1 Les jeux de rĂŽles : prendre la place de quelquâun dâautre pour vaincre sa timiditĂ© . Les jeux de rĂŽles ont de nombreux bienfaits pour tous les enfants, quâils soient dâun tempĂ©rament timide ou non. Avec eux, les petits rĂ©vĂšlent leur personnalitĂ©, et stimulent leur imagination.En jouant un personnage qui lui a Ă©tĂ© attribuĂ©, lâenfant est amenĂ© Ă aller plus facilement
juin 9, 2017 ParentalitĂ© Vos enfants ont du mal Ă sâendormir ? Voici 12 trucs pour les aider Ă trouver le sommeil. Le rituel sĂ©curisant. Une fois calĂ© sur les habitudes qui prĂ©cĂšde le coucher, nâen changez pas. Ainsi, votre enfant aura ses repĂšres et sera sĂ©curisĂ©. Exemple repas, prĂ©paration des habits et du goĂ»ter pour le lendemain, brossage de dents, tour de la chambre voir ci dessous, histoire, cĂąlin et dodo. Affichez le rituel et responsabilisez lâenfant pour le suivi des Ă©tapes. Tu es le chef de ton planning sommeil ». Vous pouvez aussi utiliser le jeu ci-dessous que je vous dĂ©crivais ici. Un peu de rangement dans la chambre ? Prenez 5 minutes pour faire le tour de la chambre avec votre enfant. Objectif on range calmement quelques affaires ou autres chaussettes qui trainent. A cela deux raisons principales La premiĂšre est quâainsi lâenfant a vu et enregistrĂ© tout lâespace. Il sait quelles sont les formes sur la commode ou lâombre projetĂ©e sur ce mur. Moins de doutes = moins de stress et de peur. La deuxiĂšme est que ranger apaise. Eteignez la TV et toute forme dâĂ©cran 2 heures avant le coucher. La lumiĂšre des Ă©crans dĂ©rĂšgle nos cycles de sommeil. Sans compter lâexcitation possible engendrĂ©e. Apprenez Ă votre lâenfant Ă reconnaitre ses signaux de fatigue Yeux qui picotent, bĂąillements, difficultĂ©s de concentration. Observez et remarquez Ă haute voix ce que votre enfant ne sait peut-ĂȘtre pas encore son corps lui indique quâil a besoin de dormir ! Cette prise de conscience est bĂ©nĂ©fique pour la prĂ©paration au sommeil. â yeux qui piquent â problĂšme de concentration â bĂąillements Pour les signaux de fatigue, vous pouvez vous appuyer sur ce support Adaptez le rythme Ă chaque enfant. Les besoins en sommeil changent au fil des Ăąges. Ordonner Ă un enfant de dormir va gĂ©nĂ©rer du stress qui peut rapidement dĂ©border en tempĂȘte Ă©motionnelle et conflit. Il est donc important de se donner toutes les chances de ne pas crĂ©er ce rapport de forces. Pour cela soyez attentifs aux signes de fatigues et nâhĂ©sitez pas Ă changer votre organisation pour ne pas laisser passer lâheure de coucher naturelle ». Recommandations officielles de temps de sommeil par tranche dâĂąge RĂ©duisez le stress. Lecture, mĂ©ditation, dessin, Ă©tirement, yoga, massages ou liste de gratitude sont des activitĂ©s qui apaisent. CrĂ©ez un environnement doux. LumiĂšre faible, son de la voix feutrĂ© et Ă la limite du chuchotement, gestes lents, sont autant de moyens dâenvoyer des signaux de ralentissement et de quiĂ©tude. Vous pouvez aussi utiliser une ambiance sonore type vagues de lâocĂ©an. Les poupĂ©es-tracas ou doudou-mĂȘme-pas-peur. Pour chasser les derniĂšres angoisses avant de dormir, invitez lâenfant Ă les exprimer pour les confier Ă un doudou ou Ă une poupĂ©e-tracas. Ainsi il sâen libĂ©rera. en savoir sur les poupĂ©es tracas TempĂ©rature. La tempĂ©rature idĂ©ale de la piĂšce oĂč on dort doit ĂȘtre comprise enter 16 et 19°. La respiration pour activer la cohĂ©rence cardiaque. Tenez la main de votre enfant ou prenez-le dans vos bras et invitez-le Ă respirer Ă un rythme de 6 respirations par minute câest la cohĂ©rence cardiaque. Elle chasse le stress et plonge dans un Ă©tat de bien-ĂȘtre. Le contact physique amplifie lâeffet sĂ©rĂ©nitĂ©. rythme Ă suivre pour sâentrainer ici La mĂ©ditation de la compassion. Proposez Ă votre enfant de penser trĂšs fort Ă des personnes quâil aime et dites-lui de leur souhaiter une Ă une dâĂȘtre heureuses, de guĂ©rir, etc. Ensuite, faites de mĂȘme avec des inconnus. La mĂ©ditation de la compassion favorise le bien-ĂȘtre et lâendormissement. Fixez une heure de rĂ©veil prĂ©cise. Pour des rĂ©veils joyeux autant ne pas casser un train de sommeil. Calculez en fonction du nombre dâheures de sommeil nĂ©cessaire et de lâheure dâendormissement, une heure prĂ©cise de rĂ©veil. Câest trĂšs dĂ©sagrĂ©able dâĂȘtre extirpĂ© dâun sommeil profond. Bonus 1 le coucher du doudou Pour que votre enfant visualise et simule mentalement le coucher, jouez Ă le reproduire avec son doudou prĂ©fĂ©rĂ©. Vous pourriez mĂȘme apprendre de nouvelles techniques dâendormissement. Bonus 2 le bruit blanc Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que la diffusion dâun bruit blanc dans la piĂšce peut induire ou faciliter le sommeil Bonus 3 la berceuse Bonus 4 lâavis dâIsabelle Filliozat Dâautres ressources MĂ©ditation de la gratitude pour aider les enfants Ă dormir Un conte » Ă rebours pour faciliter le sommeil des enfants 2 postures de Yoga pour aider les enfants Ă dormir MĂ©ditation pour aider les enfants Ă dormir Calme et attentif comme une grenouille
Jevous encourage fortement Ă appeler immĂ©diatement au 911 et Ă emmener la personne Ă un hĂŽpital ou Ă un centre de service-secours local. Il peut ĂȘtre difficile de voir souffrir quelquâun qui compte pour vous, mais armĂ© des bonnes ressources, vous gagnerez Ă lâinciter Ă demander de lâaide pour amĂ©liorer sa santĂ© mentale et son mieux-ĂȘtre.
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article La colĂšre est une Ă©motion courante qui peut facilement se transformer en agressivitĂ©. Par consĂ©quent, il est trĂšs probable que vous ayez un ami, un parent ou un partenaire qui a de la difficultĂ© Ă maitriser sa colĂšre. Pour l'aider, vous devez d'abord contrĂŽler vos propres Ă©motions, car si vous vous Ă©nervez, vous ne ferez qu'empirer les choses. Une fois que vous aurez rĂ©agi de façon appropriĂ©e et que vous l'aurez calmĂ©, essayez de l'encourager Ă demander de l'aide pour maitriser son problĂšme. Avoir une personne proche avec un tempĂ©rament de feu peut ĂȘtre trĂšs stressant. Par consĂ©quent, n'oubliez pas de prendre soin de vous aussi. 1Restez calme dans les situations tendues. Si votre proche se met en colĂšre, la seule façon d'apaiser la situation efficacement est de maitriser votre propre colĂšre. Si vous perdez votre sang-froid, cela ne fera qu'aggraver les choses. Inspirez et expirez profondĂ©ment. Comptez jusqu'Ă 100 en silence ou allez vous rafraichir le visage pour vous vider l'esprit [1] . 2Utilisez un ton de voix uniforme et modĂ©rĂ©. Baissez le ton de votre voix pour donner l'impression que vous murmurez. Cela vous aidera Ă rester calme sans hurler, mais cela renforcera aussi la bonne communication. Votre interlocuteur suivra probablement votre exemple et s'exprimera aussi doucement. 3 Accordez-lui toute votre attention lorsque vous l'Ă©coutez. Beaucoup de personnes en colĂšre agissent de cette façon parce qu'elles ont l'impression de ne pas ĂȘtre entendues. Calmez la personne en lui accordant toute votre attention. Tournez-vous vers elle et Ă©coutez tout ce qu'elle a Ă dire sans l'interrompre. Ăcouter activement peut aider Ă soulager complĂštement la tension de la situation. PrĂȘtez attention au problĂšme de fond. 4 Faites preuve de compassion. La personne peut agir de façon incontrĂŽlable parce qu'elle ne croit pas que vous l'Ă©coutez ou la comprenez. Validez ce qu'elle ressent et montrez-lui que vous prenez son expĂ©rience au sĂ©rieux et respectez son opinion [2] . Montrez-lui que vous la comprenez Ă l'aide de techniques de rĂ©flexion. Vous pouvez dire quelque chose comme Je comprends pourquoi vous Ă©tiez en colĂšre quand le caissier Ă©tait grossier » ou Je crois comprendre le problĂšme. Vous vous ĂȘtes sentie ignorĂ©e. » 5 Fixez vos limites. Insistez pour que la personne vous traite avec respect. Dites-lui calmement Je vais partir d'ici si tu n'arrĂȘtes pas de crier » ou Je vais arrĂȘter de discuter avec toi si tu continues Ă dire de gros mots [3] . » AprĂšs avoir fixĂ© une limite, soyez ferme et assertif et faites ce que vous avez dit si la personne la dĂ©passe. 6 Exprimez-vous en utilisant le pronom personnel je ». Pendant votre discussion, Ă©vitez les critiques et la culpabilitĂ©. Employez des phrases Ă la premiĂšre personne pour communiquer vos besoins sans blĂąmer l'autre. Ce genre de phrase ne donne pas l'impression que vous vous attaquez Ă votre interlocuteur, mais vous permet d'exprimer exactement ce que vous ressentez face au problĂšme [4] . Par exemple, dites Je deviens trĂšs nerveux quand tu cries » et non Tu me cries toujours dessus. Pouvons-nous parler d'un ton plus bas ? » 7 RĂ©sistez Ă l'envie de donner des conseils. Ceux qui ont de la difficultĂ© Ă maitriser leur colĂšre considĂšrent gĂ©nĂ©ralement les conseils comme des critiques. Essayez donc d'Ă©viter de rĂ©gler leur problĂšme. En lieu et place, Ă©coutez-les activement. Si vous voulez savoir si votre proche veut juste se confier ou chercher une solution, demandez-le-lui directement aprĂšs qu'il ait fini de parler [5] . Avant d'essayer de donner des conseils, demandez-lui s'il a besoin d'aide pour rĂ©gler le problĂšme ou s'il veut simplement se confier Ă quelqu'un. Une autre option est de dire Je comprends ta colĂšre. En quoi puis-je t'aider ? » S'il a tendance Ă considĂ©rer vos propos comme des critiques, gardez les conseils pour une autre fois aprĂšs qu'il se soit calmĂ©. 8 Prenez une pause si vous en avez besoin. Si vous avez l'impression d'ĂȘtre attaquĂ©e ou dĂ©bordĂ©e pendant la discussion, demandez Ă prendre une pause. Dites quelque chose comme Je ne pense pas qu'on arrivera Ă grand-chose en se criant dessus. Prenons une pause de dix minutes, d'accord ? » Allez dans un endroit sĂ»r pour mieux maitriser vos Ă©motions [6] . Ăcoutez de la musique douce, appelez un ami qui a l'habitude de vous calmer ou regardez une vidĂ©o drĂŽle sur YouTube. 1 Concentrez-vous sur le problĂšme et non la personne. Parlez Ă votre proche pour lui faire savoir que sa colĂšre vous affecte sans donner l'impression qu'il est le problĂšme. De cette façon, il est plus susceptible de coopĂ©rer avec vous et montrez-lui que vous ĂȘtes inquiete [7] . Dites quelque chose comme Je sais que tu as Ă©tĂ© trĂšs en colĂšre derniĂšrement. Cela nous empĂȘche de nous rapprocher comme avant. Je me sentirais mieux si tu en parlais Ă quelqu'un. » Identifiez les choses qui ont tendance Ă irriter votre proche pour dĂ©terminer les problĂšmes sous-jacents ou les raisons qui les sous-tendent. Par exemple, s'il se fĂąche habituellement quand les gens parlent dans son dos, c'est peut-ĂȘtre parce qu'il attache beaucoup d'importance Ă sa vie privĂ©e. Une fois que vous aurez mieux dĂ©terminĂ© le rĂ©el problĂšme, vous pourrez l'aider Ă Ă©laborer des stratĂ©gies ou Ă dĂ©finir des limites pour y faire face. Par exemple, s'il accorde de l'importance Ă la protection de la vie privĂ©e, dites-lui d'ĂȘtre prudent et de ne pas partager ses renseignements personnels avec ses collĂšgues au cas oĂč cela donnerait lieu Ă des commĂ©rages au bureau. 2 Faites attention Ă l'ampleur de sa colĂšre. La colĂšre ne commence pas toujours de la mĂȘme façon. Au dĂ©but, il peut s'agir d'un ennui, qui se traduit par de la frustration, de l'irritation, de la colĂšre et de la rage. Apprenez Ă identifier chez votre proche toute gĂȘne afin de pouvoir aider Ă apaiser les tensions avant qu'il n'explose de colĂšre. S'il semble se mettre directement en colĂšre en sautant les Ă©tapes prĂ©cĂ©dentes, il serait judicieux de faire appel Ă un professionnel pour dĂ©tecter ses dĂ©clencheurs et dĂ©couvrir des stratĂ©gies d'intervention pour le calmer. 3Proposez-lui de l'accompagner chez un professionnel. Ne lui dites pas simplement qu'il devrait aller chercher de l'aide sans offrir votre soutien. Dites-lui que vous ĂȘtes prĂȘte Ă l'aider Ă trouver un thĂ©rapeute ou un cours de gestion de la colĂšre. Proposez-lui de l'emmener aux sĂ©ances et de s'assoir dans la salle d'attente s'il le dĂ©sire. 4 Choisissez vos batailles. Vous ne rĂ©aliserez aucun progrĂšs si vous avez tendance Ă ennuyer votre proche au sujet de son problĂšme de colĂšre. En outre, il n'est pas nĂ©cessaire d'ĂȘtre en dĂ©saccord sur tous les points. Essayez d'ĂȘtre sĂ©lectifve dans la gestion de vos conflits. Choisissez vos batailles si vous pensez que vos limites ont Ă©tĂ© violĂ©es [8] . Il est Ă©galement important de choisir les conflits au bon moment. Ne parlez que de problĂšmes graves lorsqu'il est calme, sobre et de bonne humeur. 5 Encouragez-la Ă rĂ©duire son niveau de stress. Chez les personnes stressĂ©es, la colĂšre est plus susceptible de se manifester plus rapidement, car le stress alimente la colĂšre. Si le niveau de stress d'une personne est souvent moins Ă©levĂ©, il mettra plus de temps Ă atteindre le stade de la colĂšre. De cette façon, vous aurez plus de temps pour dĂ©celer les premiers signes et prendre des mesures pour la calmer. Elle peut faire des exercices de respiration, de la mĂ©ditation, du yoga, des exercices physiques et d'autres techniques pour contrĂŽler son stress. 6Soyez patiente. Vivre avec quelqu'un qui a des problĂšmes de colĂšre, c'est comme danser de la valse vous ferez presque autant de pas en avant et en arriĂšre. Essayez d'avoir de la patience avec la personne au fur et Ă mesure qu'elle reconnait qu'elle a un problĂšme de colĂšre. 1 Parlez Ă un ami de confiance. Offrir du soutien Ă quelqu'un qui a ce genre de problĂšme peut Ă©puiser vos Ă©nergies. Vous devriez obtenir du soutien pour vous-mĂȘme en discutant avec votre famille et vos amis proches. Demandez-leur de vous Ă©couter ou de vous distraire lorsque vous ne voulez pas en parler. Ne racontez pas de ragots sur la personne en colĂšre et ne discutez plus de ses problĂšmes. Concentrez-vous plutĂŽt sur ce que vous devez faire vous-mĂȘme pour vous dĂ©stresser. 2Passez plus de temps avec des gens heureux. Si toutes les personnes de votre cercle social sont en colĂšre, vous le serez aussi. C'est parce que nous avons tendance Ă imiter le comportement de ceux qui nous entourent. Vous devez avoir un cercle social Ă©quilibrĂ© comprenant des personnes gĂ©nĂ©ralement optimistes ou heureuses. 3 Prenez soin de vous. Un environnement caractĂ©risĂ© par la colĂšre peut vous rendre stressĂ©e ou anxieuxse. Essayez de lutter contre le stress par des activitĂ©s rĂ©guliĂšres visant Ă prendre soin de soi, comme un massage, prendre un bain chaud, Ă©couter de la musique relaxante ou faire des sĂ©ances de yoga relaxantes [9] . C'est normal de vouloir aider un ĂȘtre cher, mais essayez de prendre du temps pour vous quelques jours par semaine pour faire des activitĂ©s qui nourrissent votre Ăąme. 4 Rejoignez un groupe d'entraide pour la gestion de la colĂšre. Une autre façon d'obtenir de l'aide est de chercher d'autres personnes qui comprennent la situation que vous vivez. Recherchez des groupes de soutien dans votre rĂ©gion et assistez Ă quelques rĂ©unions [10] . Vous serez peut-ĂȘtre soulagĂ© d'entendre d'autres personnes vivre des expĂ©riences similaires. De plus, elles peuvent aussi vous donner des conseils utiles pour vous aider Ă y faire face. 5 Demandez de l'aide si votre proche devient violent. Si la personne devient violente, vous ne pouvez pas prĂ©dire ce qui arrivera. Il ne faut jamais blesser quelqu'un sous prĂ©texte que l'on est en colĂšre. Ă ce stade, assurez d'abord votre sĂ©curitĂ©. Quittez les lieux immĂ©diatement si possible et appelez un ami, un parent ou parlez Ă quelqu'un de façon anonyme sur une ligne d'assistance [11] . Si votre partenaire devient violent, appelez immĂ©diatement la police ou une ligne tĂ©lĂ©phonique d'urgence qui s'occupe de problĂšmes de violence familiale pour obtenir de l'aide. Si vous ĂȘtes un enfant et que vous avez peur d'un adulte sujet Ă la violence, appelez le Service national d'accueil tĂ©lĂ©phonique pour l'enfance en danger ou un organisme similaire. Avertissements Cet article contient des informations mĂ©dicales ou des conseils pouvant affecter votre santĂ©. wikiHow s'efforce de proposer du contenu aussi prĂ©cis que possible, mais ne peut en aucun cas ĂȘtre responsable du rĂ©sultat de l'application liste non exhaustive des traitement, des techniques, des mĂ©dicaments des dosages et/ou mĂ©thodes proposĂ©es dans ce document. L'utilisateur en assume la pleine les symptĂŽmes persistent plus de quelques jours, allez voir un professionnel de la santĂ©. Lui seul est apte Ă vous fournir un avis mĂ©dical, quelle que soit votre condition. S'il s'agit d'un jeune enfant, consultez un pĂ©diatre sans numĂ©ro des urgences mĂ©dicales europĂ©en est le 112 Vous retrouverez les autres numĂ©ros des urgences mĂ©dicales pour de nombreux pays en cliquant ici. Ă propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 1 663 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?
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8 Stimuler la soif dâaprendre hors des murs de lâĂ©cole. Vous pouvez aussi inciter votre enfant Ă apprendre par lui-mĂȘme afin quâil ne perdre pas le goĂ»t dâapprendre et de dĂ©couvrir de nouvelles choses, quâil ne perde pas sa curiositĂ© naturelle. Encouragez-le Ă apprendre dans toutes les situations :
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Premierpas pour aller mieux. Peut-ĂȘtre quâen plus, on ne veut pas en parler pour des raisons culturelles, religieuses ou on veut juste protĂ©ger notre image. Câest normal dâavoir des craintes, mais il faut passer par-dessus parce quâen parler, câest le PREMIER pas pour aller mieux. La majoritĂ© des gens qui vont chercher de lâaide
Par Isabelle Dautresme, Marion Floch, mis Ă jour le 16 Octobre 2019 4 min CollĂšge Français Orthographe MĂ©thodo Les remarques sur vos copies et bulletins sont autant de façons diffĂ©rentes de vous dire que cĂŽtĂ© Ă©criture, vous avez encore des progrĂšs Ă faire. Voici nos quatre conseils pour vous aider Ă mieux Ă©crire. Conseil n°1 Ă©crire, encore et toujours Comment mieux Ă©crire ? "En Ă©crivant rĂ©guliĂšrement et le plus souvent possible", rĂ©pond sans hĂ©siter Corinne Durand Degranges, directrice du collĂšge Jeanne d'Arc Ă Apt 84. "On dit souvent que pour amĂ©liorer son Ă©criture, il faut beaucoup lire, mais, en rĂ©alitĂ©, il faut Ă©crire souvent", insiste-t-elle. Ăcrire oui, mais quoi ? Ăcrivez ce qui vous fait plaisir, l'essentiel est que vous preniez la plume. "Trop d'Ă©lĂšves n'Ă©crivent pas par crainte de mal faire", regrette-t-elle. Autre astuce lisez votre texte Ă voix haute, vous vous rendrez compte de ce qui ne va pas. "L'idĂ©al est d'avoir un auditoire pour vous aider Ă repĂ©rer ce qui peut ĂȘtre amĂ©liorĂ©", continue l'enseignante. Conseil n°2 rĂ©flĂ©chir avant d'Ă©crire Avant de vous lancer dans la rĂ©daction, prenez le temps de rĂ©flĂ©chir Ă ce que vous allez Ă©crire. Posez-vous des questions du type "Qu'est-ce que je veux dire ? Comment je vais le dire ?" Si vous racontez une histoire, faites-la dĂ©filer une premiĂšre fois, en intĂ©gralitĂ©, dans votre tĂȘte. Vous pouvez Ă©galement la reprĂ©senter sous la forme d'un schĂ©ma ou faire une petite fiche de prĂ©sentation des protagonistes. "Dans tous les cas, ne commencez pas Ă Ă©crire un rĂ©cit tant que vous ne savez pas comment il se termine, au risque de vous perdre en chemin", met en garde l'enseignante de français. Françoise Bedoucha, professeure de lettres en collĂšge insiste, quant Ă elle, sur la nĂ©cessitĂ© de structurer ses propos. "Tout Ă©crit doit ĂȘtre organisĂ©, ce qui implique de faire un brouillon." Quand vous Ă©crivez, demandez-vous si ce que vous dĂźtes est comprĂ©hensible par quelqu'un d'autre. "Pour le savoir, le mieux est de laisser reposer votre Ă©crit, quelques minutes s'il s'agit d'un travail en classe ou toute la nuit s'il est fait Ă la maison", conseille Françoise Bedoucha. Quand vous le reprendrez, Ă tĂȘte reposĂ©e, les erreurs vous sauteront aux yeux. Conseil n°3 faites simple Faites des phrases courtes. "Plus de deux lignes pour une mĂȘme phrase, c'est trop !", martĂšle Corinne Durand Degranges. L'idĂ©al est d'alterner sĂ©quences longues et courtes. Pour rythmer votre propos, faites des phrases non verbales. Ăvitez le bla-bla⊠"Il n'y a rien de pire qu'un Ă©lĂšve qui n'a rien Ă dire et qui le cache derriĂšre des propos creux", s'agace l'enseignante. Adoptez un vocabulaire simple mais prĂ©cis. N'employez pas de termes dont vous ne maĂźtrisez pas le sens, au risque de confusions. Quant aux rĂ©pĂ©titions, Ă©vitez-les en utilisant des synonymes. Attention Ă©galement Ă la ponctuation, elle peut changer le sens d'une phrase. Rappelez-vous enfin que "le style Ă©crit est plus soutenu que le style oral", insiste Corinne Durand Degranges. Françoise Bedoucha conseille, elle, Ă ses Ă©lĂšves de travailler en plusieurs Ă©tapes il faut dâabord sâoccuper du fond et, ensuite, travailler la forme. Conseil n°4 faites propre Bien Ă©crire, c'est aussi Ă©crire lisiblement et proprement. "Si on est gĂȘnĂ© dans la lecture parce qu'on peine Ă dĂ©chiffrer l'Ă©criture, on ne peut pas s'attacher au fond. On peut avoir le sentiment qu'une pensĂ©e n'est pas assez structurĂ©e, tout simplement parce que la lecture n'est pas fluide", explique Françoise Bedoucha. Seule solution pour Ă©viter ce genre de problĂšmes ? Soigner la prĂ©sentation. Optez pour la sobriĂ©tĂ©. L'alternance de rose, violet ou des tonnes de Tipp-Ex ne sont gĂ©nĂ©ralement pas apprĂ©ciĂ©es.
Danscet article, Laure, vous raconte son burn-out et comment la relaxologie lâa aidĂ©e Ă remonter la pente du burn-out. Pour connaĂźtre lâhistoire de Laure et en savoir plus sur la la relaxologie et en quoi peut-elle ĂȘtre utile face au burn-out, lisez cet article. NB : cet article a Ă©tĂ© rĂ©digĂ© par Laure Boisseau, devenue aujourdâhui relaxologue ;-).
Parfois, dans la vie, on a des baisses de rĂ©gime ». De la fatigue accumulĂ©e, le changement de saison, des pĂ©riodes stressantes, des changements qui demandent beaucoup dâadaptation ou de flexibilité⊠Les raisons peuvent ĂȘtre aussi variĂ©es que nombreuses. On se sent dĂ©passĂ©e, dĂ©sintĂ©ressĂ©e et on ressasse souvent les mĂȘmes idĂ©es nĂ©gatives ou dĂ©valorisantes. Pourtant, pour sortir de cette situation pĂ©nible Ă vivre, quelques petits efforts valent la peine dâĂȘtre faits. Un pas aprĂšs lâautre, des petites clĂ©s Ă dĂ©couvrir pour retrouver la sĂ©rĂ©nitĂ©. Quand le moral plonge⊠Je vais ĂȘtre tout Ă fait honnĂȘte avec vous lâidĂ©e de cet article mâest venue parce que, ces derniers temps, je ne suis pas toujours au top de ma forme. Disons mĂȘme que certains jours, jâai du mal Ă voir la vie en rose. Câest une situation que je connais un peu car, comme beaucoup de personnes, ce nâest pas la premiĂšre fois que je la traverse. Je sais que ça ira mieux, et aujourdâhui, je peux lister les 10 choses Ă mettre en place pour vite retrouver le sourire. Faire une cure de magnĂ©sium et vitamine B6 Câest une astuce toute simple Ă mettre en place, que jâai apprise il y a trois ans, en pĂ©riode de spleen post-vacances et de stress divers faire une cure de magnĂ©sium et de vitamines B6 permet de retrouver un certain Ă©quilibre du systĂšme nerveux, de diminuer lâirritabilitĂ©, dâavoir un meilleur sommeil et dâattĂ©nuer les symptĂŽmes du syndrome prĂ©menstruel. Depuis, jâai toujours chez moi un flacon de ce complexe pour faire face aux pĂ©riodes plus compliquĂ©es et en quelques jours, le moral va dĂ©jĂ mieux. Sâaccorder des pauses feel good » De toute part, via les rĂ©seaux sociaux et la radio ou la tĂ©lĂ© notamment, nous sommes quotidiennement assaillis de mauvaises nouvelles. Le monde dans lequel nous vivons est devenu anxiogĂšne et, sous le feu des infos stressantes, notre moral descend en flĂšche. La solution vous couper de cet incessant ballet inquiĂ©tant rĂ©guliĂšrement et faire des pauses douceur ». Attention, nullement question de faire lâautruche ici, mais bien de sâoctroyer des bulles dâoxygĂšne. Ce qui fonctionne chez moi, ce sont les lectures feel-good » et les sĂ©ries de type comĂ©die qui font office de barriĂšre de sĂ©curitĂ©. Pratiquer la mĂ©thode des » 3 kifs par jour » Câest un exercice assez connu maintenant et qui a Ă©tĂ© magnifiquement mis en lumiĂšre dans le livre de Florence Servan-Schreiber 3 kifs par jour , livre que je vous recommande chaudement si vous voulez cultiver votre optimisme et pratiquer la psychologie positive. Il suffit, chaque jour moi je fais ça quand je vais me coucher de trouver dans sa journĂ©e trois moments sympas, trois instants qui vous ont procurĂ© une Ă©motion positive et de les lister mentalement pour sâen rĂ©jouir. Ă force dâentraĂźner votre esprit, vous lui apprenez Ă voir les choses positivement plutĂŽt que nĂ©gativement. Câest un exercice cĂ©rĂ©bral, un peu comme le sudoku, mais en plus chouette ! Faire attention Ă son alimentation On a toutes nos aliments doudou » et nos plats rĂ©confortants sur lesquels on se rabat aprĂšs une journĂ©e difficile ou un coup de blues. Mais attention, il est Ă prĂ©sent mĂ©dicalement prouvĂ© quâune alimentation trop riche en graisse trans ou en graisse saturĂ©e augmente les risques de dĂ©prime et de dĂ©pression. Donc on se fait plaisir, oui, mais on ne tombe pas dans lâexcĂšs et on compense avec des omĂ©ga-3 que lâon trouve dans les poissons gras et les huiles vĂ©gĂ©tales, des fruits secs riches en magnĂ©sium ou en sĂ©lĂ©nium vives les amandes ou les noix du BrĂ©sil et on craque pour un jâinsiste sur le nombre đ carrĂ© de chocolat noir pour le plaisir. Attention aussi aux boissons alcoolisĂ©es. Un verre ou deux pour se dĂ©tendre, câest sympa. Mais une consommation excessive ou rĂ©pĂ©tĂ©e, si elle semble soulager vos idĂ©es noires sur le moment, les renforcera dĂšs lâeffet de griserie envolĂ©. Cercle vicieux garanti. Sortir prendre lâair Quand on nâa pas la forme, on manque dâĂ©nergie et cela peut se traduire pas un renfermement. Câest plus facile de rester dans nos quatre murs et de nâavoir aucun effort Ă faire pour sortir, rencontrer dâautres personnes, entretenir une conversation. Mais câest aussi le moyen le plus sĂ»r de ne se donner aucune chance dâaller mieux et de retrouver le moral. Alors forcez-vous un peu tous les jours Ă sortir ailleurs quâau boulot aller chercher le pain Ă la boulangerie, faire une balade, aller prendre un verre avec une amie. Au dĂ©part, câest difficile, mais petit Ă petit, ça devient plus simple et on oublie pendant un moment nos tracas du quotidien. Sâentourer des bonnes personnes On ne le dira jamais assez, pour bien se sentir, le mieux est de sâentourer de personnes positives, qui nous poussent vers le haut. Mais il est impossible de rester Ă lâĂ©cart des autres la collĂšgue mesquine, la voisine et ses perpĂ©tuels ragots⊠Toutes ces personnes ont leur place dans la sociĂ©tĂ© dans laquelle on Ă©volue. Alors quand on les croise, on sort son bouclier imaginaire de bienveillance qui nous permet Ă la fois de garder le sourire, mais aussi de garder leurs ondes nĂ©gatives loin de nous. Et nos moments prĂ©cieux de partage, de rires et de fĂȘte, on les rĂ©serve Ă ceux qui nous aiment et nous font du bien. Prendre du temps pour soi, vraiment Quand est-ce que, pour la derniĂšre fois, vous avez pris un vrai moment pour vous ? Pas cinq minutes Ă la volĂ©e pour vous mettre un peu de mascara dans la salle de bains ce matin, mais une heure ou deux oĂč vous avez pu faire ce dont vous aviez rĂ©ellement besoin papoter avec une copine, lire un magazine au soleil, coudre ce petit haut qui vous fait envie⊠? Je parie que si nous Ă©tions dans une salle bondĂ©e de femmes actives et de mamans, peu de mains se lĂšveraient Ă cet instant. Ce que je vous propose lĂ , tout de suite, câest dâouvrir votre agenda et de fixer Ă intervalle rĂ©gulier un moment rien que pour vous, sans risquer dâĂȘtre interrompue toutes les trois minutes. Câest vous qui voyez quand, Ă quelle rĂ©gularitĂ©, mais tenez-vous y. Parce que croyez-moi, votre santĂ© mentale vous remerciera. Et non, ce nâest absolument pas de lâĂ©goĂŻsme. Cela sâappelle se ressourcer pour ĂȘtre mieux Ă mĂȘme dâaffronter le reste et dâĂȘtre plus performante au quotidien â Ceci est un argument offert par la maison pour votre entourage peu comprĂ©hensif ou votre cerveau culpabilisant. Faire des projets Quand on ne va pas bien, on a tendance Ă voir les choses Ă court terme. Notre vision se rĂ©trĂ©cit. On a dĂ©jĂ bien du mal avec aujourdâhui alors imaginez demain, vous pensez bien⊠LâidĂ©al est de se forcer Ă ouvrir le volet pour voir au-delĂ , en faisant des projets agrĂ©ables pour booster le moral. Un projet, câest un ancrage concret dans le futur, avec des actions Ă mener, mais une rĂ©compense au bout du chemin. Selon son budget, ses besoins, on se fixe des objectifs rĂ©alisables. Ici, câest lâorganisation des vacances en famille qui nous occupe lâesprit pour le moment. Ensuite, avec LaurĂ©lie, on a plein dâidĂ©es pour dĂ©velopper le blog et on se lancera en septembre dans un planning pour booster tout cela. Et vous, câest quoi vos projets ? Faire appel Ă sa crĂ©ativitĂ© Ces derniĂšre annĂ©es, la crĂ©ativitĂ© et le DIY sont revenus en force sur le devant de la scĂšne. Sâil ne fallait quâune raison pour comprendre cet engouement, câest que crĂ©er, donner vie Ă quelque chose est une activitĂ© qui a un nombre dâavantages plutĂŽt gĂ©niaux â
Câest apaisant et relaxant â
Ăa renforce notre estime de soi â
Ăa permet de mieux structurer nos pensĂ©es â
Ăa renforce notre capacitĂ© de concentration â
Ăa nous ancre dans le moment prĂ©sent â
Ăa nous permet de prendre un moment pour nous voir plus haut â
Plus on crĂ©e, plus on dĂ©veloppe sa crĂ©ativitĂ©. Quels que soient vos talents Ă©criture, dessin, couture, cuisine, crĂ©ation de bijoux, dĂ©co, tricotâŠ, passez au moins une heure chaque semaine Ă pratiquer votre activitĂ© prĂ©fĂ©rĂ©e pour casser la routine et ressentir un brin de fiertĂ©. Se projeter dans une annĂ©e Quand les choses ne tournent pas comme prĂ©vu, quand les enfants vous en font voir de toutes les couleurs, quand monsieur oublie de rapporter les tomates pour le repas ou encore que vous avez ratĂ© votre dessert alors que vous recevez vos collĂšgues ce soir, demandez-vous une seule et unique chose Est-ce que, dans une annĂ©e, cet Ă©vĂ©nement aura encore de lâimportance pour moi, pour nous ? Est-ce quâil aura encore un impact, une influence sur notre vie ? » Si la rĂ©ponse est non, alors soufflez un bon coup et laissez la pression redescendre. Si la rĂ©ponse est non, câest que vous Ă©nerver, vous morfondre, nâapportera rien et vous fera user une Ă©nergie que vous pourriez utiliser Ă bien meilleur profit. Cela sâappelle relativiser et câest vraiment salvateur. Se donner la chance dâaller mieux JâespĂšre que cette liste sera utile Ă celles qui, un jour ou lâautre, passeront par une pĂ©riode difficile. Mais la lire ne suffira pas, il faudra faire un petit effort supplĂ©mentaire pour mettre des choses en action. Inutile de viser la lune et de vous dire que vous allez tout mettre en place tout de suite. Testez une idĂ©e demain, une autre la semaine prochaine et ainsi de suite. Faites selon votre rythme et vos besoins. Vous nâĂȘtes pas non plus obligĂ©e de suivre lâordre, vous faites comme vous voulez. Câest du libre-service đ Article liĂ© 10 habitudes Ă prendre pour ĂȘtre optimiste Et si la dĂ©prime sâinstalle ? Je mâadresse ici Ă celles qui ont une baisse de moral, un petit coup de mou, un passage Ă vide comme on dit. Si vous sentez que votre malaise est plus profond quâune simple dĂ©prime, que vos idĂ©es noires ne vous laissent aucun rĂ©pit et que vous nâavez pas la force de vous en sortir, ne restez pas seule. Parlez-en Ă une amie attentive ou adressez-vous rapidement Ă un professionnel de la santĂ© qui saura vous aider. La dĂ©pression est une maladie sĂ©rieuse qui nĂ©cessite une prise en charge mĂ©dicale. Mais elle se soigne ! Ă toutes, courage pour les moins bons jours, le soleil brillera Ă nouveau demain ! Si vous aimez notre univers et nos articles, nâoubliez pas de vous abonner Ă notre page Facebook, notre compte Instagram ou de nous suivre sur Hellocoton.
Comprendreque la dépression est une maladie. "La premiÚre chose à faire lorsqu'on est proche d'une personne que l'on pense dépressive, c'est d'établir avec certitude le
Quâest-ce que la dĂ©tresse psychologique? Une personne souffre de dĂ©tresse psychologique quand elle dĂ©montre des signes de stress et dâanxiĂ©tĂ© Ă la suite dâun ou plusieurs Ă©vĂ©nements et sans aucun autre diagnostic de maladies mentales. Des signes avant-coureurs Les symptĂŽmes de la dĂ©tresse psychologique se dĂ©clinent en 4 axes Physique Cognitif Ămotif Comportemental Les symptĂŽmes doivent modifier le comportement et les habitudes de la personne depuis au moins 2 semaines. Vous remarquez donc quâelle a changĂ©, quâelle nâest plus comme avant. Ă la limite, vous ne la reconnaissez plus. Portez donc une attention particuliĂšre aux signes suivants Physique Cognitif Ămotif Comportemental Fatigue NervositĂ© Maux de dos Maux de tĂȘte Sensation de lourdeur dans la poitrine ou lâestomac AccĂ©lĂ©ration des battements du cĆur Tensions musculaires Insomnie Perte ou gain de poids DifficultĂ©s Ă prendre des dĂ©cisions ProblĂšmes de concentration et de mĂ©moire Discours moins articulĂ© IrritabilitĂ© AnxiĂ©tĂ© DĂ©pression ColĂšre AgressivitĂ© Diminution de lâestime de soi Disputes Sautes dâhumeur Isolement Attitude rigide PassivitĂ© Abus de cafĂ©, dâalcool, de drogues ou de mĂ©dicaments Plus vous serez apte Ă reconnaĂźtre les signes avant-coureurs de dĂ©tresse psychologique, plus il vous sera facile de tendre la main Ă lâun de vos proches qui en souffre. Car on ne lĂ©sine pas avec la dĂ©tresse psychologique. Si on ne la diagnostique pas ou si on ne la traite pas adĂ©quatement, la personne peut se retrouver dans une spirale de maladies mentales et de difficultĂ©s dâadaptation. Votre attitude compte pour beaucoup Pour que votre proche admette quâil souffre de dĂ©tresse psychologique, vous devez instaurer un climat de confiance propice Ă la discussion. Commencez par trouver le bon moment et le bon lieu. Si votre proche est trĂšs occupĂ© par une autre tĂąche, inutile dâamorcer la conversation. Sa tĂȘte est ailleurs. Favorisez le dialogue Il est toujours prĂ©fĂ©rable de parler au je ». Ainsi, vos propos risquent moins dâĂȘtre interprĂ©tĂ©s comme un jugement et sembleront moins accusateurs pour lâautre. Ne prenez pas de dĂ©tours inutiles et faites-lui part de votre inquiĂ©tude en lui donnant des exemples de son changement de comportement. Demandez-lui directement ce qui ne va pas. Ouvrez grand vos oreilles Ici, la qualitĂ© de votre Ă©coute est primordiale. MĂȘme si vous cherchez des rĂ©ponses Ă vos questions, respectez les silences, les incohĂ©rences, les sentiments que vit votre proche. En vous mettant au service de ses confidences, vous allez lâencourager Ă exprimer librement ce qui nâest pas toujours facile Ă articuler. Faites preuve dâouverture dâesprit Il est possible que les confidences de votre proche vous bousculent ou vous touchent Ă©normĂ©ment. Gardez votre calme et laissez de cĂŽtĂ© vos jugements personnels. En aucun cas, il ne faut minimiser ce que ressent lâautre surtout sâil a des pensĂ©es suicidaires ou faire la morale, par exemple en lui disant Prends-toi en main! Il y a des gens qui ont vĂ©cu des Ă©vĂ©nements pires que ça! » Chacun a sa propre façon de rĂ©agir face aux Ă©vĂ©nements et il faut le respecter. Brisez la solitude La dĂ©tresse psychologique entraĂźne son lot dâisolement et de solitude. Nâoubliez pas que les prĂ©jugĂ©s envers les personnes qui souffrent dâune maladie mentale persistent, mĂȘme aujourdâhui. En venant en aide Ă votre proche, vous brisez ce cercle vicieux et un premier pas vers la guĂ©rison sâamorce. Rassurez lâautre. Dites-lui quâil nâest plus seul et quâil peut compter sur vous. Ce soutien est vital dans un moment de dĂ©tresse psychologique. Et maintenant, que faire? Ne jouez pas Ă lâapprenti psychologue Peu importe ce dont souffre la personne Ă qui vous souhaitez venir en aide, ne vous improvisez pas psychologue. Il faut des annĂ©es dâĂ©tudes et dâexpĂ©rience pour intervenir auprĂšs dâune personne en difficultĂ© psychologique. Cela est surtout vrai si votre proche a des pensĂ©es suicidaires. Il faut absolument vous assurer quâelle est aidĂ©e par un professionnel. Ces professionnels de la santĂ© ont le dĂ©tachement Ă©motif nĂ©cessaire pour aider votre proche, tandis que vous risquez justement dâĂȘtre trop intimement liĂ© Ă cette personne pour bien lui venir en aide. Votre rĂŽle consiste plutĂŽt Ă lui suggĂ©rer de faire appel Ă une ressource dâaide compĂ©tente et Ă lâaccompagner dans sa dĂ©marche. Et si lâemployeur pouvait aider? Lâassurance collective de certains employeurs offre des programmes dâaide aux employĂ©s qui sont aux prises avec des problĂšmes de santĂ© psychologique. SuggĂ©rez Ă votre proche de sâinformer auprĂšs des ressources humaines de son employeur pour savoir si un programme dâaide est Ă sa disposition. Sachez que ces demandes sont toujours traitĂ©es en toute confidentialitĂ©. 211, un numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone Ă retenir Si vous ne savez pas vers quel organisme dâaide diriger votre proche, vous nâavez quâĂ composer le 211. Ce service dâinformation gratuit vous guidera vers des organismes selon la problĂ©matique qui touche votre proche. Ce service est ouvert tous les jours de 8 h Ă 18 h. Ne flanchez pas Plus la personne est proche de vous, plus vous risquez dâĂȘtre touchĂ© par les effets indirects de sa dĂ©tresse psychologique. Il est donc essentiel de respecter vos limites et de les exprimer ouvertement Ă votre proche. Oui, vous souhaitez lâaider, mais il ne faut pas que sa dĂ©tresse psychologique ait un effet domino sur vous. Vous devez aussi prendre soin de vous.
Ily a une foule de maniĂšres dâaider un ami. Il est toujours possible de : Ătre prĂ©sent : Une des choses les plus utiles que tu peux faire est simplement dâĂȘtre prĂ©sent pour ton ami. Organise des sorties. Appelle-le rĂ©guliĂšrement pour prendre de ses nouvelles. Les gens qui souffrent ont souvent de la difficultĂ© Ă aller chercher de
Depositphotos 16 citations profondes pour vous aider Ă aller mieux Chaque jour, nous avons entre 45000 et 55000 pensĂ©es diffĂ©rentes. Il est donc essentiel que nous nous efforcions dâavoir un maximum de pensĂ©es positives, de pensĂ©es confiantes, inspirantes⊠Voici les 16 citations profondes qui, je lâespĂšre, Ă aller mieux 1.âSe remettre de la dĂ©pression est un engagement Ă vie. Jâai pris cet engagement pour moi et pour ceux que jâaime » Susan Polis Schutz 2.âIl faut dâabord savoir ce que lâon veut, il faut ensuite avoir le courage de le dire, il faut enfin lâĂ©nergie de le faire. »Georges ClĂ©menceau 3.âQuand vous choisissez lâespoir, tout est possibleâ Christopher Reeve 4.âNotre personnalitĂ© ne peut se dĂ©velopper dans le calme. Ce nâest quâĂ travers les souffrances que lâĂąme se renforce et que le succĂšs arrive » Helen Keller 6. âUne attitude positive vous donne le pouvoir sur vos circonstances au lieu que les circonstances aient un pouvoir sur vousâ Joyce Meyer 7. âLâhomme aime compter ses malheurs, mais il ne compte pas ses joies. Sâil le faisait, il se rendrait compte que pour chaque souci, il reçoit beaucoup plus de joie » Fuodor Dostoevsky 8. âCe que la chenille appelle la fin du monde, le maĂźtre lâappelle un papillonâ Richard Bach 9. âGardez-vous occupĂ© si vous voulez Ă©viter la dĂ©pression. Pour moi, lâinactivitĂ© est lâennemi » Matt Lucas 10.â LâĂ©chec est seulement lâopportunitĂ© de recommencer dâune façon plus intelligente. » Henry Ford 11. âParfois, votre joie est la source de votre sourire, mais parfois votre sourire est la source de votre joieâ Thich Nhat Hanh 12.âPeut-ĂȘtre que vous devez ĂȘtre dans le noir pour mieux apprĂ©cier la lumiĂšreâ Madeleine LâEngle 13.âExposez-vous Ă vos peurs les plus profondes et aprĂšs celĂ , la peur ne pourra plus vous atteindre. » Jim Morrisson 14. âLa plus grande tranquillitĂ© vient du dĂ©veloppement de lâamour et de la compassion. Plus vous vous en faites pour le bonheur des autres, mieux vous vous sentirez » Tenzin Gyatso 15 âTous les jours et Ă tout point de vue, je vais de mieux en mieux. » Emile CouĂ© 16. Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes rĂ©sulte de nos pensĂ©es. Avec nos pensĂ©es nous bĂątissons notre monde. » Bouddha
100questions pour faire connaissance. L'une des Ă©tapes les plus importantes, sinon la plus importante, pour apprendre Ă connaĂźtre quelqu'un est de lui poser des questions Ă un niveau personnel. Ces questions rendront indĂ©niablement vos conversations les meilleures qui soient, vous ne voudrez jamais qu'elles s'arrĂȘtent. 1.
RĂ©dacteur Dr Nicolas Neveux, Psychiatre Ă Paris, formĂ© en ThĂ©rapie Cognitive et Comportementale AFTCC et en ThĂ©rapie Interpersonnelle IFTIP, mail . Lâessentiel hors cas dâurgence, ne pas sâopposer frontalement au proche qui souffre ne pas le faire culpabiliser le diagnostic doit ĂȘtre posĂ© par un psychiatre afin dâorganiser la stratĂ©gie thĂ©rapeutique voir sur cette page pour les diffĂ©rences entre psychiatre ou psychologue la ThĂ©rapie cognitive et Comportementale TCC ou la ThĂ©rapie Interpersonnelle TIP sont Ă privilĂ©gier dans cette situation si votre proche refuse de consulter, vous pouvez consulter un psychiatre afin de vous conseiller sur la façon de lâaider en cas dâurgence, notamment dâidĂ©es suicidaires, lâhospitalisation est nĂ©cessaire pour votre proche, quitte Ă sâopposer Ă lui. Essayer dâaider un proche qui souffre dâun problĂšme psy⊠Difficile question⊠Autant on peut espĂ©rer que ce site vous aura convaincu de la nĂ©cessitĂ© de rechercher lâaide nĂ©cessaire si quelque chose vous alarme, autant il en va tout autrement dâun membre de votre entourage. Votre rĂŽle, dans ce cas de figure est capital. Le propre des problĂšmes psychologiques est que, trĂšs souvent, les personnes sont rĂ©ticentes Ă appeler Ă lâaide. Le rĂŽle de la famille est alors capital! Comment convaincre un proche de se faire aider par un psychiatre ? Câest la question la plus frĂ©quente. Le problĂšme central rĂ©side dans le fait que lorsquâon cherche Ă aider son mari, son Ă©pouse, son enfant, un ami⊠mĂȘme si lâintention est honorable de notre part, lâautre ne nous perçoit pas forcĂ©ment comme autorisĂ© Ă avancer une opinion sur son mode de pensĂ©e ou son comportement. Lâintervention est alors vĂ©cue comme intrusive et traitĂ©e comme telle par celui ou celle que nous souhaitions aider⊠HĂ©las, il nây a pas de recette miracle. PremiĂšre chose ne pas vous sentir coupable si vous nây parvenez pas les psys eux-mĂȘmes nâarrivent pas toujours Ă persuader les gens de suivre les soins dont ils ont besoin. Le plus important, câest dâessayer de faire ce que vous pouvez. Par contre, vous ne pouvez pas sauver les gens contre leur grĂ©! Ceci Ă©tant dit, voici quelques pistes pour vous aider. Plan de la page 1/ Conseils gĂ©nĂ©raux 2/ Ce quâil ne faut surtout pas faire 3/ Si vous vous inquiĂ©tez pour un proche, qui ne veut pas consulter et que vous cherchez de lâaide 4/ Que faire si un proche souffre dâune pathologie psy? 5/ Que faire si votre proche est en danger urgent et ne veut pas ĂȘtre aidĂ©? . Conseils gĂ©nĂ©raux pour aider un proche Ils ne sont ni exhaustifs, ni sĂ»rs Ă 100%, mais vous donnent quelques repĂšres dans votre dĂ©marche. Si vous ĂȘtes proches, ou quâune confiance importante vous unit Ă la personne, ou simplement en position dâautoritĂ© vis-Ă -vis dâelle parent et enfant, par exemple, il est possible dâaborder le problĂšme que vous avez repĂ©rĂ© avec une saine franchise. Ce cas est bien sĂ»r le plus simple, et toujours Ă privilĂ©gier si vous le pouvez. Aborder les choses directement est possible dans de nombreuses pathologies psy. En effet, le dĂ©ni nâest pas prĂ©sent dans toutes les pathologies psy mais uniquement dans certaines dâentre elles. Ce quâil faut comprendre dans la relation entre vous et votre proche vous pouvez ĂȘtre convaincu que votre proche a un problĂšme, mais vous pouvez vous tromper. Restez prudent par rapport Ă votre propre conviction le problĂšme psy peut ĂȘtre rĂ©el, mais votre proche peut ĂȘtre dans le dĂ©ni. Dans ce cas, il faut procĂ©der trĂšs progressivement, par petites touches. votre proche peut ne pas supporter que ce soit vous qui pointiez ses difficultĂ©s, parce que lâenjeu peut ĂȘtre trop difficile pour lui au regard de la relation que vous avez. Par exemple, un enfant peut avoir du mal Ă© reconnaĂźtre son mal-ĂȘtre vis-Ă -vis de ses parents alors quâil le dira plus volontiers Ă son grand-pĂšre. Si aborder de front le problĂšme nâest pas possible, dâautres pistes sâoffrent Ă vous En parler avec dâautres amis de la personne. Ainsi vous serez plusieurs, Ă des moments diffĂ©rents, Ă Ă©voquer ce problĂšme. Faire des allusions au problĂšme, afin de montrer que vous avez repĂ©rĂ© ce problĂšme, et que vous ĂȘtes disponible pour Ă©couter la personne si elle en manifeste lâenvie. Ăventuellement, proposer de parler directement. Par exemple, lui dire que vous avez lâimpression quâelle est triste, mais toujours en restant hĂ©sitant jâai lâimpression que » et non pas tu es triste ». Il faut rester prudent. Pointer les consĂ©quences nĂ©fastes ou de modification de comportement indiscutables, en sâinterrogeant sur les motifs qui les expliquent. Parler du problĂšme comme si câĂ©tait pour quelquâun dâautre ou une information dĂ©tachĂ©e. Jâai entendu dire que les problĂšmes dâalcool commencent par la consommation en solitaire, tu le savais? »⊠une information dĂ©tachĂ©e, quâon va remettre souvent sur le tapis. Autres abords Lui rappeler que vous lâaimez. Cela contribuera Ă crĂ©er un climat de confiance qui permettra quâun jour la personne accepte de vous parler. Amener la personne sur des sources dâinformation en rapport avec son problĂšme⊠Ce site, par exemple, mais aussi des livres, des Ă©missions ou des articles peuvent faire lâaffaire. Si la personne apprĂ©hende les consultations, ou ce qui pourrait se passer en sĂ©ance, vous pouvez lui proposer de visionner des vidĂ©os illustrant comment se dĂ©roulent des sĂ©ances de psychothĂ©rapie, vous pouvez consulter les vidĂ©os du cycle de dĂ©couverte des psychothĂ©rapies. Montrer de lâempathie. Demander Ă votre proche ce qui le bloque dans le fait de demander de lâaide Parler de votre propre expĂ©rience. Par exemple, vous pouvez parler des consultations que vous avez eues si vous avez consultĂ© un psy. Expliquer les consĂ©quences que vous craignez pour votre proche. Quoiquâil arrive, restez patient, ne vous Ă©nervez jamais, aussi dĂ©raisonnables que pourront vous sembler, parfois, certaines rĂ©ponses de la personne. Rappelez-vous que la personne est celle qui souffre le plus de son problĂšme. Prenez votre temps, pour aider la personne Ă Ă©voluer sur la durĂ©e. . Pour aider un proche, voilĂ ce quâil ne faut surtout pas faire Chercher Ă faire avouer la personne. Rien ne pourra la forcer Ă reconnaĂźtre son problĂšme, aussi dĂ©lĂ©tĂšre quâil soit. Chercher Ă obtenir une Ă©volution de lâattitude en quelques entretiens, voire dĂšs la premiĂšre fois oĂč le sujet est abordĂ©. Il faut laisser Ă la personne le temps de mĂ»rir sa rĂ©flexion. Vouloir convaincre votre proche, faire du prosĂ©lytisme. Si elle ne comprend pas, câest quâelle nâest pas prĂȘte. Il faudra revenir Ă la charge, plus tard. SâĂ©nerver. Si la personne ne vous croit pas ou ne change pas, ce nâest pas contre vous, câest quâelle nâest pas prĂȘte. Faire du chantage, des ultimatums. La personne se braquera, sâĂ©loignera de vous, ou au pire se dĂ©primera totalement. Stigmatiser voire punir la personne parce quâelle nâarrive pas Ă surmonter ses problĂšmes. Culpabiliser la personne. Juger la personne Par contre, il ne faut pas non plus compenser ce que votre proche refuse de faire parce quâil ne va pas bien. Par exemple, si votre proche prĂ©sente une agoraphobie et quâil ne refuse de se faire soigner, ce nâest pas Ă vous de faire ses courses parce quâil refuse de sortir de chez lui. La personne en souffrance ne doit pas avoir de bĂ©nĂ©fice dâĂȘtre en souffrance. Il faut lâaider sâil fait tout ce quâil faut pour se soigner, mais ne rien faire pour compenser sâil ne sâaide pas lui-mĂȘme. Surtout, ne vous investissez pas trop, ne faites pas un objectif de votre vie de soigner votre proche. Seul celui qui est concernĂ© peut se soigner. . Si vous vous inquiĂ©tez pour un proche qui ne veut pas consulter et que vous cherchez de lâaide. La premiĂšre chose qui pourra vous aider, est de vous informer. En ce sens, le fait que vous parcouriez ce site est dĂ©jĂ une dĂ©marche dâinformation. Vous pouvez aussi vous tourner vers des associations France DĂ©pression, AFTOC etc⊠qui seront une mine de renseignements utiles. Une autre solution toujours possible est de prendre rendez-vous pour vous, avec un psychiatre, Ă qui vous exposerez la situation problĂšme. De cette façon, il pourra vous aider Ă identifier les solutions qui sâoffrent Ă vous. Ainsi, il examinera le cas particulier dans lequel vous vous trouvez, lâĂ©tat du proche pour qui vous vous inquiĂ©tez, et le lien de proximitĂ© qui vous unit Ă ce proche. Par contre, les psychiatres ne vous rĂ©pondront pas par mail ou par tĂ©lĂ©phone sur des situations cliniques spĂ©cifiques. En effet, le code de dĂ©ontologie et les rĂšglements mĂ©dico-lĂ©gaux le leur interdisent, dâoĂč la nĂ©cessitĂ© de consulter directement pour parler du proche qui vous inquiĂšte. Par contre, certaines situations sont des urgences qui dispensent dâattendre lâaccord de la personne. Câest le cas des idĂ©es suicidaires du dĂ©lire dâune mise en danger de lui-mĂȘme ou dâautrui comme des troubles du comportement Ces situations justifient une prise en charge en urgence, voire sans consentement de la personne, car sa santĂ© est menacĂ©e immĂ©diatement. . Que faire pour aider un proche qui souffre dâune pathologie psy? La façon de se positionner et dâaider un proche qui a un problĂšme psy, temporaire ou non, varie grandement selon le type de pathologie. Ainsi, on nâaide pas de la mĂȘme façon un proche qui prĂ©sente une schizophrĂ©nie, ou une dĂ©pression! Pourtant, ce proche a gĂ©nĂ©ralement besoin de votre aide. La meilleure façon de lâaider consiste si le proche est dâaccord, Ă demander un entretien familial avec son psychiatre si le proche refuse lâentretien familial, dâaller voir un autre psychiatre afin de parler de vos difficultĂ©s. Il faut savoir que la maladie psy de lâun des membres de la famille rejaillit de façon importante sur lâentourage, aussi, si vous vous sentez en souffrance, il faut une prise en charge⊠Deux personnes en souffrance ce nâest pas mieux quâune seule! . Que faire si votre proche est en danger urgent et ne veut pas ĂȘtre aidĂ©? Ce paragraphe traite des situations graves et urgentes. Il sâagit notamment des cas oĂč votre proche mentionne des idĂ©es ou menaces suicidaires prĂ©sente des idĂ©es dĂ©lirantes a des comportements dangereux pour lui-mĂȘme scarifications, auto-mutilations ou autrui agressivitĂ© Dans ce cas, nous vous conseillons de vous passer de lâavis de votre proche et dâappeler le SAMU au 15 ou SOS psychiatrie. Si le psychiatre estime quâil faut une hospitalisation et vous demande votre accord, nous vous recommandons de signer la demande dâhospitalisation. Câest souvent la seule façon de soigner, voire mĂȘme de sauver votre proche. LâidĂ©e est la suivante sâil est en danger, il faut quâun mĂ©decin Ă©value et donne son avis, mĂȘme si votre proche refuse. Vous appelleriez le SAMU pour un infarctus puisque ça met la vie en danger ? et bien lĂ câest pareil. Si en votre Ăąme et conscience vous ĂȘtes convaincu que votre proche est en danger, la seule question Ă se poser est Est-ce que je prĂ©fĂšre courir le risque quâil lui arrive quelque chose de grave, ou quâil mâen veuille? » Malheureusement, lâexpĂ©rience montre que souvent, les familles hĂ©sitent longtemps avant de prendre les dĂ©cisions nĂ©cessaires. Le risque est alors une dĂ©gradation de la situation. Câest tout Ă fait comprĂ©hensible, câest humain de ne pas oser prendre de dĂ©cision qui va contre lâavis de lâautre. Nous savons que câest une dĂ©cision dure Ă prendre. Pour vous aider dans votre rĂ©flexion, voici quelques objections que les familles expriment habituellement, avec les rĂ©ponses rationnelles. Objections habituelles â Oui mais il ne veut pas » RĂ©ponse si on est dans ces cas graves et urgents, câest que votre proche nâest plus lucide, son avis nâest donc plus pertinent. - Oui mais on va lâhospitaliser contre son grĂ© » RĂ©ponse sâil en a besoin, bien sĂ»r. On ne va pas le laisser se suicider au motif que son jugement est temporairement aboli. - On risque de lui donner des traitements lourds » RĂ©ponse câest parfaitement vrai. Comme dans le cas oĂč quelquâun fait un infarctus le traitement de la phase aiguĂ« peut ĂȘtre lourd parce que lorsque la vie est en danger, ce nâest pas le moment de faire dans la demi-mesure. - Il va mâen vouloir de lâavoir fait hospitaliser alors quâil ne voulait pas » RĂ©ponse câest rare car nâoublions pas que la personne qui souffre, mĂȘme si elle dit ne pas vouloir consulter, est dans une situation extrĂȘmement douloureuse. De plus, elle sâoppose Ă ĂȘtre hospitalisĂ©e souvent pour des raisons de prestance elle a honte de consulter pour des raisons psy. Mais que quelquâun dâautre prenne la dĂ©cision Ă sa place la soulage elle sauve la face en disant quâon lâa hospitalisĂ©e contre son grĂ©. Toutefois, il peut arriver que dans la phase initiale, oĂč le proche nâa pas retrouvĂ© sa luciditĂ©, cette colĂšre persiste. Elle ne dure que pendant cette phase initiale et disparaĂźt quand il retrouve sa luciditĂ©. Enfin dans le cas rare oĂč le proche continue dâĂȘtre en colĂšre mĂȘme une fois guĂ©ri, câest que votre proche nâest pas capable de revenir sur ses points de vue. Il y a donc une rigiditĂ© psychique qui mĂ©ritait dâĂȘtre prise en charge. - Est-ce quâil nây a pas des risques dâhospitalisation abusive? » RĂ©ponse en pays dĂ©mocratique, comme en France, les restrictions aux libertĂ©s sont trĂšs encadrĂ©es. Du reste, sauf en cas de trouble mettant en danger autrui, lâhospitalisation sous contrainte nâest prononcĂ©e que si conjointement il y a demande de plusieurs mĂ©decins et dâun membre de la famille. Le fait dâavoir une demande Ă©manant de la famille et du corps mĂ©dical limite le risque dâabus. Le risque est donc trĂšs faible. Venir au cabinet Ă Paris Adresse 9 rue Troyon, Paris; tĂ©l 0609727094 n mĂ©tro Station Charles de Gaulle Etoile ligne 6 depuis Paris 7-14-15-16; ligne 2 depuis Paris 17; ligne 1 depuis Paris 1-2-8, Neuilly sur Seine, La DĂ©fense, Nanterre En RER Station Charles de Gaulle Etoile RER A depuis La DĂ©fense, Nanterre, Paris 8, Paris 1-4-11, Rueil, Maisons Laffitte, Le VĂ©sinet etc⊠En bus Station Charles de Gaulle Etoile lignes 22-30-52 depuis Paris 75016; ligne 92 depuis Paris 75007, 75014, 75015; lignes 30-31-92-93 depuis Paris 75017; ligne 73 depuis Neuilly sur Seine; lignes 22-52-73 depuis Paris 8; ligne 92 depuis Levallois Fait Ă Paris 16 par un psychiatre et un psychologue Photo by Kevin Delvecchio and by Jason Leung
6 Dis Ă ton interlocuteur quâil est totalement libre. Clairement, câest le meilleur moyen de conduire quelquâun Ă faire ce que tu veux quâil fasse. De nombreuses expĂ©riences ont montrĂ© que juste le fait de dire le mot « libertĂ© » influençait favorablement les comportements.
Comment aider un proche atteint de dĂ©pression ? La famille, les amis pensent souvent que la personne dĂ©pressive pourrait sâen sortir si seulement elle le voulait bien ». Mais, il ne faut jamais oublier que la dĂ©pression est une vĂ©ritable maladie et non un choix du patient. Il est important que les proches arrivent Ă comprendre Ă quel point il est difficile de se dĂ©faire de lâemprise de la dĂ©pression, ainsi il leur sera beaucoup plus facile dâaccepter et de tolĂ©rer cette situation. Pour aider au mieux, il faut sâinformer sur la dĂ©pression, en connaĂźtre ses symptĂŽmes, ses causes, ses traitements. Il est essentiel de considĂ©rer le malade comme une personne Ă part entiĂšre, capable de prendre des dĂ©cisions, ou si son Ă©tat ne le permet pas, de lâimpliquer au maximum dans ses prises de dĂ©cisions. On nâaide pas lâautre en dĂ©cidant Ă sa place, en lâinfantilisant. Etre aidant La personne dĂ©pressive est trĂšs souvent confrontĂ©e Ă diffĂ©rentes pertes perte Ă©ventuelle de son emploi, perte de son rĂŽle au sein du couple, de la famille, diminution de son autonomie, perte de confiance en soi,⊠Toutes ces pertes sont difficiles Ă vivre et peuvent gĂ©nĂ©rer de la colĂšre, de la frustration, une baisse de lâestime de soi, etc. Etre aidant, câest avant tout Ă©couter, ĂȘtre disponible, comprĂ©hensif, soutenir avec bienveillance, rassurer. Il faut ĂȘtre attentif aux paroles prononcĂ©es, elles peuvent avoir un impact non nĂ©gligeable chez la personne malade. Il est vivement conseillĂ© dâĂ©viter les paroles telles que fais un effort », secoue toi », fais preuve de bonne volontĂ© ». Le discours moralisateur nâa pas sa place et ne fait que renforcer le sentiment dâindignitĂ© et de culpabilitĂ© du malade. De plus, ce type de paroles peut avoir comme effet sur la personne malade, de retarder la 1Ăšre Ă©tape du processus de guĂ©rison qui est la RECONNAISSANCE et lâACCEPTATION de la maladie. Des paroles telles que tu as tout pour ĂȘtre heureux », il nây a pas de raison que tu sois triste », sont ressenties comme le signe dâune incomprĂ©hension, dâune non reconnaissance de la souffrance ressentie par la personne dĂ©pressive. Ce sentiment dâincomprĂ©hension, le renforcement de la culpabilitĂ© par rapport Ă sa maladie peuvent ĂȘtre des Ă©lĂ©ments aggravants de la symptomatologie dĂ©pressive et peuvent favoriser des idĂ©es suicidaires. Etre aidant, câest Ă©galement observer les Ă©volutions du comportement de la personne dĂ©pressive par rapport Ă elle -mĂȘme image corporelle, hygiĂšne, apparence, appĂ©tit. Ă autrui mutisme, repli sur soi, agressivitĂ©, instabilitĂ© dâhumeur, manque de motivation, baisse ou arrĂȘt des activitĂ©s. aux soins mauvais suivi du traitement mĂ©dicamenteux, mauvaise observation du traitement, refus ou ambivalence de soins. aux sorties difficultĂ©s Ă se rendre au travail, arrĂȘt des loisirs, confinement Ă domicile, refus de voir ses amis. au quotidien difficultĂ©s ou refus de sâimpliquer dans les tĂąches domestiques, nĂ©gligence de lâentretien de la maison. Etre aidant, câest ne rien prendre pour soi La personne dĂ©pressive est en souffrance, elle peut tenir des paroles, des propos blessants, car elle est submergĂ©e par certaines Ă©motions la tristesse notamment. Il est important de ne pas prendre ces paroles trop Ă cĆur. Etre aidant, câest ĂȘtre patient Les progrĂšs sont parfois lents, trĂšs lents. Etre aidant, câest fournir lâaide que vous ĂȘtes prĂȘt Ă donner tout en laissant sa part dâautonomie Ă la personne Etre aidant câest fournir lâaide que lâautre est prĂȘt Ă accepter. Câest montrer lâexemple encourager la personne Ă mener une vie saine, câest lâaccompagner Ă©ventuellement dans certaines de ses activitĂ©s, lâemmener Ă un rendez-vous, faire ses courses, chercher ses enfants Ă lâĂ©cole,⊠Etre aidant, câest rester confiant Montrez Ă la personne que vous croyez en elle, en sa capacitĂ© Ă aller mieux. Etre aidant, câest reconnaĂźtre et accepter ses limites Il faut accepter ses limites psychiques, physiques et matĂ©rielles pour ne pas sâĂ©puiser. Etre aidant, câest conseiller La personne Ă consulter son mĂ©decin traitant, son psychiatre, son thĂ©rapeute. Câest lâinviter Ă suivre ou poursuivre son traitement. Etre aidant, câest ne pas avoir peur dâĂ©voquer les idĂ©es suicidaires. La guĂ©rison est une dĂ©marche personnelle qui est entre les mains de la personne malade. Voici quelques phrases, attitudes positives Ă lâĂ©gard du patient dĂ©pressif Attitude de comprĂ©hension, dâacceptation Je comprends que tu nâaies pas envie de beaucoup bouger » Je respecte ton dĂ©sir de ne rien vouloir faire pour lâinstant et de vivre au ralenti mais je suis disponible pour entreprendre des activitĂ©s avec toi » Ce nâest pas ta faute. Tu nâes pas responsable de ce qui tâarrive. Nous sommes tous autour de toi pour tâaider Ă tâen sortir et tu tâen sortiras » Attitudes de collaboration Je vais tâaider, tu peux compter sur moi pour faire les dĂ©marches nĂ©cessaires auprĂšs de ton employeur et de la caisse de maladie » Je suis prĂȘte Ă tâĂ©couter si tu as envie de parler ou Ă rester prĂšs de toi sans rien dire si tu le dĂ©sires. Nous avons tous envie que tu guĂ©risses » Attitudes rassurantes Câest difficile ce que tu vis aujourdâhui mais ta maladie est guĂ©rissable, il faut que tu ailles voir un mĂ©decin » Tu es fatiguĂ©e, sans envie, il tâest difficile dâentreprendre des choses pour le moment. Câest un passage pĂ©nible, mais on va tâaider Ă tâen sortir » Outil interactif L'arbre des possibilitĂ©s Quiz L'entourage d'une personne dĂ©pressive
OApLS. jvu04j8f0t.pages.dev/116jvu04j8f0t.pages.dev/269jvu04j8f0t.pages.dev/249jvu04j8f0t.pages.dev/378jvu04j8f0t.pages.dev/265jvu04j8f0t.pages.dev/485jvu04j8f0t.pages.dev/195jvu04j8f0t.pages.dev/157
aider quelqu un Ă aller mieux