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Le Sainte-Marie pĂȘche plaisance, prĂ©sidĂ© par Hubert Leclerc, a organisĂ© pour la troisiĂšme annĂ©e consĂ©cutive, une nouvelle cĂ©rĂ©monie de bĂ©nĂ©diction et de dĂ©pĂŽt de gerbe en mer en hommage aux marins et amis disparus. Ainsi, au lendemain de la fĂȘte mariale, plus dâune centaine de personnes, Ă©lus, plaisanciers, pĂȘcheurs, amis de la mer et autres se sont retrouvĂ©s Ă la capitainerie du port. En prĂ©sence de Pierre Roig, le maire, et dâHenri Lozano, deuxiĂšme adjoint et prĂ©sident de la Sagan, sociĂ©tĂ© dâamĂ©nagement et de gestion du port, le pĂšre Marc JustafrĂ©, curĂ© de la paroisse Notre-Dame-de-la-CĂŽte-Radieuse, a prononcĂ© quelques mots, avant de cĂ©lĂ©brer une priĂšre en mĂ©moire des marins dĂ©cĂ©dĂ©s. Puis, il a bĂ©ni la gerbe qui allait ĂȘtre jetĂ©e en mer. AprĂšs avoir embarquĂ© sur la quinzaine de bateaux dĂ©corĂ©s pour lâoccasion, tous ont pris le large pour se retrouver face Ă la plage Agora. LâĂ©dile et son adjoint ont jetĂ© alors en mer la gerbe qui a Ă©tĂ© accompagnĂ©e dâun tohu-bohu de klaxons et de cornes.Seulstrois sont perdus corps et biens : deux sous-marins de lâUnited States Navy et un sous-marin de la Marine russe. Tous coulent pour l'une des raisons Ă©voquĂ©es plus haut, Ă Livres neufs et d'occasion Sciences & nature - Livre Ancien, rare ou d'occasion 0 avisDonner votre avisISBN neantAuteurs ComitĂ© pour le monument Ăditeur SociĂ©tĂ© Nouvelle d'imprimerieDate de parution NCPagination 15 pages non paginĂ©esFormat x 22 cm 18,00 âŹEUR A la mĂ©moire des marins de RezĂ© disparus en mer et morts au loin plaquette brochĂ©e non paginĂ©e " par le comitĂ© formĂ© afin d'Ă©riger un monument destinĂ© Ă perpĂ©tuer le souvenir des marins disparus en mer et morts au loin de la commune de RezĂ©, dont dĂ©pendent les communes de Trentemoult...... " des rousseurs 15 pages dont la moitiĂ© constituent la liste des morts une page dĂ©tachĂ©e Cliquez, copiez, puis collez directement le code sur votre blog, site web ou forum. Lien sur un blog / site web Lien sur un forum En1946 un comitĂ© a Ă©tĂ© formĂ© afin d'Ă©riger un monument, destinĂ© Ă perpĂ©tuer le souvenir des marins disparus en mer et morts au loin de la commune de REZE, dont dĂ©pendent les agglomĂ©rations de TRENTEMOULT, NORKIOUSE, la HAUTE-ILE et la BASSE-ILE, peuplĂ©es de quelques centaines d'habitants et qui, au cours des derniĂšres annĂ©es ont fourni tant. de
Plusieurscargos sont en perdition et le trafic maritime perturbé en mer du Nord à cause de vents violents dans la zone entre le Danemark, la NorvÚge et la SuÚde. Un cargo norvégien a fait
ï»żPourquoi cette recherche? Dans la prĂ©face de la deuxiĂšme réédition de Paimpol au temps dâIslande » Le Chasse-MarĂ©e / Armen, 1998, Jacques GuĂ©guen Ă©crit Jean KerlĂ©vĂ©o est tout Ă fait conscient de la nĂ©cessitĂ© de vĂ©rifier aujourdâhui certains points, comme le nombre des disparus Ă Islande par comptage systĂ©matique au lieu de lâestimation dont il a Ă©tĂ© obligĂ© de se contenter Ă lâĂ©poque, aboutissant ainsi Ă des conclusions excessives. A dâautres donc de poursuivre, bien modestement, son Ćuvre, de continuer ses travaux, de les affiner et de les Ă©largir ». Quel nombre ? Jean KerlĂ©vĂ©o avance 2000 hommes du pays de Paimpol pĂ©ris en mer dâIslande entre 1852 et 1935. Il ajoute Presque la population de la ville de Paimpol » Paimpol au temps dâIslande », tome II, page 51. Dans LâĂ©popĂ©e Islandaise », le regrettĂ© François ChappĂ© Editions de lâAlbaron, 1990 insiste sur le taux Ă©levĂ© de mortalitĂ©, citant Jacques Dubois Le Jardinier des mers lointaines », Picollec, Paris, 1980 qui indique 3000 morts. Christian Pfister-Langanay, professeur dâhistoire moderne, a Ă©voquĂ© 1635 dĂ©cĂšs voire 1800 pour lâensemble des ports de Binic, DahouĂ«t, Erquy, Lannion, Paimpol, Portrieux et TrĂ©guier La pĂȘche en Islande », Editions Jean-Paul Gisserot, 2013. Lâobjectif de ces nouvelles recherches est de tenter dâapprocher un chiffre plus prĂ©cis. Quelles sources ? Il a semblĂ© passionnant dâeffectuer un recensement qui pourrait intĂ©resser les descendants de ces hĂ©ros Paimpolais. Les outils qui ont permis de les retrouver sont les tables de successions et absences il sâagit de registres qui consignent, par ordre alphabĂ©tique, tous les dĂ©cĂšs du bureau dâenregistrement de Paimpol. Y sont inscrites toutes les personnes mĂȘme celles qui sont mortes en bas Ăąge ou ont vĂ©cu six minutes! Si elles laissaient quelques biens, mĂȘme modestes, leur nature et lâidentitĂ© des ayants droit sont stipulĂ©es avec la date et le numĂ©ro de la dĂ©claration de succession qui se trouve dans un autre registre. Ces tables classĂ©es en sĂ©rie 3Q ont Ă©tĂ© numĂ©risĂ©es et sont accessibles sur le site internet des Archives dĂ©partementales des CĂŽtes-dâArmor. Elles mentionnent les nom et prĂ©noms du dĂ©funt, sa profession, son Ăąge, son adresse, la date de son dĂ©cĂšs, les nom et prĂ©noms du conjoint. Nos investigations, qui ont nĂ©cessitĂ© de nombreuses heures de travail, ont abouti Ă relever une base de 5170 noms de marins en activitĂ©, exerçant toutes les professions en lien avec la mer mousse, cuisinier, maĂźtre au cabotage, capitaineâŠ, domiciliĂ©s Ă BrĂ©hat Kerfot KĂ©rity Paimpol Ploubazlanec PlouĂ©zec Plounez Plourivo Yvias et dĂ©cĂ©dĂ©s hors de ces communes entre 1852 et 1935. La liste dĂ©finitive rĂ©sulte de la consultation de plusieurs autres sources LâĂ©tat civil dans les diffĂ©rentes mairies. Leurs registres reproduisent la transcription des actes de dĂ©cĂšs ou du jugement du Tribunal Civil de premiĂšre instance de Saint-Brieuc. Ces documents prĂ©cieux et Ă©mouvants relatent les circonstances de la mort ou du naufrage. Les dossiers de pension des inscrits maritimes du Quartier de Paimpol Les registres matricules des marins Les matricules des bĂątiments du commerce Les rĂŽles dâĂ©quipage des goĂ©lettes Merci aux collaborateurs de lâENIM de Paimpol, en particulier Ă Madame MichĂšle Picard, responsable du groupe Archives, et du Service Historique de la DĂ©fense Ă Brest. Quelle mĂ©thode ? Il nous a fallu dĂ©finir des critĂšres pour Ă©tablir cette liste. Nous exprimons notre immense gratitude aux historiens compĂ©tents quI nous ont aidĂ©s dans cette rĂ©flexion, Messieurs Jacques GuĂ©guen et Claude Forrer, Capitaine au long cours. Ce dernier a proposĂ© une dĂ©finition des Pertes Ă Islande » que nous avons adoptĂ©e. Avec nous faisons donc mĂ©moire de toutes les disparitions survenues pendant la campagne de Grande PĂȘche en Islande et dans les trajets aller et retour du port dâarmement ou du port de dĂ©part de mĂ©tropole Ă lâaller et au retour au mĂȘme port sâil Ă©tait le premier port français ou au premier port touchĂ© quâil soit Ă lâordre ou au dĂ©chargement. Les autres traversĂ©es y compris celles qui, destinĂ©es Ă lâapprovisionnement du sel, considĂ©rĂ©es comme cabotage, ne relĂšvent pas directement de la PĂȘche Ă Islande » Pertes et accidents, le cas des pĂȘcheurs de la baie de Saint-Brieuc, colloque Ă FĂ©camp, 18 mai 2012. Plus clairement, les marins disparus des chasseurs qui transportent la premiĂšre pĂȘche et ceux des goĂ©lettes seulement lorsquâelles livrent la seconde ne figurent pas sur ce site. Les chasseurs, dont lâĂ©quipage nâavait pas le droit de pĂȘcher, Ă©taient armĂ©s sous le titre Long cours » ou Cabotage » mais les goĂ©lettes en campagne de pĂȘche lâĂ©taient en Grande PĂȘche » GP ou Islande ». Techniquement, il aurait Ă©tĂ© impossible dâanalyser les rĂŽles de tous les bĂątiments armĂ©s au Long cours » ou au Cabotage » pour savoir sâils avaient chargĂ© de la morue dans leur cale⊠Un exemple significatif la goĂ©lette Marie-Magdeleine », armĂ©e Islande » Ă Paimpol le 30 janvier 1908, de retour le 24 aoĂ»t, repartie le surlendemain de Paimpol pour livrer sa seconde pĂȘche Ă FĂ©camp, avait Ă©tĂ© alors armĂ©e au Cabotage » avant de sombrer corps et biens fin aoĂ»t 1908. Son Ă©quipage restreint 8 hommes nâapparaĂźt pas dans cette liste. Une recherche collective Ce mĂ©morial, qui rappelle un tribut surhumain de souffrances et de deuils, nâaurait jamais vu le jour sans les investigations patientes et rigoureuses de ceux qui depuis Jean KerlĂ©vĂ©o ont explorĂ© ce passĂ©. Leurs Ă©tudes ont Ă©tĂ© utiles et ont enrichi la connaissance de ce patrimoine que nous avons reçu pour le transmettre aux gĂ©nĂ©rations nouvelles. Que soient remerciĂ©s Nelly Souquet, Roger Courland, Pierre Floury, Michel Le Deut, Yves Le Pannerer, AndrĂ© Louaver, ThĂ©o Pennanros, Yves de Sagazan, Henri Volf ainsi que les membres de lâassociation Pierre Loti Ă Paimpol » avec leur prĂ©sident, Serge Le QuĂ©au qui nous ont encouragĂ©s. Tous ont apportĂ© leurs belles contributions Ă lâhistoire du pays de Paimpol câĂ©tait au temps dâIslande. Emilie Desouche et Pierre KerlĂ©vĂ©o La statue Veuves dâIslandais » sur le site de Lann Vras et le musĂ©e MĂ©moires dâIslande » Ă Ploubazlanec Sont Ă©galement dĂ©diĂ©s Ă la mĂ©moire de ces bagnards » de la mer comme les appelaient le PĂšre Yvon.
Archipeldes Ăbihens ( Saint-Jacut-de-la-Mer ) Ălot de la ColombiĂšre. Ăźlots de la NeilliĂšre, la Grande Roche, la MargatiĂšre, les Jumeliaux, la Loge, les HachĂ©s Ăle d'Er ( Plougrescant)
Paradoxalement, plus les animaux marins sont grands et plus ils sont menacĂ©s. Dans cette extinction accĂ©lĂ©rĂ©e des espĂšces marines, lâHomme a bien entendu un rĂŽle tristement important Ă jouer. La pĂȘche intensive est directement remise en cause. Lâeffet est bien plus important que ce que lâon pourrait croire non seulement des quantitĂ©s impressionnantes dâanimaux marins sont tuĂ©s, mais en plus de cela tout lâĂ©cosystĂšme est modifiĂ© Ă cause de la surpĂȘche de certaines espĂšces. Disparition des animaux marins⊠Et terrestresCe constat alarmant ne se limite pas aux animaux marins sur terre il en est de mĂȘme, les animaux disparaissent bien plus rapidement que le rythme naturel de dâextinction des espĂšces. La cause est cependant diffĂ©rente sur terre, câest la destruction des habitats naturels et notamment des zones forestiĂšres qui cause le plus souvent la disparition de certains animaux tandis quâen mer, la pĂȘche intensive est gĂ©nĂ©ralement la cause principale. Sur terre ou en mer, nous pouvons dĂ©sormais bel et bien parler dâune extinction de masse. Contrairement aux prĂ©cĂ©dentes, ici, seules certaines espĂšces sont vouĂ©es Ă disparaĂźtre dans un futur proche, soit parce que leur milieu naturel est mis en danger, soit parce que lâHomme les chasse. Nous allons donc assister Ă un phĂ©nomĂšne nouveau, une modification significative des Ă©cosystĂšmes terrestres et marins dont les consĂ©quences sont difficiles Ă prĂ©voir. Nous ne pouvons pas raisonner en prenant en compte les espĂšces indĂ©pendamment les unes des autres dans des milieux naturels oĂč tous les organismes vivants sont Ă©troitement liĂ©s. Quelles sont les espĂšces dâanimaux marins les plus menacĂ©es actuellement ?Voici une liste non exhaustive des diffĂ©rentes espĂšces marines considĂ©rĂ©es aujourdâhui comme Ă©tant en voie dâextinction. Une classification qui a le mĂ©rite de faire prendre conscience des animaux marins le plus en danger afin de mettre en place, espĂ©rons-le, des programmes de protection thon rougeTrĂšs apprĂ©ciĂ© pour sa chaire, le thon rouge est dĂ©sormais menacĂ©. Câest essentiellement la pĂȘche intensive qui met en danger cette espĂšce. Des mesures ont Ă©tĂ© prises et des quotas de pĂȘche ont Ă©tĂ© imposĂ©s, mais malheureusement les rĂšgles dans ce domaine sont rarement baleine bleueIl sâagit de lâanimal le plus imposant que lâon puisse trouver sur la planĂšte jusquâĂ 170 tonnes pour les plus gros spĂ©cimens, et il est lui aussi menacĂ©. Deux problĂšmes se conjuguent et amĂšnent lâespĂšce vers sa fin la chasse Ă la baleine bleue qui a longtemps Ă©tĂ© intensive avant dâĂȘtre interdite mais qui est encore pratiquĂ©e malgrĂ© tout et la destruction du milieu marin dans lequel elle tortue Ă Ă©caillesRecherchĂ©e Ă cause de sa carapace qui est utilisĂ©e comme Ă©lĂ©ment de dĂ©coration, la tortue Ă Ă©caille est lâune des espĂšces dâanimaux marins les plus menacĂ©es. Ce commerce a Ă©tĂ© interdit mais il reste nĂ©anmoins trĂšs actif. Hormis lâHomme, elle nâa que peu de tortue luthLa plus grande de toutes les tortues est Ă©galement menacĂ©e dâextinction. Le plus grand spĂ©cimen observĂ© atteignait presque une tonne ! Il sâagit de lâune des espĂšces de tortues marines les plus anciennes. Le braconnage et la pĂȘche sont responsables de son extinction, en plus de la destruction de son habitat naturel pollution des fonds marins et constructions qui se multiplient sur les marsouin du PacifiqueIl ne subsiste quâune soixantaine de marsouins du Pacifique Ă lâheure actuelle, un chiffre alarmant qui est le signe dâune disparition imminente de lâespĂšce si rien nâest fait. Il sâagit lĂ dâune victime collatĂ©rale de la pĂȘche intensive sâil nâest pas directement convoitĂ©, il est souvent pris par accident dans les filets des pĂȘcheurs.Les mers et les ocĂ©ans du globe reprĂ©sentent 97% de lâeau prĂ©sente sur Terre et sont Ă lâorigine de 70% de lâoxygĂšne que nous respirons. Tandis que nous colonisions les terres, les mondes engloutis loin sous la surface ont abritĂ© lâĂ©volution dâune quantitĂ© formidable de mammifĂšres marins de toutes sortes et de poissons. Depuis la nuit des temps, les changements qui se sont opĂ©rĂ©s au fond des ocĂ©ans ont Ă©tĂ© trĂšs progressifs et ont laissĂ© le temps aux animaux marins de sâadapter en consĂ©quence. Mais le rythme imposĂ© aujourdâhui par lâHomme sur les Ă©cosystĂšmes littoraux et marins va beaucoup plus vite que celui de la extractives, changement climatique responsable de lâacidification des eaux, tourisme de masse, surpĂȘche ou pollution plastique, les pressions sont considĂ©rables et nombre dâespĂšces marines telles que les grands prĂ©dateurs orques, requins⊠que nous retrouvons au sommet de la chaĂźne alimentaire sont pourtant ce que lâon appelle des spĂ©cialistes, câest-Ă -dire quâelles ne sont capables de survivre que dans un environnement bien prĂ©cis et que le moindre changement les rend extrĂȘmement vulnĂ©rables. MalgrĂ© tout, Ă la destruction de leurs habitats naturels sâajoute aussi la rarĂ©faction de leurs sources de tiers des stocks mondiaux de poissons sont aujourdâhui surexploitĂ©s, notamment dans le cadre de pĂȘches illicites et non rĂ©glementĂ©es. Alors les espĂšces modifient leur comportement. Celles qui ne disparaĂźtront pas migreront Ă la recherche de nouvelles zones habitables. Plus de la moitiĂ© dâentre elles sont dâores et dĂ©jĂ menacĂ©es dâextinction dâici la fin du petit animal que lâhippocampe avec son anatomie particuliĂšre et sa maniĂšre de nager Ă la verticale dans les eaux tempĂ©rĂ©es et tropicales du globe. RĂ©guliĂšrement comparĂ© Ă un cheval, il partage aussi certaines caractĂ©ristiques avec le camĂ©lĂ©on puisquâil se rĂ©vĂšle capable dâadapter sa couleur Ă lâenvironnement dans lequel il se trouve afin dâĂ©chapper aux prĂ©dateurs. Pas de quoi Ă©chapper Ă lâHomme en revanche tandis que la demande se fait toujours croissante. UtilisĂ© depuis lâAntiquitĂ© pour Ă©laborer divers baumes et potions, lâhippocampe est aujourdâhui aussi recherchĂ© comme Ă©lĂ©ment dĂ©coratif et pour la fabrication de souvenirs qui seront vendus aux touristes. Si leur pĂȘche reste illĂ©gale, ce ne sont pas moins de 20 millions dâhippocampes qui sont pĂȘchĂ©s chaque annĂ©e un peu partout Ă travers le poisson-lune est un poisson osseux que lâon retrouve jusquâĂ 600 mĂštres de profondeur dans les mers chaudes et tempĂ©rĂ©es du globe. Grand amateur de larves dâanguilles ou de mĂ©duses, le poisson-lune peut pondre jusquâĂ 300 millions dâĆufs par minuscules alevins qui pourront atteindre en grandissant jusquâĂ 4 mĂštres de long ! Câest justement grĂące Ă cette grande taille que le poisson-lune nâa que peu de prĂ©dateurs exceptĂ© les requins ou le lion de mer par recherchĂ© en Asie pour sa chair et ses supposĂ©es propriĂ©tĂ©s thĂ©rapeutiques, lâanimal marin est aujourdâhui victime de la pĂȘche volontaire ou accidentelle tout autant que des dĂ©chets flottants quâil confond rĂ©guliĂšrement avec des lui arrive de vivre en groupe, lâespadon est un poisson plutĂŽt solitaire. Son long nez en forme dâĂ©peron le rend reconnaissable entre tous et lui permet de fendre les eaux Ă la vitesse record de 110 km/h un peu Ă la maniĂšre du poisson voilier, capable de rĂ©aliser des performances similaires grĂące Ă sa nageoire dorsale. De quoi attirer lâattention des chasseurs de trophĂ©es. Lâespadon est devenu ces derniĂšres annĂ©es une cible privilĂ©giĂ©e pour les pĂȘcheurs sportifs. Mais la pĂȘche commerciale fait Ă©galement des ravages au point que lâĂ©pĂ©e des mers voit ses effectifs se rĂ©duire de maniĂšre alarmante. Lâespadon chinois endĂ©mique du fleuve YangtsĂ© a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© disparu au dĂ©but de lâannĂ©e mantaLa raie manta se divise en deux espĂšces bien distinctes, la raie manta alfredi et la raie manta gĂ©ante qui possĂšde le plus gros cerveau de tous les poissons du monde. TrĂšs proche du requin sur le plan morphologique, elle est cependant dĂ©pourvue de dents et se nourrit par filtration. Son mets favori ? Le plancton, dont elle aide Ă rĂ©guler les populations ! Mais les raies manta vivent longtemps et connaissent une reproduction lente qui les rend particuliĂšrement vulnĂ©rables Ă la surexploitation. Mises en danger par le changement climatique qui modifie leur migration et par les microplastiques qui tendent Ă bloquer leur tube digestif, on les retrouve aussi sur les marchĂ©s internationaux oĂč certaines parties de leurs branchies se vendent Ă prix dâor pour la mĂ©decine chinoise. Baleine bleue170 tonnes pour environ 30 mĂštres de long, la baleine bleue est la plus colossale de toutes les baleines mĂȘme si dâautres espĂšces marines sont plus colossales encore. PrĂ©sente dans tous les ocĂ©ans du monde exceptĂ© lâArctique, la chasse intensive dont elle a Ă©tĂ© victime au cours des dĂ©cennies prĂ©cĂ©dentes a largement prĂ©cipitĂ© sa lâeffet de lâexploitation pĂ©troliĂšre, des pollutions chimiques et sonores ou encore de la pĂȘche intensive du krill, sa principale source de nourriture, ce sont en tout 70% des populations de baleines bleues qui se sont Ă©teintes en lâespace dâune dizaine dâannĂ©es seulement. DĂ©sormais interdite Ă lâĂ©chelle internationale, la chasse commerciale est encore pratiquĂ©e en NorvĂšge, en Islande et au blancSi nous remontions le temps jusquâĂ il y a environ 400 millions dâannĂ©es, nous croiserions un requin blanc trĂšs similaire Ă celui que lâon observe aujourdâhui. PrĂ©sent dans toutes les mers du globe jusquâĂ plusieurs centaines de mĂštres de profondeur parfois, sa mĂąchoire aux dents acĂ©rĂ©es et sa grande taille lui ont valu dâĂȘtre considĂ©rĂ© comme un prĂ©dateur assoiffĂ© de sang pour lâHomme. Il sâagit en rĂ©alitĂ© dâun poisson plutĂŽt pacifique face aux baigneurs et dâune espĂšce essentielle Ă la rĂ©gulation de la biodiversitĂ© pour sa chair, ses ailerons, ses dents ou fragilisĂ© par les activitĂ©s commerciales et industrielles qui dĂ©truisent son habitat naturel, le requin blanc a perdu 80% de ses effectifs en lâespace de 15 une taille oscillant entre 5 et 12 mĂštres et un poids pouvant atteindre prĂšs de 35 tonnes, le requin-baleine est un poisson migrateur plutĂŽt solitaire qui se rĂ©unit parfois en groupe pour se nourrir. On le retrouve proche de la surface tout au long de la journĂ©e, avant que le retour de lâobscuritĂ© ne le pousse Ă se rĂ©fugier plus loin dans les profondeurs. Un comportement qui le rend facilement repĂ©rable par les pĂȘcheurs, dâautant que le requin-baleine est une espĂšce trĂšs recherchĂ©e pour sa chair, particuliĂšrement apprĂ©ciĂ©e dans certaines cuisines asiatiques. Sâajoute Ă©galement le tourisme croissant qui vient perturber le quotidien du plus gros poisson du monde ainsi que la pollution, trĂšs concentrĂ©e dans les eaux de surface. DugongSirĂšne du Pacifique», vache de mer», le dugong est une espĂšce Ă©tonnante dont les mouvements gracieux suscitent toujours la curiositĂ©. Grand amateur dâherbiers marins, nous le retrouvons majoritairement dans les zones cĂŽtiĂšres autour de lâAustralie et de la Nouvelle-CalĂ©donie oĂč il peut avaler jusquâĂ 40 kilos de nourriture par comportement qui le rend particuliĂšrement vulnĂ©rable aux activitĂ©s humaines. Sous lâeffet de la pollution, du tourisme ou de lâurbanisation des littoraux, son habitat naturel ne cesse de reculer. En Nouvelle-CalĂ©donie sâajoute Ă©galement la problĂ©matique du braconnage, qui permet dâalimenter un marchĂ© noir mis en danger par un rythme de reproduction trĂšs lent, le dugong a perdu environ 60% de ses effectifs en lâespace de 15 de passer Ă cĂŽtĂ© du flĂ©tan et de ses deux yeux curieusement regroupĂ©s dâun mĂȘme cĂŽtĂ© de la tĂȘte. Poisson prĂ©dateur trĂšs friand dâinsectes et de crustacĂ©s, câest gĂ©nĂ©ralement sur les fonds marins quâil passe la majeure partie de ses journĂ©es mĂȘme si la recherche de nourriture le pousse chaque jour Ă remonter vers la surface. RĂ©parti en trois espĂšces diffĂ©rentes, le flĂ©tan est aujourdâhui menacĂ© par la surpĂȘche effectuĂ©e le plus souvent Ă lâaide de chaluts dont les consĂ©quences sont dramatiques pour les Ă©cosystĂšmes. PĂȘche involontaire de raies, de requins ou de mammifĂšres protĂ©gĂ©s, destruction des habitats naturels, lâexploitation des stocks de flĂ©tan est aujourdâhui strictement luthElles ont cĂŽtoyĂ© les dinosaures, traversĂ© des bouleversements climatiques en sĂ©rie et auraient sans aucun doute dâextraordinaires histoires Ă nous raconter. Avec leur vitesse maximum de 35 km/h tout de mĂȘme, les tortues luth migrent chaque annĂ©e des eaux tropicales oĂč elles pondent aux eaux polaires oĂč elles se y retrouveront de vastes populations de mĂ©duses, leur mets favori, jouant ainsi un rĂŽle essentiel dans lâĂ©quilibre Ă©cologique de ces la pollution marine, la pĂȘche accidentelle, la perte de leur habitat ou lâapparition dâespĂšces invasives, le plus gros reptile de la planĂšte est aujourdâhui devenu une espĂšce requin-marteau est un poisson pĂ©lagique que lâon retrouve jusquâĂ 100 mĂštres de profondeur dans les eaux chaudes du globe. Essentiellement nocturne, les extensions aplaties de sa tĂȘte renferment une multitude dâorganes sensoriels qui lui permettent de profiter dâune meilleure vision et dâun meilleur odorat que les autres espĂšces de atouts indispensables au moment de la chasse notamment, mais qui ne le prĂ©servent pas de la surpĂȘche qui constitue sa principale menace. RecherchĂ© pour ses ailerons, le requin-marteau a vu sa population chuter de 83% en Atlantique Nord et de 64% dans les autres mers du monde, en lâespace dâune vingtaine dâ de merAvec un gabarit moyen de 110 Ă 130 cm, la loutre de mer est le plus petit mammifĂšre au monde. RĂ©partie dans les eaux tempĂ©rĂ©es Ă froides de la planĂšte, elle parvient Ă maintenir sa tempĂ©rature corporelle malgrĂ© lâabsence de graisse sous sa peau pour la protĂ©ger du secret, câest une fourrure Ă©paisse, la plus dense de tout le rĂšgne animal, quâelle prend soin dâimpermĂ©abiliser au quotidien. Lorsquâelle ne se repose pas en flottant sur le dos, elle chasse dans les forĂȘts de kelp notamment oĂč elle avale crabes, oursins et mollusques en grande pollution marine, le commerce de la fourrure, la rarĂ©faction des proies due Ă la pĂȘche et mĂȘme le rĂ©chauffement climatique en font aujourdâhui lâespĂšce de loutre la plus menacĂ©e Ă travers le moineUne physionomie atypique et une dĂ©marche maladroite mais que lâon ne sây trompe pas. Dans lâeau, le macareux moine fait preuve dâune agilitĂ© Ă©tonnante pour chasser les petits poissons dont il se nourrit. Câest dâailleurs en haute mer quâil passe la majeure partie de sa vie, ne regagnant son terrier que pour se dans tout lâAtlantique Nord et sur les cĂŽtes bretonnes notamment, le macareux moine est dâabord devenu une curiositĂ© touristique durant le XXe siĂšcle puis une cible privilĂ©giĂ©e pour les chasseurs amateurs. En consĂ©quence, ses colonies sont passĂ©es de plusieurs milliers dâindividus Ă quelques centaines rien quâen une espĂšce protĂ©gĂ©e, câest le rĂ©chauffement climatique et la pĂȘche excessive de ses stocks de nourriture qui le mettent en quâil vive gĂ©nĂ©ralement au large des cĂŽtes australiennes, amĂ©ricaines et sud-africaines, le requin-taureau est une espĂšce migratrice que lâon retrouve selon les saisons dans toutes les eaux chaudes de la docile en prĂ©sence de lâHomme, il se rĂ©vĂšle redoutable pour les poissons osseux, colin, hareng, bar de mer, qui composent son rĂ©gime alimentaire. Son taux de reproduction trĂšs faible en revanche est un vrai frein Ă la stabilisation de ses populations Ă travers la que les pressions humaines, elles, ne faiblissent pas. TrĂšs prisĂ© en Asie pour sa viande utilisĂ©e dâune multitude de façons, le requin-taureau a vu ses populations sâeffondrer dâenviron 75% au cours des annĂ©es 1980. Aujourdâhui, les prises accidentelles restent aussi trĂšs cachalotLui aussi compte parmi les espĂšces les plus colossales de la planĂšte, avec une tĂȘte qui peut peser Ă elle seule jusquâĂ 16 tonnes !On retrouve le cachalot dans toutes les rĂ©gions du globe oĂč il se nourrit de proies relativement imposantes elles aussi telles que les pieuvres et les calmars. Sa population mondiale est estimĂ©e entre 200 000 et 450 000 individus, soit 30% de ce que lâon pouvait compter il y a plus dâun dâune chasse intensive jusquâen 1980 et considĂ©rĂ© comme vulnĂ©rable il y a quelques annĂ©es, le voici en danger dâextinction dans certaines eaux du monde, comme en faut dire que de nouvelles pressions pĂšsent depuis sur lâespĂšce comme le tourisme, la pollution plastique et les filets de pĂȘche laissĂ©s Ă la dĂ©rive pour la pĂȘche au thon verteLa vie nâest pas de tout repos pour les tortues vertes. MalgrĂ© les nombreuses prĂ©cautions que prennent gĂ©nĂ©ralement les femelles au moment de pondre sur les plages, seul un bĂ©bĂ© sur 1000 parviendra Ă lâĂąge adulte. Les autres seront dĂ©vorĂ©s par divers prĂ©dateurs dont lâHomme qui consomme Ă la fois la chair de lâanimal et ses la majeure partie de sa vie, la tortue verte puise globalement sa nourriture dans les prairies sous-marines avant de regagner les cĂŽtes pour se laisser dorer au du braconnage, de la pollution marine ou encore de la destruction de son habitat par le passage des bateaux, elle est aujourdâhui lâespĂšce de tortue la plus menacĂ©e de autres animaux en voie de disparitionLes animaux de la forĂȘtLes animaux de la jungleLes animaux aquatiques dâeau douceLes animaux des marĂ©cagesLes animaux du dĂ©sertLes animaux de la banquiseLes animaux de la montagneLes animaux de la savane
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