau d’emprunt est le point culminant, demeure le plus grand miracle de toute l’histoire de l’humanitĂ©. Il a dĂ©clarĂ© Car voici, je suis Dieu ; et je suis un Dieu de miracles3. » Dans le Livre de Mormon, le prophĂšte Mormon demande Les miracles ont-ils cessĂ© parce que le Christ est montĂ© au ciel et s’est assis Ă  la droite de Dieu4. » Il rĂ©pond Non ; et les anges n’ont pas cessĂ© non plus de servir les enfants des hommes5. » AprĂšs la crucifixion, un ange du Seigneur est apparu Ă  Marie et Ă  quelques autres femmes qui s’étaient rendues au tombeau pour oindre le corps de JĂ©sus. L’ange dit Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant6 ? Il n’est point ici ; il est ressuscitĂ©7. » Le prophĂšte Abinadi, dans le Livre de Mormon, a proclamĂ© ce miracle Si le Christ n’était pas ressuscitĂ© d’entre les morts, [
] il n’aurait pu y avoir de rĂ©surrection. Mais il y a une rĂ©surrection ; c’est pourquoi la tombe n’a pas de victoire, et l’aiguillon de la mort est englouti dans le Christ8. » Les Ɠuvres miraculeuses de JĂ©sus-Christ ont conduit les premiers disciples Ă  s’exclamer Quel est donc celui-ci, qui commande mĂȘme au vent et Ă  l’eau, et Ă  qui ils obĂ©issent9 ? » En suivant JĂ©sus-Christ et en l’écoutant prĂȘcher l’Évangile, les premiers apĂŽtres ont assistĂ© Ă  de nombreux miracles. Ils ont tĂ©moignĂ© Les aveugles voient, les boiteux marchent, les lĂ©preux sont purifiĂ©s, les sourds entendent, les morts ressuscitent, et la bonne nouvelle est annoncĂ©e aux pauvres10. » Les miracles, les signes et les prodiges abondent parmi les disciples de JĂ©sus-Christ de nos jours, dans votre vie et dans la mienne. Les miracles sont des actes divins, des manifestations et des expressions du pouvoir infini de Dieu, et une confirmation qu’il est le mĂȘme hier, aujourd’hui et Ă  jamais11 ». JĂ©sus-Christ qui a créé les mers peut les apaiser ; lui qui a donnĂ© la vue aux aveugles peut tourner notre attention vers les cieux ; lui qui a purifiĂ© les lĂ©preux peut se charger de nos infirmitĂ©s ; lui qui a guĂ©ri l’homme boiteux peut nous appeler Ă  nous lever en disant Viens et suis-moi12. » Beaucoup d’entre vous ont Ă©tĂ© tĂ©moins de miracles, plus que vous ne le croyez. Ils peuvent paraĂźtre modestes comparĂ©s Ă  JĂ©sus ramenant les morts Ă  la vie. Mais un miracle ne se dĂ©finit pas par son ampleur, mais seulement par le fait qu’il vient de Dieu. Certaines personnes insinuent que les miracles ne sont que des simples coĂŻncidences ou de la chance pure. Mais le prophĂšte NĂ©phi a condamnĂ© les personnes qui dĂ©daignent la puissance et les miracles de Dieu, et se fĂ©licitent entre eux de leur sagesse et de leur science, afin d’obtenir du gain et d’écraser la face des pauvres13 ». Les miracles se produisent par l’intervention divine de celui qui a le pouvoir de dĂ©livrer14 ». Les miracles sont un prolongement du plan Ă©ternel de Dieu, ils sont un lien vital entre la terre et les cieux. L’automne dernier, sƓur Rasband et moi nous sommes rendus Ă  Goshen, en Utah, pour une Ă©mission Face-Ă -Face mondiale diffusĂ©e Ă  plus de 600 000 personnes dans seize langues diffĂ©rentes16. Cette Ă©mission devait se concentrer sur les Ă©vĂ©nements du RĂ©tablissement de l’Évangile de JĂ©sus-Christ, avec des questions posĂ©es par des jeunes adultes du monde entier. SƓur Rasband et moi avions personnellement relu les questions, qui nous ont permis de tĂ©moigner de l’appel de prophĂšte de Joseph Smith, du pouvoir de la rĂ©vĂ©lation dans notre vie, du processus continu qu’est le rĂ©tablissement de l’Évangile, et des vĂ©ritĂ©s et des commandements que nous chĂ©rissons. Un grand nombre de personnes qui Ă©coutent aujourd’hui ont suivi cette Ă©mission miraculeuse. Initialement, l’émission devait ĂȘtre diffusĂ©e depuis le Bosquet sacrĂ© dans l’État de New York, oĂč Joseph Smith a tĂ©moignĂ© Je vis deux Personnages dont l’éclat et la gloire dĂ©fient toute description, et qui se tenaient au-dessus de moi dans les airs. L’un d’eux me parla, m’appelant par mon nom et dit, en me montrant l’autre Celui-ci est mon fils bien-aimĂ©. Écoute-le16 ! FrĂšres et sƓurs, çà c’était un miracle. La pandĂ©mie mondiale nous a obligĂ©s Ă  dĂ©placer l’émission Ă  Goshen, en Utah, oĂč l’Église de JĂ©sus-Christ des Saints des Derniers Jours a reconstituĂ© une partie de l’ancienne ville de JĂ©rusalem pour en faire un lieu de tournage. Ce dimanche soir lĂ , sƓur Rasband et moi nous trouvions Ă  quelques kilomĂštres de Goshen quand nous avons vu une Ă©paisse fumĂ©e venant de l’endroit oĂč nous devions nous rendre. Des feux de forĂȘt embrasaient les alentours et nous nous inquiĂ©tions pour l’émission. En effet, vingt minutes avant le dĂ©but de la diffusion, une panne de courant s’est produite dans toute l’installation. Pas d’électricitĂ© ! Pas de diffusion. Certaines personnes suggĂ©rĂšrent d’utiliser un gĂ©nĂ©rateur, mais il Ă©tait impossible de savoir s’il pourrait alimenter tous les Ă©quipements complexes dont nous avions besoin. Tous les participants au programme, y compris les narrateurs, les musiciens, les techniciens et mĂȘme vingt jeunes adultes de ma propre famille Ă©largie, Ă©taient pleinement investis dans ce qui devait avoir lieu. Je me suis Ă©loignĂ© de leurs pleurs et de leur confusion pour supplier le Seigneur qu’un miracle se produise. J’ai priĂ© PĂšre cĂ©leste, j’ai rarement demandĂ© un miracle, mais je t’en demande un maintenant. Cette rĂ©union doit avoir lieu pour tous nos jeunes adultes dans le monde entier. Nous avons besoin que l’électricitĂ© revienne pour continuer, si c’est ta volontĂ©. » À dix-huit heures et sept minutes, l’électricitĂ© est revenue aussi rapidement que la panne Ă©tait survenue. Tout s’est remis Ă  fonctionner, la musique, les micros, les vidĂ©os et tout l’équipement de diffusion. Nous Ă©tions lancĂ©s. Nous venions d’assister Ă  un miracle. Sur la route du retour, dans la soirĂ©e, sƓur Rasband et moi avons reçu un SMS du prĂ©sident Nelson et de son Ă©pouse qui disait Ron, nous voulons que tu saches que dĂšs que nous avons su qu’il y avait une panne d’électricitĂ©, nous avons priĂ© pour qu’un miracle se produise. » Dans les Écritures modernes, il est Ă©crit Car moi, le Seigneur, j’ai avancĂ© la main pour mettre en branle les puissances du ciel ; vous ne pouvez pas le voir maintenant ; encore un peu de temps et vous le verrez et saurez que je suis et que je viendrai rĂ©gner avec mon peuple17. » C’est exactement ce qu’il s’est passĂ©. Le Seigneur a Ă©tendu la main et l’électricitĂ© est revenue. Comme nous l’a si puissamment enseignĂ© le prĂ©sident Nelson lors de la session prĂ©cĂ©dente, les miracles se produisent par le pouvoir de la foi. Le prophĂšte Moroni a exhortĂ© son peuple Car s’il n’y a pas de foi parmi les enfants des hommes, Dieu ne peut faire aucun miracle parmi eux ; c’est pourquoi, il ne s’est montrĂ© qu’aprĂšs leur foi. » Il poursuit Voici, c’est la foi d’Alma et d’Amulek qui fit s’écrouler la prison. Voici, c’est la foi de NĂ©phi et de LĂ©hi qui produisit le changement chez les Lamanites, de sorte qu’ils furent baptisĂ©s de feu et du Saint-Esprit. Voici, c’est la foi d’Ammon et de ses frĂšres qui accomplit un si grand miracle parmi les Lamanites [
] Et jamais personne, Ă  aucun moment, n’a accompli de miracles si ce n’est aprĂšs avoir eu la foi ; c’est pourquoi, ils ont tout d’abord cru au Fils de Dieu18. » À ces Écritures, je pourrais ajouter C’est la grande foi des jeunes adultes participants, des professionnels de la diffusion, des dirigeants et des membres de l’Église, d’un apĂŽtre et d’un prophĂšte de Dieu qui a conduit Ă  demander un si grand miracle que le courant est revenu dans un lieu de tournage isolĂ© Ă  Goshen, en Utah. » Les miracles viennent parfois en rĂ©ponse Ă  nos priĂšres. Ils ne correspondent pas toujours Ă  ce que nous demandons ni Ă  ce Ă  quoi nous nous attendons, mais quand nous faisons confiance au Seigneur, il est lĂ  et il fait le nĂ©cessaire. Il fera en sorte que le miracle se produise au moment oĂč nous en avons besoin. Le Seigneur accomplit des miracles pour nous rappeler qu’il est tout-puissant, qu’il nous aime, que, depuis les cieux, il se soucie de notre vie et qu’il a le dĂ©sir de nous enseigner ce qui a le plus de valeur. En 1831, il a fait aux saints une promesse qui est tout aussi valable aujourd’hui Celui qui a foi en moi pour ĂȘtre guĂ©ri, et dont la mort n’est pas arrĂȘtĂ©e, sera guĂ©ri19. » Il existe des lois dĂ©crĂ©tĂ©es dans les cieux, auxquelles nous sommes toujours assujettis. Parfois, nous dĂ©sirons un miracle pour guĂ©rir un ĂȘtre cher, annuler un acte injuste ou adoucir le cƓur d’une Ăąme amĂšre ou dĂ©sabusĂ©e. Quand nous regardons les choses avec nos yeux mortels, nous voulons que le Seigneur intervienne, qu’il rĂ©pare ce qui est cassĂ©. Par la foi, le miracle se produira, mais pas nĂ©cessairement selon notre calendrier ou de la maniĂšre dont nous le souhaitons. Cela signifie-t-il que nous sommes moins fidĂšles ou que nous ne mĂ©ritons pas son intervention ? Non. Le Seigneur nous aime. Il a donnĂ© sa vie pour nous, et son expiation continue de nous affranchir des fardeaux et du pĂ©chĂ© si nous nous repentons et nous rapprochons de lui. Le Seigneur nous a rappelĂ© Et vos voies ne sont pas mes voies20. » Il a dit Venez Ă  moi, vous tous qui ĂȘtes fatiguĂ©s et chargĂ©s, et je vous donnerai du repos21. »Reposez-vous des inquiĂ©tudes, des dĂ©ceptions, de la peur, de la dĂ©sobĂ©issance, de la prĂ©occupation pour vos ĂȘtres chers et des rĂȘves perdus ou brisĂ©s. Trouver la paix au milieu de la confusion ou du chagrin est un miracle. Souvenez-vous des paroles du Seigneur N’ai-je pas apaisĂ© ton esprit Ă  ce sujet ? Quel tĂ©moignage plus grand peux-tu avoir que celui de Dieu22 ? » Le miracle est que JĂ©sus-Christ, le grand JĂ©hovah, le Fils du TrĂšs-Haut, nous offre sa paix. De la mĂȘme maniĂšre qu’il est apparu Ă  Marie dans le jardin, l’appelant par son nom, il nous appelle Ă  exercer notre foi. Marie voulait le servir et s’occuper de lui. Sa rĂ©surrection n’était pas ce Ă  quoi elle s’attendait, mais cela devait se produire en accord avec le grand plan du bonheur. La foule de non-croyants au Calvaire l’a raillĂ© en lui criant Descends de la croix23 ! » Il aurait pu accomplir un tel miracle. Mais il connaissait la fin depuis le commencement, et il avait l’intention d’ĂȘtre fidĂšle au plan de son PĂšre. Ne manquons pas l’occasion de tirer les leçons de cet exemple. S’adressant Ă  nous dans nos Ă©preuves, il a dit Voyez les plaies qui ont percĂ© mon cĂŽtĂ© et aussi les marques des clous dans mes mains et mes pieds. Soyez fidĂšles, gardez mes commandements, et vous hĂ©riterez le royaume des cieux24. » VoilĂ , mes frĂšres et sƓurs, le miracle qu’il nous a promis Ă  tous. En ce dimanche de PĂąques, tandis que nous cĂ©lĂ©brons le miracle de la rĂ©surrection de notre Seigneur, en ma qualitĂ© d’apĂŽtre de JĂ©sus-Christ, je prie humblement pour que vous ressentiez le pouvoir du RĂ©dempteur dans votre vie et que notre PĂšre cĂ©leste rĂ©ponde Ă  vos supplications avec l’amour et l’engagement dont JĂ©sus-Christ a fait preuve pendant son ministĂšre. Je prie afin que vous restiez fermes et fidĂšles dans tout ce qui arrivera et je prie pour que viviez des miracles comme nous en avons vĂ©cu Ă  Goshen, si c’est la volontĂ© du Seigneur. Recherchez ces bĂ©nĂ©dictions du ciel dans votre vie en recherch[ant] ce JĂ©sus sur qui les prophĂštes et les apĂŽtres ont Ă©crit, afin que la grĂące de Dieu le PĂšre et aussi du Seigneur JĂ©sus-Christ, et le Saint-Esprit, qui tĂ©moigne d’eux, soient et demeurent en vous Ă  jamais25 ». Au nom de JĂ©sus-Christ. Amen.
LeschrĂ©tiens n’ont pas fini d’apprendre Ă  discerner les « signes de Dieu », mais du moins ont-ils fait des progrĂšs dans la mĂ©thode (Vatican II aidant), Ă  preuve les exemples donnĂ©s
7 signes de la prĂ©sence puissante de Dieu. By Makko Musagara Bien que Dieu soit partout, il y a des moments oĂč sa prĂ©sence est extraordinaire. Ci-dessous, je donne 7 signes de la puissante prĂ©sence de Dieu. 1, Vous pouvez voir un feu cĂ©leste visible. MoĂŻse a vu ce feu dans le buisson ardent. Le mĂȘme feu est apparu sur les apĂŽtres de JĂ©sus-Christ le jour de la PentecĂŽte Actes 2 3 MoĂŻse faisait paĂźtre les brebis de son beau-pĂšre JĂ©thro, prĂȘtre de Madian. Il mena son troupeau au-delĂ  du dĂ©sert et parvint jusqu’à Horeb, la montagne de Dieu[a]. 2 L’ange de l’Eternel[b] lui apparut dans une flamme au milieu d’un buisson MoĂŻse aperçut un buisson qui Ă©tait tout embrasĂ© et qui, pourtant, ne se consumait pas. 3 Il se dit alors Je vais faire un dĂ©tour pour aller regarder ce phĂ©nomĂšne extraordinaire et voir pourquoi le buisson ne se consume pas. 4 L’Eternel vit que MoĂŻse faisait un dĂ©tour pour aller voir et il l’appela du milieu du buisson MoĂŻse, MoĂŻse ! – Je suis lĂ , rĂ©pondit MoĂŻse. » Exode 3 1-4 2. Vous pouvez ressentir un feu invisible qui, en fait, est la prĂ©sence du Saint-Esprit. Les chrĂ©tiens ordinaires remplis de feu peuvent faire toute la diffĂ©rence, ouvrant la porte Ă  d’autres pour entrer dans l’aventure de vie remplie de l’Esprit dans le Royaume du Christ. 3. La guĂ©rison surnaturelle peut ĂȘtre un signe de la prĂ©sence spĂ©ciale de Dieu. 4. D’autres miracles surnaturels peuvent ĂȘtre un signe de la prĂ©sence de Dieu. PoussiĂšre d’or 5. Vous pouvez tomber sous la puissance de Dieu. “Je suis tombĂ© Ă  terre et j’ai entendu une voix qui me demandait Saul, Saul, pourquoi me persĂ©cutes-tu ? » Je me suis Ă©criĂ© ’ Actes 22 7 6. Vous pouvez voir des visions surnaturelles. »A ces mots, ceux qui siĂ©geaient au Grand-Conseil devinrent fous de rage ils grinçaient des dents contre Etienne. 55 Mais lui, rempli du Saint-Esprit, leva les yeux au ciel et vit la gloire de Dieu, et JĂ©sus debout Ă  la droite de Dieu. Alors, il s’écria 56 Ecoutez je vois le ciel ouvert et le Fils de l’homme debout Ă  la droite de Dieu. » Actes 7 54-56 7. Vous pouvez voir dans le monde surnaturel qui vous entoure. Parles paraboles, JĂ©sus appelle Ă  entrer dans le royaume. Elles sont comme des miroirs pour l’homme. Un miroir fait une projection de se que je suis et cela m’aide Ă  me transformer. Les miracles, les prodiges et les signes de JĂ©sus manifestent d’une autre façon que l Royaume de Dieu est prĂ©sent en jĂ©sus. ils tĂ©moignent que le PĂšre L’a envoyĂ©. Il n’y a pas de Dieu le TrĂšs-Haut dit Dis-leur "Si vous aimez Dieu rĂ©ellement, suivez-moi et Dieu vous aimera et vous pardonnera vos pĂ©chĂ©s. Dieu est Indulgent et MisĂ©ricordieux."Coran 3/31 O vous qui croyez ! Si certains d'entre vous renient leur foi, Dieu fera alors surgir d'autres hommes qu'Il aimera et qui L'aimeront. Humbles avec les croyants, durs envers les nĂ©gateurs, ils combattront au service de Dieu, sans la crainte d'un reproche quelconque. Telle est la grĂące de Dieu, qu'Il accorde Ă  qui Il veut, car Dieu est le DĂ©tenteur des faveurs et l' 5/54 386. Selon Abu Hurayra, le ProphĂšte saw a dit Dieu le TrĂšs-Haut dit Quiconque se montre hostile envers l'un de Mes proches wally, Je lui dĂ©clare la guerre. Parmi les actions que Mon serviteur accomplit pour se rapprocher de Moi, aucune ne M'est plus agrĂ©able que la pratique de ce que Je lui ai imposĂ©. Mon serviteur ne cesse de se rapprocher de Moi par des Ɠuvres surĂ©rogatoires jusqu'Ă  ce que Je l'aime. Et quand Je l'aime, Je deviens son ouĂŻe par laquelle il entend, sa vue par laquelle il voit, sa main avec laquelle il saisit et son pied avec lequel il marche. S'il Me demande, Je lui accorderai et s'il cherche Ma protection, Je le protĂšgerai sans nul doute. »Bukhari Ce qu'il faut retenir L'ĂȘtre humain gagne l'amour de son CrĂ©ateur tout d'abord par la pratique des obligations, ensuite cet amour croit en accomplissant des Ɠuvres surĂ©rogatoires. Ainsi, ne pas effectuer ce que Dieu a prescrit mĂ©rite un chĂątiment, accomplir une Ɠuvre surĂ©rogatoire mĂ©rite une rĂ©compense, et la dĂ©laisser ne constitue pas pour autant un pĂ©chĂ©. Mais s'y attacher Ă©lĂšve au rang de wally. Le wally de Dieu est celui qui s'est rapprochĂ© de son CrĂ©ateur en accomplissant ce que Dieu a prescrit et en s'Ă©loignant de ce qu'Il a proscrit. Dieu a dit En vĂ©ritĂ©, les rapproches de Dieu ne connaitront ni crainte ni peine, car ceux qui ont la foi et se prĂ©munissent recevront la bonne nouvelle en ce monde et dans la vie future.Coran 10/62 Ce niveau est tel que Dieu le pousse Ă  la bonne action, Il le guide et le prĂ©serve de ce qui peut susciter Sa dĂ©sobĂ©issance. Ainsi, cette crainte n'absorbe le serviteur si ce n'est celle de son Seigneur car Dieu Se venge de celui qui fait du tort Ă  l'un de Ses protĂ©gĂ©s. Et toute invocation devient alors exaucĂ©e, sans aucun doute. 387. Toujours selon lui, le ProphĂšte saw a ditLorsque Dieu aime un serviteur, Il appelle Gabriel en ces termes Dieu le TrĂšs-Haut aime untel, aime-le donc! » C'est alors que Gabriel se met Ă  l'aimer puis appelle a son tour ceux qui peuplent le Ciel et les interpelle ainsi Dieu aime untel, aimez-le donc! » Il devient alors aime des habitants du Ciel, puis l'agrĂ©ment lui est accorde sur et Muslim Une version de Muslim rapporte que le ProphĂšte saw a dit Lorsque Dieu aime un serviteur, II appelle Gabriel et lui dit "J'aime untel, aime-le donc !" Gabriel I'aime alors et s'Ă©crie dans le Ciel "Dieu aime untel, aimez-le donc !" Les habitants du Ciel l'aiment alors puis l'agrĂ©ment lui est accordĂ© sur Terre. Lorsque Dieu dĂ©teste un serviteur, Il lance cet appel Ă  Gabriel "Je dĂ©teste untel, dĂ©teste-le donc!" Alors Gabriel se met Ă  le dĂ©tester et interpelle Ă  son tour les habitants du Ciel ainsi "Dieu dĂ©teste untel, dĂ©testez-le donc !" Puis l'animositĂ© lui est assignĂ©e sur Terre. » Ce qu'il faut retenir Les habitants du Ciel dĂ©signent ici les anges, l'amour des habitants des Cieux et de la Terre pour l'homme est consenti aux gens de piĂ©tĂ© et de vertu. 388, 'AĂŻsha rapporte le ProphĂšte saw envoya un homme Ă  la tĂšte d'une armĂ©e. C'est lui qui prĂ©sidait la salat de ses compagnons et la clĂŽturait toujours par la rĂ©citation de la sourate 112 Dis "C'est Lui, Dieu l'Unique. A leur retour, ils Ă©voquĂšrent ce fait au ProphĂšte qui leur dit Demandez-lui pourquoi il agit ainsi. »Ils l'interrogĂšrent alors et eurent la rĂ©ponse suivante Car elle contient les attributs du MisĂ©ricordieux, j'aime donc la rĂ©citer. » Le ProphĂšte saw leur dit alors Annoncez-lui que Dieu le Tres-Haut l'aime. »Bukhari et Muslim Ce qu'il faut retenir Il est possible, d'aprĂšs ce hadith, de lire plusieurs sourates hormis la fatiha au cours d'une mĂȘme rak'a, comme il est possible de rĂ©pĂ©ter une sourate plusieurs fois au cours d'une mĂ©mĂ© salat. Pour la sourate Ă©voquĂ©e ici 112, al-Ikhlas;, elle affirme l'unicitĂ© divine et dĂ©sapprouve l'associationnisme. Elle met en avant le devoir de n'adorer que Dieu et de ne demander secours qu'Ă  Lui, le SuprĂȘme Refuge. C'est la raison pour laquelle ce Compagnon aimait la rĂ©citer. Enfin, il faut prĂ©ciser que les autres Compagnons n'avaient pas pour but de stigmatiser leur frĂšre, mais ils avaient pour habitude de questionner le ProphĂšte sur des questions liĂ©es au culte. lis Ă©taient soucieux d'appliquer correctement les prĂ©ceptes divins et n'agissaient jamais sans savoir. Dieuest plus grand que notre cƓur, et au long de son ministĂšre public, le Christ multiplie les signes (guĂ©risons, exorcismes, rĂ©surrections) pour Ă©veiller cette confiance et nous
Nombreux sont les hadith authentiques qui Ă©voquent l’apparition du Mahdi Ă  la fin des temps comme un des signes prĂ©curseurs de la fin du monde. Citons comme exemple .Abou Said al-Khoudri rapporte que le Messager d’Allah a dit ” Le Mahdi apparaĂźtra vers fin des temps . Allah l’arrosera par la pluie, et la terre laissera pousser sa vĂ©gĂ©tation, et des biens abondants seront distribuĂ©s, et la communautĂ© connaĂźtra un important dĂ©veloppement. Le Mahdi vivra sept ou huit ans » Ce hadit est rapportĂ© par Moustadrak de Hakim qui a dit que la chaĂźne de transmission de ce hadith est impeccable. MĂȘme s’il n’est pas rapportĂ© par Boukhari et Mouslim” Al-Albani a dit que” les hommes formant cette chaĂźne sont sĂ»rs.” Silsilatoul Alhadith as-Sahiha, vol. 2, p. 336, hadith n° 771. Ali a rapportĂ© que le Messager d’Allah bĂ©nĂ©diction et salut soient sur lui a dit Le Mahdi est issu de nous gens de la Maison » [du ProphĂšte]” Ce hadit est rapportĂ© dans Mousnad d’Ahmad 2/85, hadith n° 645 vĂ©rification et dans les Sunan d’Ibn Madja 2/1367. Cet hadit a Ă©tĂ© vĂ©rifiĂ© Ă©galement dans Sahih al-Djamia Saghir n° 6235 par hawla wa la quwwata illa billah, mĂ©rites et bienfaitsIbn Kathir voir an-Nihaya, Al-fitan wal Malahim 1/29 VĂ©rification par Taha Zayni dit Ă  propos de Imam mahdi que ” Allah acceptera son repentir, l’assistera et le guidera par inspiration aprĂšs une vie de perdition ».Le ProphĂšte paix soit sur lui et sa progĂ©niture a dit MĂȘme s’il reste un jour Ă  la vie de la terre, Dieu fera sortir un homme de ma descendance dont le nom et le caractĂšre seront comme le mien, et dont le patronyme sera Abu `Abd Allah. Par lui, Dieu fera revivre sa religion et la ramĂšnera Ă  sa gloire premiĂšre, Dieu le dotera Ă©galement de la victoire et il ne restera sur terre que ceux qui proclameront l’UnitĂ© de Dieu tawhid. »Des versets coraniques qui font rĂ©fĂ©rence Ă  imam mahdiImam mahdi origineLes Signes de l’Apparition de l’Imam Mahdi Le destin des juifs, des chrĂ©tiens et des mĂ©crĂ©antsConclusionDes versets coraniques qui font rĂ©fĂ©rence Ă  imam mahdi Allah a promis Ă  ceux qui croient et font de bonnes oeuvres qu’il fera de vous des successeurs dans le pays, comme il a fait succĂ©der ceux qui Ă©taient avant eux, et qu’il leur Ă©tablira sĂ»rement leur religion qu’il leur a approuvĂ©e. » Nous avons voulu faire grĂące Ă  ceux qui Ă©taient humiliĂ©s dans le pays, et faire d’eux des chefs, et faire d’eux des hĂ©ritiers, et les Ă©tablir dans le pays. » Qasas [28], 4 C’est Lui qui a envoyĂ© Son Messager avec la direction et la religion de la vĂ©ritĂ©, afin qu’il l’élĂšve au-dessus de toute religion, bien que les mĂ©crĂ©ants s’y opposent. » Saf [61], 9Oui, Nous avons Ă©crit dans az-ZabĂ»r, aprĂšs le Rappel le Livre cĂ©leste que la terre sera hĂ©ritĂ©e par Mes bons serviteurs».djinn amoureux , les symptomes infaillibles et traitementNous voulons favoriser ceux qu’on a affaiblis sur terre, et en faire les dirigeants, et en faire des hĂ©ritiers».Ces versets du Coran annoncent la bonne nouvelle de ce qui viendra lorsque le pouvoir et le gouvernement mondiaux seront entre les mains de croyants et de musulmans qualifiĂ©s et dignes, et que la religion de l’Islam Ă©clipsera toutes les autres mahdi origine Abou Said al-Khoudri a rapportĂ© que le Messager d’Allah a dit ” le Mahdi est issu de moi il est semi-chauve et possĂšde un nez long Il fera rĂ©gner la justice aprĂšs la prĂ©dominance de l’injustice et de l’iniquitĂ© “. Voir Moustadrak de Hakim 4/557et Sunan d’Abou Daoud, livre du Mahdi 11/375, hadith 4265. Ce hadith n’est pas rapportĂ© par Mouslim et Boukhari mais il est authentique selon les conditions de Mouslim voir As-Sahir al-Djami n° 6736 Oum Salamata a entendu le Messager d’Allah dire ” Le Mahdi est issu de ma descendance par la voie de Fatima” Voir Sunan d’Abou Daoud 11/373 et Sunan d’Ibn Madja 2/1368. Al-Albani dit dans As-Sahih al-Djami authentique, 6734.Maintenant que nous avons vu les diffĂ©rents hadits et leurs sources, parlons des circonstances et des signes de l’apparition de imam mahdi Selon les diffĂ©rentes sources Sunnites et chiites Imam mahdi apparaĂźtra soudainement Ă  La Mecque et l’appelant de Dieu annoncera au monde qu’il est descendu. Quelques individus sĂ©lectionnĂ©s, dont le nombre a Ă©tĂ© fixĂ© Ă  313 dans certaines traditions, seront les premiers Ă  rĂ©pondre Ă  son appel, et seront attirĂ©s vers lui comme le fer Ă  un aimant pendant la premiĂšre heure de son apparition. L’Imam Sadiq raconte Lorsque le MaĂźtre de l’Age apparaĂźtra, les jeunes parmi ses partisans sans aucun rendez-vous prĂ©alable, se rĂ©veilleront et atteindront La Mecque la nuit mĂȘme. » A ce moment-lĂ , le Mahdi appellera le monde entier Ă  se joindre Ă  son mouvement. Ceux qui ont souffert et perdu tout espoir que leur situation puisse s’amĂ©liorer le rejoignent et lui prĂȘteront allĂ©geance. Peu de temps AprĂšs, une vaste armĂ©e composĂ©e de peuples du monde courageux, sacrifiants et en quĂȘte de rĂ©formes sera prĂȘte Ă  ĂȘtre dirigĂ©e par lui. Ils occuperont l’est et l’ouest du monde, mettront tout sous son commandement. Chacun de ces soldats aura la puissance de quarante hommes forts. Leurs cƓurs seront si durs que des morceaux de fer, s’ils rencontrent des montagnes de fer dans leur marche vers le but, ils les surmonteront avec leur force intĂ©rieure. Ils continueront leur lutte jusqu’à ce que l’agrĂ©ment de Dieu soit acquis. A cette Ă©poque, les dirigeants impĂ©rieux et pĂ©cheurs, dĂ©pourvus de toute conscience mais sentant la menace, sortiraient en dĂ©fense, appelant les forces d’opposition composĂ©es de leurs propres partisans. Mais les soldats de la justice et de la rĂ©forme, dĂ©goĂ»tĂ©s de l’injustice et de la persĂ©cution de ces forces du mal, prendront la dĂ©cision ultime de les attaquer et Avec l’aide de Dieu, ils les anĂ©antiront. La crainte et la peur s’abattront sur les survivants qui se rendront finalement au gouvernement juste et voyant l’accomplissement de nombreux signes promis dans les traditions, un grand nombre d’incroyants se tourneront vers l’Islam. Ceux qui persistent dans leur mĂ©crĂ©ance et leur mĂ©chancetĂ© seront tuĂ©s par les soldats du Mahdi. Le seul gouvernement victorieux dans le monde entier sera celui de l’islam et les gens s’efforceront avec dĂ©vouement de le protĂ©ger. L’islam sera la religion de tous et entrera dans toutes les nations du peut rĂ©sumer les signes sociaux, annonciateurs du Sauveur Attendu comme suitLa prĂ©dominance de l’injustice et de l’iniquitĂ©;La renaissance de la vie, des mƓurs et des croyances de l’obscurantisme antĂ©-islamique;Le progrĂšs scientifique remarquable;Les guerres et les troubles destructeurs, qui vont de pair avec l’absence de sĂ©curitĂ© et de paix;L’apparition d’imposteurs et de faux rĂ©formateurs;La chertĂ© de la vie et la dĂ©tĂ©rioration de la situation Ă©conomique;L’apparition de mouvements de rĂ©forme, de dirigeants et de courants rĂ©formateurs qui aplanissent le terrain pour l’accueil du destin des juifs, des chrĂ©tiens et des mĂ©crĂ©antsL’expression kuffar- fait rĂ©fĂ©rence aux mĂ©crĂ©ants qui ne sont ni chrĂ©tiens, ni juifs, ni zoroastriens. Ces derniers sont considĂ©rĂ©s dans la charia comme des muwahhidun, c’est-Ă -dire des les lectures du Coran et de la littĂ©rature des hadiths, il semble que pendant le rĂšgne du Mahdi, le gouvernement et le pouvoir seront retirĂ©s aux mĂ©crĂ©ants non monothĂ©istes et matĂ©rialistes, et seront confiĂ©s aux mains des musulmans et d’autres personnes dignes du traditions parlent de la pĂ©riode du rĂšgne du Mahdi et assurent aux croyants que les forces de l’hypocrisie et de l’incrĂ©dulitĂ© seront anĂ©anties de la surface de la terre. Partout il y aura un vrai croyant en l’unitĂ© de les juifs et les chrĂ©tiens sont les adeptes des livres cĂ©lestes qui enseignent le monothĂ©isme, que leur arrivera-t-il lorsque le Mahdi apparaĂźtra ?Certains versets du Coran semble suggĂ©rer qu’ils seront prĂ©sents jusqu’au Jour du Jugement. Dieu dit dans la sourate Ma`ida, 14 Et avec ceux qui disent “Nous sommes chrĂ©tiens”, Nous avons pris un pacte ; et ils ont oubliĂ© une partie de ce qui leur a Ă©tĂ© rappelĂ©. Nous avons donc suscitĂ© parmi eux l’inimitiĂ© et la haine, jusqu’au Jour de la RĂ©surrection. »Quand Dieu dit “JĂ©sus, je te prendrai Ă  moi, et je te purifierai de ceux qui ne croient pas”. J’établirai tes partisans au-dessus des mĂ©crĂ©ants jusqu’au jour de la rĂ©surrection. sourate Al `Imran, 55,Les Juifs ont dit ” La main de Dieu est enchaĂźnĂ©e “. Leurs mains sont enchaĂźnĂ©es et ils sont maudits pour ce qu’ils ont dit. Non, mais Ses mains sont Ă©tendues; Il dĂ©pense comme Il veut. Et ce qui t’a Ă©tĂ© envoyĂ© de la part de ton Seigneur en augmentera certainement l’insolence et l’incrĂ©dulitĂ© ; et Nous avons jetĂ© entre eux l’inimitiĂ© et la haine, jusqu’au Jour de la RĂ©surrection. Ma`ida, 64,La lecture littĂ©rale de ces versets suggĂšre Comme vous pouvez le voir, que les religions des Juifs et des ChrĂ©tiens existeront jusqu’au Jour du Jugement. Cependant Certaines traditions rapportent de hadiths moins authentiques qui contredisent cette Mahdi jugera parmi les gens de la Torah selon la Torah; parmi le peuple de l’Evangile selon l’Evangile; parmi le peuple des Psaumes selon les Psaumes ; parmi les gens du Coran conformĂ©ment au Coran. Il y a des traditions qui disent exactement le contraire de ce que disent le Coran et les hadiths citĂ©s ci-dessus. Ces traditions racontent que pendant le rĂšgne du Mahdi, il n’y aura pas d’autres communautĂ©s que les musulmans. Le Mahdi imposera la religion de l’islam aux juifs et aux Baqir a racontĂ© que Dieu ouvrira l’est et l’ouest pour Imam mahdi qui opposera le combat jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’autre religion que la religion de Muhammad et Dans son commentaire sur le verset qui dit Il Dieu le manifestera l’islam, mĂȘme si les mĂ©crĂ©ants s’y opposent », L’Imam a dit “Il le fera de telle maniĂšre qu’il n’y aura plus personne sauf qu’il aura acceptĂ© la religion de Muhammad.”Puisqu’Il existe deux types de hadiths opposĂ©s, il faut souligner que les traditions qui sont en accord avec le Coran ont prĂ©pondĂ©rance sur celles qui ne le sont pas, et donc ces derniĂšres doivent nĂ©cessairement ĂȘtre consĂ©quence, les Juifs et les ChrĂ©tiens resteront sous le gouvernement de Imam mahdiConclusionL’islam sera la religion du monde, prenant le pas sur toutes les autres religions et l’appel de l’unitĂ© de Dieu tawhid sera entendu partout dans le monde. Tout cela sera accompli de maniĂšre Ă  ce qu’il ne reste aucune trace d’injustice. Mahdi exĂ©cutera le devoir d’ordonner le bien et d’interdire le convient de savoir que bon nombre de menteurs ont inventĂ© des hadits au sujet du Mahdi pour dĂ©signer de faux Mahdi ou pour soutenir que le Mahdi ne suivra pas la voie de la paix . Ainsi, bon nombre de truands se sont attribuĂ©s le titre de Mahdi pour tromper les gens et pour pervertir l’image de l’ commentaires nous aident Ă  amĂ©liorer notre service ! Rendez-vous sur notre page Facebook . Merci pour votre passage !
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