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[Bonnes feuilles estivales 4/6] Tous les dimanches de cet été, le 1 vous fait découvrir les premières pages de romans à paraître à la rentrée littéraire. Aujourd’hui, Chien 51, de l’écrivain Laurent Gaudé Actes Sud.Autrefois, dans sa Grèce natale, Zem Sparak était un militant de la liberté. Mais le pays est en faillite et malgré l’insurrection, il est vendu au plus offrant, la mégafirme GoldTex, qui réprime massivement les révoltés. L’ancien militant Sparak, lui, a trahi ses idéaux. Devenu flic, chien », il opère dans la zone la plus polluée de la mégalopole futuriste créée et régie par GoldTex. Mais au détour d’une enquête, le passé ressurgit. Dans ce roman d’anticipation, qui se fait l’écho de notre monde inquiétant, Laurent Gaudé interroge aussi notre rapport à la transmission. En voici les premières pages, avant sa parution le 17 août chez Actes Sud. 1 DERNIÈRES VISIONS DU PORT D’un coup, la ville devint folle. Lorsque les dirigeants de GoldTex annoncèrent que le rachat de la Grèce était finalisé, les citoyens d’Athènes furent pris de panique. Eux qui s’étaient massivement opposés à cette acquisition, qui, durant des mois, avaient manifesté, soutenu la jeunesse lorsqu’elle construisait des barricades et jurait d’aller jusqu’au bout, finirent par se tourner vers l’oppresseur et voulurent tous partir. Même les plus réticents étaient en proie à cette obsession quitter la ville, ne pas rester prisonniers de ce piège, rejoindre au plus vite GoldTex et poursuivre leur vie ailleurs. Ils sentaient bien que leur monde allait disparaître et ils avaient peur. Des rumeurs circulaient on disait qu’il fallait faire vite, que seuls les premiers seraient pris, que le sort des autres promettait d’être sombre. On disait que la Grèce allait être démembrée, vendue par morceaux, et que ceux qui resteraient habiteraient bientôt sur une terre d’esclaves, oubliés de tous. Il fallait s’en aller. Plus personne n’en doutait. La folie s’emparait de la rue. Sur l’avenue Tsaldari, une femme qui traînait derrière elle deux valises et ses trois enfants en bas âge s’arrêta net, se dégrafa jusqu’à montrer sa poitrine et se mit à hurler Prenez-nous ! Prenez-nous puisque vous achetez tout ! » La défaite était consommée et la ville entière voulait fuir Sur le boulevard Thiseos, des hommes essayèrent de forcer un taxi à rejoindre le port. Devant la résistance du chauffeur qui s’enferma dans l’habitacle, ils finirent par saccager le véhicule, puis l’asperger d’essence et danser autour avec une rage qu’eux-mêmes, des jours plus tard, furent incapables d’expliquer. La défaite était consommée et la ville entière voulait fuir. Mais cela ne dura que quelques jours. Très vite, une résignation silencieuse succéda aux comportements les plus fous. Si c’était encore de la panique, elle était d’une autre nature. Les gens sortaient dans la rue avec accablement, comme s’ils s’étaient résolus à n’être que du bétail, comprenant que leur individualité ne pouvait plus s’opposer à rien de ce qui venait. Athènes marchait tête basse. Les familles avançaient, visage fermé, sans un mot. Toutes les artères qui menaient au port, à la gare ou à l’aéroport étaient saturées. Dans un réflexe absurde, beaucoup prenaient leur voiture, puis, une fois bloqués dans des embouteillages démesurés, constatant qu’ils ne pourraient plus ni avancer ni faire demi-tour, abandonnaient leur véhicule en plein milieu de la route pour poursuivre à pied, rajoutant ainsi encore au chaos. La longue file de voitures abandonnées semblait désormais n’être là que pour obliger les foules à des circonvolutions cruelles rentrer le ventre, mettre sa valise sur la tête, se faufiler entre les carrosseries qui brillaient au soleil et réverbéraient une chaleur insupportable. Sur la bretelle périphérique qui menait à l’aéroport, le spectacle était inouï des hommes et des femmes, par milliers, patients, résignés. Les rues grondaient du piétinement des foules impatientes Malgré les annonces qui précisaient régulièrement que plus aucun avion ne prenait de passager, que de toute façon il était impossible d’atteindre les aérogares tant il y avait de gens sur place, la foule continuait à se présenter dans le vain espoir qu’un pilote finisse par contrevenir à tous ces ordres. La ville entière voulait partir mais elle était immobilisée par son propre nombre. Les rues grondaient du piétinement des foules impatientes, de ces milliers d’enfants tenus par la main à qui on disait de cesser de pleurer. Lorsque les nouveaux arrivants découvraient cette marée humaine, étrangement, au lieu de rebrousser chemin, ils y prenaient place avec l’assurance que c’était bien là qu’il fallait être, faisant taire en eux leur bon sens, et même leur instinct de survie, acceptant de s’annihiler dans la masse comme s’il y avait un réconfort à se presser ainsi les uns contre les autres, celui, peut-être, de constater qu’ils n’étaient pas seuls et que leur frayeur et leur infortune étaient partagées. Tout était lent et pénible. La foule était exaspérée par sa propre impuissance. Il fallait supporter cette attente qui, au mieux, n’amènerait qu’au triste contentement d’avoir gagné quelques dizaines de mètres et au pire, vous excitait les nerfs. Lui, comme les autres, s’était levé pour partir mais, à la différence de toutes ces familles apeurées, il avait un badge et un brassard qui lui permettaient de passer les barrages, de doubler les files immobiles. On l’enviait pour cela. Il le sentait dans le regard que les femmes épuisées lui lançaient. Sur le port du Pirée, deux paquebots s’apprêtaient à quitter Athènes. C’étaient des bêtes immenses mais qui semblaient bien petites au vu de ces milliers de candidats qui espéraient monter à bord. L’embarquement avait commencé. Tous avançaient vers la passerelle avec une lenteur inventée par un bourreau méthodique. Il regardait cette humanité défaite et se sentait honteux de la quitter Il fallait montrer ses papiers, renoncer aux objets trop volumineux qu’on avait espéré pouvoir emporter. C’était chaque fois des cris, des protestations, des tentatives vaines de convaincre. Il regardait cette humanité défaite et se sentait honteux de la quitter. Le navire militaire qui était à quai, plus petit que les deux autres, semblait l’attendre. Personne ne s’en approchait. Il était protégé par des soldats qui tenaient à distance les candidats à l’exil. C’est là qu’il allait d’un pas rapide. Deux jours plus tôt, il avait reçu son ordre d’évacuation personnel. Il avait fallu essayer de faire tenir dans sa petite valise tous les objets de son quotidien. Il n’avait dit au revoir à personne. Ses parents étaient morts quelques années plus tôt, et pour la première fois, il en fut heureux car il pensa à la tristesse qui les aurait saisis s’il leur avait été donné de voir ce naufrage. Le bateau finissait de faire le plein. Il monta à bord et s’installa sur le pont pour observer le plus longtemps possible ce pays qu’il quittait. Cela aurait dû durer des heures encore, le temps que l’équipage termine les dernières vérifications, mais soudain, un bruit fracassant déchira ses oreilles. Il sentit un souffle chaud sur son visage et dut s’accrocher à la rambarde pour ne pas tomber à terre. Une explosion venait de souffler, en une fraction de seconde, toutes ces vies, toutes ces valises, ces familles encombrées. Elle avait même percé la coque du paquebot d’à côté. De là où il était, il vit la foule refluer vers les hangars. C’était la panique. Plus rien n’existait de la calme lenteur qui régnait encore l’instant d’avant. Des corps tombaient, d’autres les piétinaient sans même s’en rendre compte. Des mains lâchaient des enfants. Des familles se retrouvaient séparées. Et puis, quelques minutes plus tard, du côté des hangars, à l’endroit où tout le monde accourait pour s’éloigner le plus possible du lieu frappé par la mort, une seconde bombe explosa, tuant ceux qui croyaient s’être sauvés. C’était imparable et monstrueux. Tout saignait. Tout gémissait. Plus personne ne savait vers où fuir. Une ville à la bouche grande ouverte qui sentait la poudre et le sang Lui était tétanisé. Il ne pouvait plus quitter des yeux ce spectacle horrible. Il savait qu’il faudrait des heures pour retrouver les victimes et les compter. Des heures pour évacuer la zone et organiser le secours des blessés. Des heures pour ramasser les corps en miettes. Il était abasourdi, impuissant devant le carnage, avec, sous les yeux, cette foule indistincte qui venait de perdre tout espoir. Il pensa immédiatement au groupuscule Tigimas*. C’était probablement lui qui venait de frapper. Cela faisait des semaines qu’il menaçait de s’en prendre aux civils. Il avait prévenu qu’il ciblerait les gares et les ports pour empêcher les départs. Tout allait devenir laid. La Grèce allait être brûlée, écrasée. Elle allait se dévorer elle-même. Il était là, lui, accablé par ce spectacle d’horreur, inutile, parce que loin, déjà si loin, séparé du drame par les bastingages, par la hauteur du bâtiment et par le fait que le capitaine avait ordonné de précipiter le départ et de larguer les amarres au plus vite. La lenteur avec laquelle le navire quitta le port contrastait avec la fureur qui régnait sur les quais. Il resta sur le pont, ne pouvant quitter des yeux, face à lui, la ville qui fumait, souffrait, criait. Les familles, là-bas, comprenaient que les bateaux ne partiraient pas aujourd’hui, qu’elles étaient prises au piège, frappées de tous côtés. Il les regarda pendant de longues minutes. Il ne pouvait plus rien, n’était déjà plus l’un d’eux. Il savait qu’il ne reviendrait plus. C’était la dernière image d’Athènes qu’il emportait avec lui une ville à la bouche grande ouverte qui sentait la poudre et le sang. Tout était fini. Il ne serait plus jamais grec. * η γη μα ti gi mas » Notre terre », en grec. Chien 51, Laurent Gaudé, Actes Sud, à paraître le 17 août 2022, 304 pages, 22 euros. Bio express Romancier, nouvelliste et dramaturge né en 1972, Laurent Gaudé publie son œuvre, traduite dans le monde entier, chez Actes Sud. Il est notamment l’auteur de La Mort du roi Tsongor 2002, prix Goncourt des lycéens, prix des Libraires, Le Soleil des Scorta 2004, prix Goncourt, prix Jean-Giono, Eldorado 2006, Écoutez nos défaites 2016 et Salina. Les trois exils 2018

Unbeau livre sur les couteaux de nos terroirs. Ce magnifique ouvrage vous plonge dans l'histoire des couteaux propres à chaque région : Origine du couteau, fabrication, pièces de collection, usages et tradition, etc.
La France, riche de ses terroirs, possède tout naturellement une grande variété de couteaux régionaux fortement inspirés par leur région droit ou pliant, d’hier et d’aujourd’hui, à une ou plusieurs pièces, lames de formes bourbonnaise, yatagan, stylet ou pied de mouton, manches en bois, en corne, en ivoire, en bakélite ou en matière plastique…Depuis des temps immémoriaux, les couteliers affirment leurs techniques, développent leur habileté et transmettent leur savoir-faire pour que la coutellerie reste un artisanat bien vivant. Pari gagné, puisque les couteaux d’aujourd’hui, comme ceux d’hier, savent se réinventer sans cesse, prendre de nouvelles formes, utiliser de nouveaux matériaux et répondre à de nouvelles applications. Quel univers passionnant à découvrir !Acquérir un couteau Le Thiers, c’est s’assurer d’acheter un couteau qui est obligatoirement fabriqué par un artisan dont la société est située dans le Bassin Coutelier de Thiers. Ce dernierDécouvrez les couteaux de nos régions françaises sur notre carte de France intéractive des couteaux régionaux… Comme le fromage ou le vin, le couteau fait partie de notre patrimoine, deLe Garonnais est un couteau rare. Souvent confondu avec son cousin le pradel, il existe pourtant une différence fondamentale entre les deux la forme du manche. Si celui duFace à la rudesse des éléments, on a toujours besoin d’un couteau dans sa poche. Cette maxime est particulièrement vraie dans les Alpes, région montagneuse, grandiose et sévère, là oùSon origine est anglaise, mais c’est en France qu’il fut nommé London ! prononcez London à la française, ce couteau des mers rendait de fiers services aux marins bretons pour Lecouteau de poche, c'est l'âme des régions ! La 25e édition du salon international du couteau d’art et de tradition Coutellia se déroule, ce week-end, à Thiers (Puy-de-Dôme). 170
Chaque terroir, chaque région de France possède son couteau, un couteau qui était dans la poche de nos aïeux, un couteau que l'on tenait auprès de... Lire la suite 29,90 € Neuf Expédié sous 3 à 6 jours Livré chez vous entre le 29 août et le 30 août Chaque terroir, chaque région de France possède son couteau, un couteau qui était dans la poche de nos aïeux, un couteau que l'on tenait auprès de soi, un compagnon intime de la vie rurale. C'est cette France que l'auteur nous invite à découvrir en nous faisant pénétrer dans les petit ateliers de nos villages. Comme les spécialités culinaires et les parlers locaux, le couteau régional est un marqueur culturel de l'attachement à un territoire, et le symbole d'un art de vivre à la Française, de notre exception culturelle. Date de parution 01/10/2020 Editeur ISBN 978-2-8160-1601-7 EAN 9782816016017 Format Grand Format Présentation Relié Nb. de pages 223 pages Poids Kg Dimensions 22,2 cm × 28,2 cm × 2,4 cm Biographie de Christian Lemasson Ethnographe et spécialiste de l'histoire de la coutellerie française, Christian Lemasson collabore régulièrement à une revue de coutellerie d'art. Il a également participé à des documentaire sur le couteau Laguiole, qui ont été diffusés par France 3, France 5 et Arte. Il nous livre ici le fruit de vingt années de pérégrinations et de recherches historiques à travers le pays.
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Ethnographeet spécialiste de l'histoire de la coutellerie française, Christian Lemasson collabore régulièrement à une revue de coutellerie d'art. Il a également participé à des documentaires sur le couteau laguiole, qui ont été

Les couteaux régionaux, ou comment passer à la loupe la qualité d’un savoir-faire coutellerie à une part prenante du patrimoine Français. Connue et reconnue pour son savoir-faire traditionnel dans le monde entier. Aujourd’hui, nous vous proposons d’entrer un peu plus dans l’authenticité du “Made in France” en découvrant un panel d’identités avec un petit voyage dans les diverses régions de notre région de France possède son histoire, son prestige et son couteau… Il est devenu un vecteur de valeurs profondes, chères à chacunes d’entre elles. Des confréries se sont même fondées pour défendre cette richesse et les faire perdurer selon la tradition. A présent, il existe une multitude de couteaux régionaux et vous allez voir que leurs noms n’ont jamais été donné au hasard… Avis aux cultelluphilistes et amateurs de couteaux utiles et à la fois objets d’ ont tous le point commun d’être fabriqués artisanalement, mais certains sont déclinés avec des outils supplémentaires ou des matériaux prestigieux. C’est là, la force de ce savoir-faire travers de cette collection de couteaux régionaux, vous allez pouvoir vous projeter dans des faits réels qui vont sûrement vous parler et remonter à des générations derrière la vôtre. C’est aussi cela que la coutellerie Française veut faire Cavalier Pionnier novateurCe couteau pliant présente une élégance rare. Ce couteau dit de “cavalier” est aussi appelé Le Pionnier Novateur. Il trouve sa place dans de nombreux centres équestres pour répondre à un besoin d’entretien de monture. Le pionnier novateur est élaboré dans les ateliers de la coutellerie artisanale Douris Chastel dans le coeur de la ville de Thiers. Ce couteau de poche a été bercé par les traditions ancestrales des cavaliers dont les outils présents sur ces côtes font toujours son succès. Sa lame majeure est forgée dans acier 12C27 de 90 mm. Il est l’un des rares couteaux régionaux à posséder un cran forcé pour sa fermeture et parfaitement le sécuriser. La seconde lame située sur le ventre du manche est un cure-pied de 8,5 cm. Il permet de nettoyer les sabots des chevaux pour leur permettre une meilleure adhérence au sol lors des guillochage est entièrement réalisé à la main et ses mitres en inox viennent stabiliser l’ensemble de ce magnifique couteau d’ Navette Le couteau Suisse – FrançaisLe Navette est un superbe couteau de poche fabriqué par la maison Douris Chastel implantée à Thiers. Cette coutellerie artisanale a été fondée par Pierre Douris et son épouse Lucienne Chastel en 1942. Ce couteau porte le nom de navette en mémoire de la forme des métiers à tisser. Ce nom singulier épouse ses formes arrondies aux extrémités. Il a été produit et grandement utilisé pendant le XXème siècle. Il possède de nombreux atouts, notamment celui de son système de ressort et de la présence de sa quantité d’accessoires. Selon les fabrications, ce nombre de pièces est très variable. Celui que nous vous présentons dans notre coutellerie en ligne contient 6 outils de coupe et c’est tout le charme de cette maison qui entre en jeu. Ils ont réussi à populariser le couteau Suisse à la Française grâce à l’application d’un savoir-faire et d’une certaine minutie. Produit avec des aciers inox trempé en 12C27, ce couteau universel ne vous fera jamais défaut. Pour sublimer ce couteau, le manche est réalisé en bois exotique de Palissandre pour une prise en main généreuse et Thiers L’incontournableL’histoire du couteau pliant Le Thiers a réellement démarré dans les années 1990. C’est durant cette période que s’est fondée la confrérie du “Coutê de Tié“. Ce couteau aux finitions détaillées est né de la réflexion commune des artisans Thiernois. Leur but ? Promouvoir un couteau qui serait 100% pensé, découpé et fabriqué à Thiers. D’où son nom éponyme. Ensemble, ils établissent un règlement nommé La Jurande auquel le couteau devra répondre précisément. Dès 1994, le modèle de base est destiné à être décliné par les couteliers fabricants qui voudraient l’inscrire dans leur gamme de couteaux personnels. Selon les coutelleries, le manche possède des bois et matériaux toujours plus resplendissants. Des inspecteurs sont habilités à surveiller le respect de la charte de qualité à chaque étape de la réalisation de ce respecter ces normes de conception, nous avons choisi de passer par la coutellerie artisanale Le Fidèle afin de vous proposer un couteau de Thiers avec Tire-bouchon et manche en loupe de Hêtre. Mais aussi deux autres modèles dont un couteau de poche avec une plume de bécasse incrustée dans le manche. Des produits d’exception !L’Yssingeaux Au détail près !Originaire de Thiers, ce couteau fermant Yssingeaux est fabriqué en France depuis le 18ème siècle. Il porte le nom de la ville de 7500 habitants en Haute-Loire. Mais il est souvent appelé le Bourbonnais en raison de la forme de sa lame. La lame en inox 12C27 de type Bourbonnaise se défini par sa pointe centrée parfaitement au centre de la découpe. Puis traditionnellement, le couteau de poche l’Yssingeaux possède une extrémité du manche qui offre une finition dite en bec de spécificité de ce couteau fermant régional Il est l’un des rares à avoir une lame à cran forcé. Les manches ont coutume de mesurer précisément 10,5 cm et la présence d’une mitre importante permet de stabiliser l’ensemble. Dans notre boutique en ligne, ce couteau de poche est monté avec côtes en corne de Bélier nuancé d’une beauté exceptionnelle. L’Yssingeaux compte des cousins parmi la famille des couteaux régionaux Citons Le Saint-Martin et L’Issoire qui ont en commun la forme de la lame, du manche, et des mitres basses en Laguiole La force historiqueLe couteau Laguiole à vu le jour dans les mains de Jean-Pierre Calmels en 1829 dans la ville de Laguiole en Aveyron. Petit à petit, il emploie et forme d’autres hommes pour forger ces outils de coupe qui finissent par inonder l’ensemble du territoire. La qualité de la coutellerie Laguiole est reconnue partout en France dès les années 1880. Pour répondre aux nombreux plébiscites, M. Calmels décide de délocaliser sa production dans la capitale de la coutellerie Française Thiers. Dès 1930, c’est une production de masse qui s’envole pour conquérir tous les la production s’est modernisée et à pu redevenir artisanale. Le guillochage ornement du dos du couteau est entièrement réalisé à la main. On y retrouve toujours la célèbre Abeille sur le ressort, ainsi que la croix du berger sur le propos, l’abeille représentée sur le dos de ces couteaux Laguiole viendrait d’une légende. Il paraîtrait que Napoléon 1er aurait autorisé les habitants de la ville de Laguiole à porter ce blason en signe de reconnaissance de leur bravoure. Fort de cette distinction, le créateur de ce célèbre couteau aurait repris cette symbolique pour appuyer l’élaboration de cet outil devenu couteaux régionaux Laguiole, il en existe des dizaines de versions différentes… Avec tire-bouchon, en Corne blanche, en Ebène pur, en Bouleau clair… Mais le plus remarquable reste le “Bottine”. Le manche de ce couteau de poche évoque une jambe de femme. Sa forme arrière est biseautée pour représenter la bottine. Ce couteau connoté faisait chavirer le coeur de nombreux ouvriers. BRETAGNELe London Le pied marinCe couteau de poche est celui des marins par excellence ! Son premier pied, il l’a posé sur les terres bretonnes. En revanche, il trouve sa véritable origine en Angleterre. Il est probable que ce couteau pliant ait été introduit en France par les marins Anglais. Mais c’est bien les Français eux-mêmes qui l’ont baptisé couteaux ancré dans le patrimoine régional ne possède pas de mitres pour conserver les superbes courbes et l’élégance du utilité reste toujours la même depuis des décennies Ce couteau fermant servait à couper une brasse de bout, à aider au travaux de sculpture de bois, ou encore à préparer le repas….Sa lame tranchante en acier inox est droite et assez large. Elle provient probablement du fait que les marins devaient souvent casser la lame de leurs couteaux avant de monter sur un bateau pour les rendre moins dangereux. Cette lame est d’ailleurs appelée “pied de mouton”. Cela signifie qu’elle s’élargit de plus en plus vers la main, le manche en Bouleau naturel dégage de superbes reflets. Sa prise en main pleine est similaire à celle ressentie par les marins qui ont traversés les Poisson Valeur d’utilitéCe couteau pliant est aussi couramment appelé “Queue de poisson” dû à sa forme singulière mais aussi à son utilité qui fait nul doute. Sa taille est intermédiaire Ni trop court et ni trop effet, au fil du temps… Sa longueur a été réduite pour offrir un tranchant tout en ce couteau est particulièrement apprécié par les femmes. Son manche fin et robuste permet une prise plein manche et tout en légèreté. Il leur est parfaitement premier couteau de poche “Poisson” à vu le jour en 1843 par la famille coutelière la lame était forgée en acier carbone. Aujourd’hui pour limiter les impacts de la rouille, ils ont associé l’acier à du chrome pour garantir un usage confortable à vie. Notre coutellerie artisanale vous le présente avec un manche en Ébène noir riveté en 3 points. L’avant est orné d’une mitre saillante pour le stabiliser et renforcer ce couteau de poche afin qu’il deviennent totalement Nontron La tradition avant toutLe couteau fermant Le Nontron est certainement le plus vieux couteau de poche produit en France avec la première installation d’un maître coutelier en 1653 à Nontron. Pas de doutes donc, ce couteau porte le nom de la ville où il est né et fabriqué, au coeur du charme est indéniable grâce à petit manche tout en courbes et pyrogravures. Ces atouts visuels font qu’il est identifiable au premier coup d’oeil par tous les connaisseurs. Le Buis blond tourné pour le fabriquer possède un grain fin. L’arrière de son manche est sculpté en boule, en sabot, en violon ou encore en queue de carpe… Puis une tête pivotante vient garantir une parfaite tenue à la réalisation de ce couteau purement régional passe par une tradition artisanale à l’opposée des créations industrielles d’aujourd’hui. La lame est d’une très grande qualité. Elle est également entièrement forgée à la main et est enrichie en Chrome cela lui évite d’être exposé à la corrosion. A offrir ou à s’offrir, ce magnifique couteau de poche au delà de son utilité saura correspondre tel un joyau !ÎLE DE FRANCELe Tonneau – L’identité vigneronneLe Tonneau est un petit couteau pliant très élégant qui date des années 1900. Il est produit par les établissements Thiers Issard. Très utilisé par les métiers liés à l’agriculture comme les maraîchers, les vignerons mais aussi les arboriculteurs… Ce couteau est typique des régions du coeur de la France comme l’île de France, le Centre, l’Ain et la Saône-et-Loire. Son nom est dû à l’image de son usage. Mais aussi aux stries présentes sur les doubles mitres présentes sur l’avant et l’arrière du manche. Son dos ventru vient expliquer aussi ce terme de lame est de forme “stylet” ou “Pied de mouton”. Elle possède un encoche pour pouvoir l’ouvrir facilement à l’aide de votre ongle “Nail-kick”. Ce couteau de poche existe couramment en 2 ou 3 pièces. Agréable en main et en poche, nous vous le proposons dans notre boutique en ligne équipé de deux lames à trancher et d’un tire-bouchon et son manche est en corne de Brume qui saura vous ravir par sa qualité et ses teintes Roquefort Raffiné pour affinerAvant d’être un couteau de poche à la renommée régionale importante ; Le Roquefort était un couteau utilisé quotidiennement par les fromagers de ce petit village des mitre arrière possède une forme particulière en entonnoir. Elle offre une très bonne prise en main plein manche et permet de tourner facilement les fromages. Il était aussi utilisé pour enlever la croûte des meules pendant les périodes d’ plébiscité par les touristes venant visiter et effectuer des pèlerinages, ce couteau pliant est élaboré avec différents types de que nous possédons dans notre coutellerie artisanale est fait de bois de pistachier. Le bois de Pistachier à l’avantage d’être dur, résistant et lourd. Ce qui permet d’avoir une poigne suffisante pour trancher de nombreux aliments et effectuer vos petits travaux Saint-Martin Une histoire de plumeLe Saint-Martin est un des rares couteaux régionaux dont l’origine ne vient pas des terres profondes. Par son sublime aspect le Saint-Martin rappelle étrangement la forme de deux autres couteaux régionaux L’Issoire et de L’Yssingeaux. Et pour cause, ils disposent tous trois d’une lame Bourbonnaise de 9 cm forgée en acier 12c27 et d’un manche orné d’une mitre basse en forme de bec de corbin. Au 19ème siècle, ce couteau pliant était particulièrement utilisé par les ecclésiastiques. Il leur servait à tailler les plumes d’oies qu’ils utilisaient pour écrire. De plus, il a une tenue en main très agréable. Ce couteau pliant possède une mouche forgée qui fini le manche en Ebène noir qui est coupé à coeur pour en extraire la plus pure un couteau régional comme le Saint-Martin c’est aussi faire le choix de véhiculer une histoire forte et poétique des relations BASQUELe Yatagan Des racines guerrièresCe couteau de poche Basque puise son existence dans des racines Turques. Aussi surprenant que cela puisse paraître ; Durant les campagnes Napoléoniennes, c’est l’armée Turque qui a diffusé la forme de cette lame de couteau fortement reprise depuis. Et pour cause “Yatagan” est un mot d’origine Turque Yataghan, qui désigne un sabre à lame oblique et incurvée. Par la suite, ce couteau fermant a été fabriqué puis utilisé par les bergers et les paysans cultivant du pour résister durant tous les usages, ce couteau régional possède une lame en acier martensitique de nuance 12c27. Elle contient du chrome pour limiter sa corrosion. Il est décliné dans de nombreux coloris et porte la croix Basque, le “Lauburu” sur son manche. Signe distinctif des terres où il a été en Bois clair et en Ébène noir dans notre collection de couteaux L’excellence des montagnesCe couteau de poche est le compagnon hors pair des randonneurs et montagnards. Allié d’aventures mais aussi des repas autour de bonnes salaisons affinées et de généreuses tranches de fromage. Son origine reste assez floue… Même si les premiers modèles déposés de ce couteau à lame dodue ont été déposés au début des années 1900…Sa lame en acier trempée à la forme “Yatagan”. Ce type d’arête qui offre un contre-tranchant qui caractérise ce couteau Alpin. Son manche est bien souvent constitué de Corne et monté avec des petites plaquettes noires pour renforcer sa prise en main. D’une rare légèreté, il saura vous conquérir pour un usage aisé au nos jours, L’Alpin est un couteau de poche répandu dans plusieurs régions Françaises et non pas seulement montagneuses. Il est plébiscité pour ses atouts de coupe particulièrement Le marchand de vinSon nom vient de la ville qui l’a vue naître au Moyen-Âge dans le 19ème siècle, le couteau de poche l’Issoire est un modèle très répandu. Le plus commun est celui équipé de deux outils. C’est-à-dire qu’au-delà de sa lame forgée à la Bourbonnaise, il possède un trocart escamotable sous manche étroit possède deux mitres d’acier massif qui viennent consolider les découpes réalisées en l’époque, ce poinçon à pointe carrée, dit “marchand de vin” permettait de trouer un peu la futaille pour faire goûter la qualité du vin aux présente des similarités fortes avec certains de ses voisins régionaux, comme Le Saint-Martin et de L’Yssingeaux. Leurs lames de type Bourbonnais, leur manche, et leurs mitres basses en bec-de-corbin leur offre des similitudes très fortes. Souvent ces couteaux régionaux sont comptés comme cousins par les la catégorie des couteaux régionaux, nous incluons évidemment les couteaux de chasse qui font partie intégrante de notre couteaux de chasse étaient les premiers outils de coupe nés sur notre territoire. Ils servaient à nourrir les hommes, mais aussi à construire des abris de fortune pour Hallali Le bruit de la captureCe nom n’est pas dû au hasard. L’hallali est le cri poussé par les veneurs lorsque l’animal va être pris. Ce couteau de chasse est l’exemple parfait de la qualité du travail des artisans Chastel cultive ce savoir-faire dans sa coutellerie ancrée dans le centre de Thiers depuis des couteau de poche Hallali est le couteau le plus complet que peut espérer un bon chasseur. Avec ces 8 pièces essentielles dont on peut citer un poinçon, une lame à éviscérer, une scie…L’acier inox 12 C27 utilisé pour la conception des toutes ses lames en font un objet robuste à toutes épreuves. Les mitres appliquées à l’avant sont massives. Les pièces multifonctionnelles sont rivetées au manche et stabilisées avec de la résine pour le rendre incassable. En hommage au nombreuses chasse à courre Bien souvent, le manche de ce couteau de chasse est réalisé avec des bois d’animaux sauvages Renne, Cerf, Elan…Le Laguiole de Chasse Un mythe détournéCe superbe couteau Chasse est un modèle déposé et dessiné par Charles Couttier. Un Maître artisan coutelier de Thiers. Il le produit pendant de nombreuses années avant d’en céder la fabrication exclusive à la maison A. Chevalerias. Le couteau Laguiole né dans les terres Aveyronnaises au 18ème siècle s’est exporté dans le bassin Thiernois pour répondre à la forte demande et produire des quantité industrielle de ce couteau à l’abeille. D’abord couteau de table et de travail, il a ensuite évolué en fonction des besoins des le couteau de chasse Laguiole est un couteau pliant à liner et dispose d’une imposante lame de 4 mm épaisseur afin de trancher radicalement le petit gibier et les carcasses d’animaux plus volumineux. Il saura vous ravir par son format compact pour autant redoutablement superbes couteaux de poche représentent nos régions avec élégance. Ils laissent transparaître l’authenticité de notre d’eux est disponible dans notre boutique en ligne avec leur petite histoire associée. N’hésitez pas à les parcourir pour trouver votre coup de coeur ou en apprendre encore plus sur leur origine…Sachez que cette collection de couteaux régionaux a un véritable succès comme cadeau. Au-delà des superstitions qui sont infondées, ces couteaux pliants ne laissent personne indifférents.
Couteauxde France Histoire des couteaux régionaux Christian Lemasson (Auteur) fnac+ 5 ( 10 ) Chaque terroir, chaque région de France possède son couteau, un couteau qui était dans la poche de nos aïeux, un
Accueil / Livres / Couteaux de France. Histoire des couteaux régionaux quantité de Couteaux de France. Histoire des couteaux régionaux LivresFrançais Description Il y a un couteau de poche pour chaque terroir, chaque région de France un couteau qui était dans la poche de nos aïeux, un couteau que l’on tenait auprès de soi, compagnon intime de la vie rurale. C’est cette France des couteaux locaux que l’auteur nous invite à découvrir en nous faisant pénétrer dans les petits ateliers des villages de France. Comme les spécialités culinaires et les parlers locaux, le couteau régional est un marqueur culturel de l’attachement à un territoire et le symbole d’un art de vivre à la Française, de notre exception culturelle. Christian LEMASSON, ethnographe spécialiste de l’histoire de la coutellerie française, nous livre le fruit de vingt années de pérégrinations dans la France profonde. de Christian Lemasson aux Éditions Artémis 22,9 x 28cm 224 pages 1300g Newsletter Recevez régulièrementnos dernières informations Vous regardez Couteaux de France. Histoire des couteaux régionaux 29,90€ 29,90€ Commander
ChromaDorimu Pur Damas – Fabricant: CHROMA – Acier: Dual core VG10 1,0 % carbone 60° HRC + VG2 56° HRC avec du cobalt pour faciliter le réaffûtage, – Manche: érable norvégien – Aiguisage: ambidextre, pierre uniquement Un extra-terrestre dans le monde de la coutellerie. Chez Chroma Dorimu Pur Damas les deux aciers VG10 et VG2 sont mélangés et non
Il est parfois appelé de son nom complet L'Alsacien; mais le plus souvent par son abréviation "Alsa". Désigné également "Massu", sans doute en raison de ses formes arrondies et dissymétriques. D'un catalogue à un autre, il figure aussi comme "Allemand" ;comme "Boer" et même "Nixdorf" sur un catalogue de la Manufacture Cognet datant de 1910. Si le nom ALSA rappelle efficacement la région française dans laquelle il était couramment vendu avec la Lorraine et les Vosges, ce n'est pas forcément une indication d'origine de fabrication. Trois théories prévalent en effet sur le sujet 1/une origine américaine s'inspirant des "Serpentine Jack Knives", mais qui ont une forme en effet nettement plus serpentiforme que notre Alsa classique. Existence d'une variante à 2 lames dont une serpette, appelée "Farmer Jack". 2/ une origine anglaise présent sur des catalogues de 1890 de chez Joseph Rodgers & Son; avec des lames de type "Wharncliffe Pen Knife". Une version réduite à un canif était fabriquée à Shieffield . Hurst fut un fabricant actif de ce couteau. 3/ une origine d'Europe centrale Bohême avec une fabrication finalement localisée en Allemagne. Ce couteau apparait en effet sur des catalogues de la fin du 19ème; avec des variantes nombreuses en canif sous le nom "Taschenmesser", avec Tire-Bouchon "korkziehermesser", ou jardinier à lame serpette "gartenmesser". Il est bien difficile d'opter pour une théorie plutôt que l'autre, tant les dates de parution des catalogues correspondants sont proches dans une courte fourchette de 20 ans. Ce qui est certain, c'est que Thiers ne s'est lancé dans cette fabrication que plus tardivement vers 1900 à 1920 selon les fabricants Rousselon Frères, Pradel Chomette, Michault, Antoine Fonteix, Roddier Chapelat,Thérias , Journaix . . . ou plus récemment Arthaud Chosson ou Pirony . la silhouette est caractéristique, avec une ondulation de forme plus ou moins marquée, mais 2 extrémités de manche assez arrondies en "massue", de taille nettement différente, la plus grosse étant située en tête. Le manche, classiquement de bois ou de corne, est soit en plein-manche , soit équipé d'une mitre en tête ou de 2. D'autres modèles auront recours à l'os, au métal plein ou de tôle emboutie, au bois de cervidé, parfois même à l'ivoire. Sa lame, dans la plupart des cas, est à "pointe rabattue ". Ce couteau n'était pas à proprement parler un couteau rural. Sa vente était largement destinée aux poches citadines; ce qui explique aussi qu'on le trouve essentiellement dans des tailles plutôt réduites, de l'ordre de à 9 cm. Il est toujours fabriqué. On voit néanmoins qu'il s'agit d'une forme plus fine, plus "canif" que "couteau" . Bien difficile par ailleurs de définir les critères qui séparent les "Serpentine" des "Wharncliffe" sur les centaines d'exemples figurant sur le "Antique knives", recensant les couteaux de 1800 à 1970. Même motifs traditionnels de décor pour ces 2 ALSA allemands. Le premier, ancien, a un manche en métal massif, et ne comporte pas de nom de fabricant; simplement "Made in Germany" au talon de lame. Le second est une fabrication récente de la firme OKAPI, allemande d'origine et actuellement installée en Afrique du Sud. Le manche est "cacole", c'est à dire en tole emboutie galgée. Fabrication allemande de qualité médiocre le manche est en plastique, imitant le bois de cerf Dans ce catalogue Cognet de 1910, à côté de la forme "massue" apparait aussi l'appellation germanisante "Nixdorf" sur le catalogue de 1930, un très beau modèle 3 pièces "à la Coursolle" le motif historié sur la platine en laiton représente un mineur au travail. L'appelation elle-même est "Yatagan Massue", insistant donc plûtot sur la forme de lame que sur l'origine Cet ancien JOURNAIX Julien est assez représentatif du modèle "classique" à manche bois. Datant des années 40, il est cependant doté d'un tire-bouchon. Manche bois également pour ce RODDIER à grosse mitre de tête Ancien modèle 3 pièces en os, fabriqué par PRADEL CHOMETTE, marquant "Au Fusil" PRADEL CHOMETTE encore, pour cet Alsa 2 pièces à manche de corne . Cette fois, le marquage est "A l' Ancre Marine" Beau modèle THERIAS "Au Parapluie A l'Epreuve", avec tire-bouchon, et insert dans le manche en ébène Amusante variante auvergnate, avec manche bi-métal Laiton & Cuivre Charles COUTTIER s'est essayé à l'exercice Couteauxde France: Histoire des couteaux régionaux. Christian Lemasson. 4,8 sur 5 étoiles 36. Relié. 17 offres à partir de 16,00 € Couteaux de collection. Dominique Pascal. 4,6 sur 5 étoiles 83. Broché. 18 offres à partir de 16,28 € La forge. Havard Bergland. 4,7 sur 5 étoiles 102. Relié. 17 offres à partir de 40,50 € Techniques et savoir-faire du forgeron: 55 projets à
Nous savons tous que la France est aussi connue pour le savoir-faire de ses descouteaux Le Thiers est une marque fabricant des couteaux dans le Puy-de-Dôme en Auvergne Rhône-Alpes. Thiers est la capitale de la coutellerie française, elle prend son expérience dans un passé coutelier de 6 cité et les communes de montagne aux alentours ont toujours fabriqué des couteaux comme "Le Normand", "l'Aurillac", "Le Laguiole", "Le Langres", "L'Issoire" et bien d' "La Confrérie du Couteau de Thiers" est fondée par un groupe de copains qui voulaient créer leur propre couteau, cette association voit le jour en couteau LE THIERS est dévoilé le 7 novembre 1994 lors d'une assemblée à la chambre des commerces. La règle est la suivante, tout coutelier issu du bassin de Thiers, en adhérant à la confrérie, pourra interpréter sa version du couteau couteau Le Thiers a une forme à la fois moderne et intemporelle mais tout de suite reconnaissable. Une double vague, pour la forme, dont les obliques aux deux extrémités du manche sont inversées. Le dessin de ce couteau est déposé à L'INPI Institut National de la Propriété Industrielle.Il existe donc différents compagnons couteliers, les plus connus sont - Pierre Édouard Morin pour les couteaux signés Arbalète Genès David- La famille Chazeau pour les couteaux signés Solange et Serge Combronde pour les couteaux signés Douris Chastel- Claudine Dozorme pour les couteaux signés Claude Dozorme- Gilles Steinberg pour les couteaux signés Fontenille Pataud- La Famille Goyon pour les couteaux signés Goyon-ChazeauCouteaux de poche le Thiers par Fontenille PataudCouteaux Le Thiers par Claude DOZORMEPour fabriquer ces couteaux d'exception il faut bien évidemment les matières premières, les lames, les platines, les viroles, les manches, etc.... Il faut également les mèches de tire-bouchon qui, pour certain, est un élément indissociable du tire-bouchons sont fabriqués dans la capitale européenne du tire-bouchon à Saint Remy sur y a également la partie découpage / estampage, qui permettront de transformer la matière première pour constituer les différentes pièces brutes du couteau grâce à différentes techniques la découpe traditionnelle, laser et l' passons à l'émouture et le polissage de la est une opération très importante permettant de rectifier les deux faces de la lame à l'aide de machine Le Thiers par Douris CHASTELÉmoudre est le fait de donner à l'acier de la lame la forme qui la rendra tranchante. Le polissage qui permet d'affiner l'émouture et de donner à la lame son aspect et sa finition. L'étape suivante sera le traitement thermique qui permet aux lames en acier d'acquérir la dureté et la souplesse Le Thiers par Fontenille PataudL'étape suivante sera le traitement thermique qui permet aux lames en acier d'acquérir la dureté et la souplesse lame subira ensuite deux séries de variations différentes la trempe qui consiste à chauffer au cœur et à refroidir rapidement pour durcir le métal jusqu'à le rendre cassant. Cela a pour but d'accentuer les propriétés mécaniques d'un acier et d'en augmenter sa dureté. Le revenu va consister au chauffage moins important puis d’un refroidissement plus lent pour donner de la souplesse à la Le Thiers par Goyon ChazeauIl y a ensuite la fourniture des manches, le montage, le marquage, la gravure et l'affûtage. Toutes ces étapes sont faites afin de réaliser de magnifiques coffrets et couteaux individuel pour satisfaire un très grand nombre de passionnés.
Fichedétaillée de "Couteaux de France ; histoire des couteaux régionaux" Fiche technique. Auteur : Christian Lemasson; Editeur : Artemis; Date de parution : octobre 2020; EAN13 : 9782816016017; Langue : français; Catégorie : Mobilier & Antiquités; Format : 280x220x22; Poids : 1278g; Nombre de page(s) : 192; Livre en français . Résumé. Un beau livre sur les couteaux Faits divers Dans la nuit du 10 au 11 août, une rixe a éclaté entre deux femmes transgenres à Pigalle, dans Paris. L’une d’entre elles a été tuée à coups de couteau, tandis que l’autre a pris la fuite. Publié le 12 août 2022 à 16h46 Image d'illustration. Photo © BASTIEN LOUVET / BRST/SIPA Une rixe mortelle en plein cœur de Pigalle. Celle-ci a éclaté dans ce quartier parisien entre deux femmes transgenres dans la nuit du mercredi 10 au jeudi 11 août, rapporte Le Parisien. L’une d’entre elles aurait tué l’autre à coups de couteau. Les faits ont eu lieu aux alentours de 2 heures 10, à l’angle du boulevard de Clichy et de la rue Germain Pilon. Une altercation a viré au drame entre ces deux personnes transgenres, l’une portant des coups de couteau à l’autre avant de prendre la fuite. Malgré les secours qui ont prodigué un massage cardiaque à la victime inconsciente et l’ont transporté à l’hôpital en urgence absolue, la victime est décédée vers 5 heures du LIRE Miss France 2023 une femme transgenre tente sa chance pour la première fois La suspecte en fuite Quant à l’auteure suspecte des coups de couteau, elle est toujours en fuite. Après s’être débarrassé de l’arme du crime, qui a été retrouvé ensanglantée par les policiers à proximité du lieu du drame, la suspecte aurait été vue en train de monter dans un taxi à proximité du Moulin Rouge. Elle n’a pour l’heure toujours pas été retrouvée. Le mobile de l’agression mortelle reste inconnu, et la police judiciaire a été chargée de l’enquête. À Paris, les personnes transgenres sont régulièrement agressées au Bois de Boulogne où elles se prostituent. L’affaire récente la plus emblématique est celle de Vanessa Campos. Deux Égyptiens de 24 et 29 ans avaient été condamnés en janvier dernier à des peines de quinze et vingt ans de réclusion criminelle pour ce crime commis dans la nuit du 16 au 17 août 2018 sur cette travailleuse du sexe transgenre sans-papiers. Quatre autres hommes ont écopé de peine de trois ans de prison, dont deux avec sursis à six ans d’emprisonnement pour leur participation à l’expédition mortelle, explique le quotidien. LeGalantCoutellerie Française. Des matériaux choisis, une tradition induscutable, un savoir-faire transmis par l’excellence dans la capitale de la coutellerie en France : Thiers. Le Galant c’est l’artisanat des passionnés. Découvrez nos couteaux. Chaque terroir, chaque région de France possède son couteau, un couteau qui était dans la poche de nos aïeux, un couteau que l'on tenait auprès de... Lire la suite 29,90 € Expédié sous 3 à 6 jours Livré chez vous entre le 29 août et le 30 août Chaque terroir, chaque région de France possède son couteau, un couteau qui était dans la poche de nos aïeux, un couteau que l'on tenait auprès de soi, un compagnon intime de la vie rurale. C'est cette France que l'auteur nous invite à découvrir en nous faisant pénétrer dans les petit ateliers de nos villages. Comme les spécialités culinaires et les parlers locaux, le couteau régional est un marqueur culturel de l'attachement à un territoire, et le symbole d'un art de vivre à la Française, de notre exception culturelle. Date de parution 01/10/2020 Editeur ISBN 978-2-8160-1601-7 EAN 9782816016017 Format Grand Format Présentation Relié Nb. de pages 223 pages Poids Kg Dimensions 22,2 cm × 28,2 cm × 2,4 cm Biographie de Christian Lemasson Ethnographe et spécialiste de l'histoire de la coutellerie française, Christian Lemasson collabore régulièrement à une revue de coutellerie d'art. Il a également participé à des documentaire sur le couteau Laguiole, qui ont été diffusés par France 3, France 5 et Arte. Il nous livre ici le fruit de vingt années de pérégrinations et de recherches historiques à travers le pays.
Lecouteau Nontron, incontournable couteau régional français, tire son nom d’un petit village de Dordogne où la tradition coutelière perdure depuis la nuit des temps. Un village dont l’histoire est très liée à la coutellerie Déjà à l’époque des romains, le peuple nontronnais était réputé pour ses forges. En 1788, Nontron comptait déjà 35 coutelleries pour 2800 habitants !

  Un beau livre sur les couteaux de nos terroirs. Ce magnifique ouvrage vous plonge dans l'histoire des couteaux propres à chaque région Origine du couteau, fabrication, pièces de collection, usages et tradition, etc. Richement illustré des images d'archive et des photographies, des techniques de fabrication aux plus beaux spécimens de collection. Détails Référence 9782816016017 En stock 1 Article Un beau livre sur les couteaux de nos terroirs. Ce magnifique ouvrage vous plonge dans l'histoire des couteaux propres à chaque région Origine du couteau, fabrication, pièces de collection, usages et tradition, etc. Richement illustré des images d'archive et des photographies, des techniques de fabrication aux plus beaux spécimens de collection.

Couteauxet Couverts Artisanaux 100% made in france Personnalisation par gravure offerte L’expertise et le savoir faire de nos artisans alliés à la qualité des matériaux nous permettent de créer des couteaux d’exception entièrement personnalisables grâce à la gravure sur mesure. La plus vieille manufacture coutelière française n’est ni à Laguiole ni à Thiers, Non le plus vieux couteau de France est réalisé depuis plus de 300 ans est façonné à Nontron en Périgord. Un savoir-faire depuis près de 300 ans à Nontron en Périgord La légende raconte même que Ravaillac a poignardé Henri IV avec un couteau de Nontron. Il faut dire que le sous-sol de Nontron est riche en minerai de fer, les forêts riches en bois pour la forge et bien sûr le buis sert pour la fabrication des manches, et la coutellerie Nontronaise a connu son essor tout naturellement de la période gauloise au moyen âge. Et la coutellerie de Nontron déjà largement réputée dans la fabrication d’outils et de couteaux de cuisine et tables, s’est diversifiée dans le couteau pliant qui possédait déjà une virolé de blocage. La marque de fabrique de la coutellerie de Nontron est reconnue comme la pyrogravure du manche en buis. Mais son origine est sa signification restent à ce jour sujet à débat. La coutellerie de Nontron a donc toujours été une fabrique qui a su vivre et s’adapter à son époque et aux tendances du marché. Découvrez les différentes gammes de couteaux de poche NONTRON Depuis 1992 la coutellerie nontronaise est rachetée par la Forge de Laguiole. Le cousin » de l’Aveyron a apporté une nouvelle dynamique tant d’un point de vue technique que commercial. Le fameux couteau Nontronnais en buis pyrogravé a ainsi été proposé en ébène, olivier, genévrier et d’autres bois utilisés en coutellerie. Les lames en acier damassés ont aussi permis de trouver une clientèle d’amateurs de couteaux haut de gamme alors que le fameux Nontron était surtout un couteau destiné à une clientèle presque que d’utilisateurs. Aussi la Forge de Laguiole a dupliqué son modèle de réussite en donnant libre interprétation à des designers et architectes de renommée internationale la possibilité de faire une libre interprétation du fameux couteau de Nontron. C’est ainsi que le nom Nontron a été associé à des noms comme Raffy, Lefebvre ont proposés des couteaux au styles contemporain tout en conservant le côté rustique et authentique de fameux couteau Nontron. Nontron propose maintenant une gamme importante de couteaux pliants au style unique et à la virole de blocage toujours aussi efficace. Mais aussi un vaste choix de couteaux de table et autres produits dans les arts de la table dans des styles très traditionnels ou très contemporains. Ce grand écart de style est parfaitement géré par cette manufacture coutelière qui emploi une vingtaines d’artisans couteliers. Retrouvez les couteaux de Nontron dans toutes les bonnes coutelleries qui proposent un choix de couteaux pliants de traditions Françaises … Pour finir en chanson nous vous proposons de regarder cette petite vidéo N’oubliez pas de mettre le son et …. Régalez vous !!
Votrecouteau est aiguisé. Il ne nécessite qu'un entretien régulier du fil, l'affilage. Cette opération se fait à l'aide d'un fusil à affûter . 1) Bloquez verticalement l'extrémité de la mèche du fusil sur une planche à découper. 2) Positionnez la lame de votre couteau de manière à former un angle d'environ 20° avec la mèche du
Le savoir-faire de laville de Thiers Une histoire de famille et de traditions Le Couteau de mon Grand Père est une histoire de famille, d’amitié, et de valeurs qui nous tiennent particulièrement à cœur, comme l’authenticité et la transmission. C’est pourquoi nous avons pensé toute notre activité autour de couteaux d’une qualité exceptionnelle, qui remettent au goût du jour les savoir-faire ancestraux de la coutellerie régionale. En créant le Couteau de mon Grand Père, nous avons voulu donner une opportunité à tous de retrouver le couteau régional qu’utilisait leurs aïeux, à travers nos belles régions françaises. Plus qu’un objet, le couteau est une pièce ouvragée et un symbole de l’artisanat local. Il était donc primordial pour nous de faire découvrir des couteaux authentiques, qui puissent traverser les âges. Et sur nos terres de Thiers, nous avons la chance de pouvoir nous fournir chez les experts mondiaux de la coutellerie de qualité. La coutellerie Thiers-Issard, notre partenaire de référence Tous les couteaux que nous vous proposons sortent de la fabrique Thiers-Issard, maison centenaire auvergnate reconnue mondialement pour la qualité exceptionnelle de ses produits. Travailler avec une telle enseigne, c’est l’assurance d’être en mesure de pouvoir proposer à nos clients des couteaux d’une qualité exceptionnelle. Chaque pièce est fabriquée localement et dans le plus grand respect du savoir-faire français et surtout, de Thiers. Nous avons la chance d’être originaires de la capitale mondiale de la coutellerie, nous nous devions de lui faire honneur ! Un savoir-faire intact pour une qualité exceptionnelle La coutellerie Thiers-Issard, fondée en 1884 par Monsieur Pierre Thiers, est toujours restée une affaire de famille. D’abord transmise au sein de la famille Thiers, elle est rachetée en 1985 par Monsieur Gilles Reynewaeter, lui-même maître coutelier de père en fils. Il fait la promesse de continuer à travailler lui aussi dans les règles de l’art et en famille, avec sa femme et ses deux filles. L’aventure familiale et le savoir-faire ancestral sont assurés ! Depuis, Monsieur Reynewaeter a repris plusieurs des belles maisons de la coutellerie artisanale, faisant de sa marque l’une des références incontournables de la très prisée coutellerie de Thiers. Les couteaux de la marque sont ceux que nous vous proposons chez Le Couteau de Mon Grand-Père. L’excellence de fabrication de la marque Tous les ouvriers sont qualifiés et formés par la maison, selon les secrets acquis au fil de la longue expérience des maîtres couteliers Thiers-Issard. Les ateliers Thiers-Issard sont organisés de façon à assurer une qualité irréprochable chaque type de lame a son atelier, et toute une partie de l’usine est dédiée au contrôle visuel et manuel de toute la fabrication. Du forgeage de la lame, à chaud ou à froid selon la matière, jusqu’au polissage et au contrôle de chaque lame qui sort de la fabrique, ce ne sont pas moins de 27 étapes entrent dans la fabrication d’un couteau ! Selon les modèles, le travail du bois ou de la lame peuvent demander des heures de travail minutieux. Guillochage à la main, gravure et rivetage du manche, ajout des mitres… Les couteaux les plus travaillés sont des œuvres d’art, qui nécessitent une technique très précise. Les modèles de couteaux régionaux pliants sont d’ailleurs encore fabriqués sur des matrices d’origine sans poncetage, dans le respect de la tradition. Bien que la modernité ait permis à la coutellerie de se doter de machines, le fait-main reste la règle d’or dans les ateliers, et prédomine à 90% dans la fabrication des couteaux. Tout est 100% Made in France, à l’exception de certains bois qui proviennent d’autres pays. L’assurance d’un couteau aussi beau que durable En achetant l’un de nos couteaux, vous êtes ainsi assurés de la beauté et de la qualité exceptionnelle du savoir-faire de la coutellerie de Thiers. Les essences de bois ou de corne choisis pour le manche sont sélectionnés avec beaucoup de soin, et l’on ne conserve que les morceaux de la plus grande qualité. Les lames, en acier inoxydable ou en carbone, sont taillées, affûtées et guillochées à la main. Pour apporter une touche personnalisée, la plupart de nos couteaux sont disponibles en plusieurs options, de la matière du manche à celle de la lame. Chaque pièce est garantie, et assortie de conseils d’utilisation pour favoriser sa longévité. Notre service après-vente assure les réparations, le réaffutage et la rénovation de votre couteau. Le savoir-faire, une passion qui se transmet L’inégalable qualité de nos couteaux nous permet de garantir à nos clients solidité et fiabilité. Notre volonté profonde et notre fierté est de pouvoir ainsi proposer un couteau dont la longévité permettrait de le transmettre sur plusieurs générations. Seuls une lame et un bois de grande qualité, assortis d’une fabrication minutieuse et respectueuse d’un savoir-faire ancestral, permettent à un couteau de traverser ainsi les âges. Comme nos grands-pères et nos pères avant nous, nous savons que nous pourrons un jour transmettre nos couteaux à nos fils, puis à nos petit-fils… Désormais fort de son histoire depuis des siècle, le couteau régional Le Tonneau séduit encore par sa sobriété et sa lame trempée 12C27 robuste à la corrosion. Entretien de votre couteau régional : Un tissu fin à glisser sur la lame suffit à l’entretien de votre couteau pliant. Vous pouvez l’affiler régulièrement pour Par Maëva BayPublié le 02/08/2021 à 9h19Mis à jour le 06/08/2021 à 13h42 Présent sous diverses formes sur toutes les tables de France, le couteau est bien plus qu’un simple objet du quotidien. Il reflète, de par son histoire et ses ancrages territoriaux, une certaine manière de vivre à la française. À découvrir ce week-end à l’occasion de la Fête du couteau à Nontron Tel que nous le connaissons aujourd’hui, le couteau est devenu un banal ustensile qui nous sert à nous restaurer ou nous accompagne lors des sorties aux champignons. Mais ce petit outil rentré dans les mœurs, souvent constitué de bois et d’acier, revêt une symbolique toute particulière dans de nombreux foyers, ce qui ne se dément pas à la Fête du couteau de Nontron Dordogne, qui se déroulera samedi 7 et dimanche...Tel que nous le connaissons aujourd’hui, le couteau est devenu un banal ustensile qui nous sert à nous restaurer ou nous accompagne lors des sorties aux champignons. Mais ce petit outil rentré dans les mœurs, souvent constitué de bois et d’acier, revêt une symbolique toute particulière dans de nombreux foyers, ce qui ne se dément pas à la Fête du couteau de Nontron Dordogne, qui se déroulera samedi 7 et dimanche 8 août. C’est un objet proche de l’intime, que l’on porte sur soi, à la main ou dans la poche. Il constitue un prolongement de l’homme dans beaucoup d’activités du quotidien, surtout chez les ruraux », explique Christian Lemasson, ethnographe 1 et spécialiste de la coutellerie française 2.En effet, il y a encore quelques années de cela, cet ustensile servait à diverses tâches agricoles taille du bois, abattage des volailles, découpage de ficelles, etc. Il rythmait les journées à la ferme. Quand le patron repliait le couteau, c’était le signe qu’il fallait retourner au travail. Il y a même un proverbe local qui dit qu’il valait mieux oublier son pantalon que son couteau », plaisante l’ethnographe qui descend directement d’une famille de maîtres dans les territoires Christian Lemasson se passionne pour les couteaux. DR Même si l’outil a perdu certains de ses usages au fil des évolutions sociales, il constitue toujours un marqueur d’appartenance à un territoire ou à une culture. Cela s’illustre notamment par la multitude des couteaux régionaux qui maillent le territoire national et qui ont réussi à perdurer dans le temps. Il y aurait à ce jour une trentaine d’appellations régionales, allant de la plus connue qu’est le Laguiole à de plus confidentiels comme le Liadou couteau de vigneron aveyronnais. Les couteaux régionaux sont même devenus des objets que les touristes achètent parce qu’ils représentent l’âme d’un territoire », analyse Christian Lemasson. Pas étonnant, donc, que certaines marques comme l’Opinel ou le Laguiole soit aussi populaires à travers le rite de passageOutre son ancrage territorial, le fait d’offrir un couteau dans certaines familles françaises envoie aussi un signe fort d’acceptation de la part des pairs. Acheter un couteau à un enfant est un gage de confiance et témoigne qu’il a grandi », révèle le spécialiste de la coutellerie d’origine aveyronnaise. Il raconte d’ailleurs que dans son département natal, on remettait dans le temps au futur marié un couteau pour lui montrer qu’il était accepté par sa couteau n’est donc pas un objet comme les autres et, malgré les différentes évolutions qu’il a connu, il a tout de même réussi à conserver une place à part entière dans les foyers.1 Comme défini dans le Larousse, l’ethnographie correspond à l’étude descriptive des activités d’un groupe humain déterminé.2 Il est aussi l’auteur du livre Couteaux de France », publié en 2020 aux Éditions Artémis. Un objet très ancien Les premières traces historiques que nous avons du couteau remontent à l’époque pré-antique, mais son usage s’est vraiment démocratisé à l’époque des Romains. Le couteau pliable, quant à lui, a véritablement fait son apparition à la fin du XVIe siècle, aidé par le développement des centres de couteliers. eNrmvRa.
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